BLODWYN V. Graham; Day Dreamer {UC}

IDENTITY

Nom : Graham
Prénom(s) : Blodwyn Victoire
Surnom : Bloody est certainement le plus courant que l'on puisse me donner. Pas de raison à cela, ni de rapport profond avec le sang; pour cela il aurait fallut me faire vampire. Je ne vous cache pas l'existence des nombreux surnoms auxquels je fus affublée dès lors que je rentrais dans le monde des lycans et que mon caractère s'affirma. "Grincheuse" m'a longtemps été attribué par quelques membres du clan et je tairai le rapport entre ma petite taille et ce surnom ridicule...
Âge : 22 ans
Date & Lieu de Naissance : 1er Décembre 1950 - BRODCASTER near Babylon

SECRET WORDS

Anatomie :

« - Ben alors la naine, t'es passée ou ? »
« Ferme-la, crétin. »

Ma mère était une grande femme -à l'intérieur. Il fallait croire que j'avais hérité ça d'elle. Je ne m'étais plus mesurée depuis l'adolescence, à quoi bon ? Étais-ce important de savoir combien on mesurait pour pouvoir mieux faire le contraste entre sa taille humaine et sa taille bestiale ? Il me semblait juste que dans mon cas, la différence aurait été surprenante. Mais ma petite taille m'indifférait. Encore une fois, je n'avais pas trouvé l'utilité d'être grande. Je l'étais bien assez quand il me poussait des poils et des crocs, je n'avais pas besoin d'être aussi encombrante dans ma vie humaine. Je n'étais donc pas la grande joueuse de volley ball, aux jambes longues de poseuse pour publicité de rasoir féminin, à la peau matte du bronzage sous les îles et aux cheveux bouclés et blonds. En vérité, cela m'était complètement égal; je pensais même que c'était mieux d'être une louve grise qu'une louve jaune. Il m'arrivait de prendre soin de mes cheveux, parfois même de tenter de leur faire prendre une nouvelle forme en usant d'artifice. Cependant, c'était rare : je n'étais pas une fille coquette. La plupart du temps, mes cheveux retombaient en cascade le long de mon dos, à la fois lisses et ondulés. Ni peignés, ni coiffés... cela ne me posait pas le moindre soucis.

« - Mon dieu, je m'enfilerai bien un troupeau de cerfs entier. » ronronne la jeune femme en se caressant le ventre.
« Tu fais bien de parler au conditionnel Bloody, tu ne passerais plus par la porte si ça venait à arriver. »
« Veux-tu bien la boucler ? » grogne-t-elle avant de filer hors de la maisonnée.
« Hey, Blodwyn reviens ! Ça ne veut pas dire que tu es autorisée à casser la porte ! »

J'aurais aimé être de ces filles qui mangeaient et qui, elles, pouvaient faire attention à leur ligne. Je poussais sûrement la bizarrerie encore plus loin mais j'enviais aussi ces jeunes femmes qui prenaient parfois un ou deux kilos de trop après s'être laissées aller le soir de Noël et du Nouvel An. Je me rappelai de ces crises de faim que je piquais lorsque j'avais passé la moitié de la journée en louve à patrouiller, le ventre vide. Je me rappelai de la quantité infâme de nourriture que j'étais capable d'engloutir sans que mon ventre ne grossisse et sans en ressentir les effets quelques jours plus tard sur la balance. J'étais prête à parier que la totalité des femmes peuplant la planète m'envierait, cette idée me révulsait car elle contribuait à me rappeler que je n'étais pas humaine. Que je n'étais pas normale. Que dans mon corps, quelque chose clochait. Une bizarrerie de la nature, un défaut de fabrication ; plus encore, une tare. Quelque chose que je ne pouvais assumer, à laquelle je ne pouvais penser sans ressentir un vague dégoût et un énorme sentiment d'amertume et de regret. Je ne voulais pas que l'on m'envie. Pas pour ça.

« - Pars, Gwendall. Vas-y, je ne te retiens pas. » souffle-t-elle gentiment.
« Ca te fait de la peine. »
« Idiot, je suis heureuse pour toi. Dégage, maintenant. » s'étrangle-t-elle, la douceur de sa voix contrastant avec ses paroles et lui enlevant donc toute crédibilité.
« Bloody, tu ne sais pas mentir. S'il te plaît, dis-moi la vérité. Veux-tu que je reste ? »
Silence. Les sourcils de la brune se froncent, le masque tombe lentement. Deux perles translucides coulent le long de ses joues.
« Viens là. » murmure-t-il en baisant le sommet du crâne de la jeune femme.

Mes yeux ; deux éclats dorés fichés dans un joli visage poupin. Le seul atout que j'acceptais de vanter devant les autres. Mais ce n'était pas seulement la couleur qui glissait autour de la pupille, incandescente et brûlante comme de la lave ; plutôt l'usage que j'en faisais. Inutile de cacher le fait que j'aimais abuser de ces yeux. Mais n'importe qui en ferait autant à ma place. Au fil des années, mon regard est devenu ma plus belle arme. A la fois implicite et efficace. Je pensais à la phrase « Le regard est le miroir de l'âme » et ne pouvait qu'opiner -outre la poésie gnian-gniante de ce dicton, ce qu'elle disait était totalement vrai. Je n'ai jamais réussi à camoufler mes sentiments; ils sortaient d'eux même, se réfléchissant sur la prunelle de mes yeux. Si j'avais réussi à me forger un sublime masque de pharaon que personne ne pouvait m'ôter, je ne parvenais toujours pas à avoir un contrôle sur mon regard. La souffrance est un facteur qu'il m'est impossible de cacher aux autres ; je ne sais pas par quel phénomène métaphysique mon corps était soumis mais il semblait que rien ni personne ne pouvait passer à côté du sentiment poignant qui filtrait de mon regard ; soit-disant. Un cri du cœur, silencieux et lancé malgré moi. Lorsque je n'étais pas encore tout à fait louve -les gênes quand même présents dans mes veines- je n'avais aucun mal à user et abuser de la force de mon regard pour obtenir, implorer ou refroidir autrui ; aujourd'hui j'évite encore d'observer les gens dans les yeux lorsque je me sais incapable de cacher mes sentiments.


Style vestimentaire :

« - Merde, Blodwyn ! Le chauffage est à 5 et demi ! Ma parole, tu veux nous tuer ? »
« J'ai froid. Voudrais-tu bien te calmer ? »
« Va plutôt mettre un gilet, au lieu de rester en débardeur. Je vais crever de déshydratation si je continues à transpirer comme ça. »

Le strict minimum. Moins je portais de tissu sur moi, mieux je me portais. Inutile de tergiverser sur le fait que je préférais diablement mieux l'été à l'hiver. Les gros pull en laine, les doudounes, les écharpes, les chaussettes doublées d'une seconde paire de chaussettes, les pantalons cigarettes par-dessous les jeans... Quelle horreur ! Si les loups hibernaient en hiver, je me serais volontiers mutée en louve à cette partie de l'année plutôt que de devoir supporter toutes ces couches de coton sur moi à longueur de temps. S'il y avait bien un côté positif à mon côté garou, c'est qu'au moins je pouvais me permettre de ne plus me couvrir. Ma chaleur corporelle suffisait amplement à me tenir loin des maladie qu'un humain chopait si facilement sitôt une parcelle de peau dévoilée à la morsure du froid. Il n'était donc pas surprenant de me voir me balader en jupe et débardeur, bottes confortables et petites moufles aux mains. [Les gants et moi, une magnifique histoire d'amour! Mon pêché mignon. Mitaines de toutes formes, couleurs et tailles différentes, gants courts, longs ; moufles...] Pareillement qu'avec le maquillage, je ne me montrais pas plus coquette que ça vestimentairement parlant. Les marcel des membres masculins de la meute me convenaient très bien et il m'arrivait souvent d'en chiper aux garçons, vêtue d'un simple short et de chaussettes de football. A contrario des femmes qui se tuaient à entretenir un style coquet, défini et dans les normes, je me fichais pas mal de la façon dont les gens me voyaient et quelle étiquette ils me collaient. Ma garde-robe pourrait satisfaire toutes les femmes du monde entier de tous styles différents. Cette robe glamour, ce gilet vintage, ce jean cigarette, cette lingerie coquine... Finalement, cette indifférence vestimentaire reflétait peut-être un côté de ma personnalité : complètement désordonné et abstrait.

Psychologie :
Goûts :
Manies/Phobies :
Autres :

STORY LEFT BEHIND

Famille :
Vie antérieure :
La transformation :
Depuis la transformation :

WHAT ARE YOU HIDING ?

Prénom/Pseudo : Angie
Age : 16 ans
Sexe : Jour & nuit
Présence sur le forum : Ca dépend des semaines, qui sont plus ou moins chargées en boulot... mais je peux venir 7/7.
Code du règlement : code ok
Nom et prénom de l'avatar : Sophia Bush
Comment avez vous découvert le forum ? : Partenariat.
Multi-comptes : Nope

[BADOUM BADOUM]

[badoum badoum]

Bienvenue, bonne continuation pour ta fiche.

Bienvenue.
Bonne Continuation. =)

Contente de voir que tu as pu récupérer Blodwyn xD
Je te préviens je vais être très exigeante
En tout cas, bonne chance pour ta fiche !

Merci les vampires
Haa Lisbeth tu me mets la pression
Je vais tâcher de m'appliquer, tu seras épatée

J'en suis sure
Bonne chance encore ! Avec un modèle comme Sophia on ne peut que faire de belles fiches

Une p'tite louve.
Bienvenue parmi nous.
Bonne continuation de fiche. =)

En effet, je prends jamais Sophia d'habitude parce qu'elle est assez médiatisée et que j'aime les personnalités peu connues, mais les ava sur The Hitcher sont tout simplement
Merci Livia =D Evan Rachel Wood. <3

Bienvenue à toi ! Et bon courage pour ta fiche

Bienvenue, louloutte. ^^

Merci bien

Welcome

Bienvenue

Merci Alister et... Raphaël Zaz'
Agyness Wood a l'appareil x3
D'ailleurs, je suis un peu dingue de faire 2 fiches en même temps mais... que la force toute puissante soit en moi

*envois des ondes*
Très joli début de fiche en tout cas. =)

Délai dépassé. Compte supprimé.