Bloody Eleanor.

Invité

Découvrez Duffy!

IDENTITY

Nom : McGowell
Prénom(s) : Gabrielle Eleanor
Surnom : Elle n’a généralement pas de surnoms affectueux, cepandant ses quelques rares amis l’apelle Gabi. Durant ses premiers cent ans de vie de nombreuses personnes l’apellaient Bloody Eleanor.
Âge : Elle a maintenant 312 ans, mais en parait 18.
Date & Lieu de Naissance : Elle est née en Angleterre en un froid mois de février 1660.
Date & Lieu de Décès : Condamnée à mort le 18 juillet 1678 en même temps que sa Némésis, un vampire vient la mordre dans sa cellule, à Bournemouth.
Clan : Durant les cents premières années de sa vie elle était solitaire, massacrant bien trop d’humains qu’elle n’en avait besoin. Après un séjour en Islande, tout ce qu’elle faisait sembla la lasser et elle est depuis ce jour une Ragnarök.

SECRET WORDS

Anatomie : « Avec le temps, plusieurs choses ont changé, pourtant tu es toujours la même. » Ce serait probablement les mots de Nathan Jackson s’il était encore sur cette terre pour le lui dire. Comment savoir simplement si Gabrielle n’avait pas eut envie de changer d’apparence après son tragique épisode? Pourtant, son statut de vampire l’a laissé emprisonnée dans un corps de poupée d’un âge trop peu avancé. La seule chose qui avait réellement changé sur son apparence c’était ses cheveux, du moins la longueur. Elle les avait toujours gardés très longs, jusqu’à ce que la mode, et surtout l’élément pratique de la chose lui vienne à l’esprit. Son teint est aussi blanc que dans le temps, à quelque ton près puisqu’elle ne sortait que la nuit même dans sa jeunesse. Il est pourtant vrai de penser que lorsque quelqu’un devient vampire tous défauts semblent disparaître et c’est d’un visage de porcelaine que l’ancienne bourgeoise se montre au gens. Ses yeux d’un vert émeraude semble s’éclairer à la vue de choses qui pourraient passer pour certains très insignifiantes. Une chose qui la rend très furieuse quand quelqu’un lui en parle c’est sa grandeur, du haut de son maigre 1m60 la plupart des adultes la dépassent, réclamant son état de supériorité à aller au placard.
Style vestimentaire : Gabrielle a uniquement fait tout ce que les femmes ont fait depuis de nombreuses années, suivre la mode. Elle n’est pas du genre à resté dans son époque avec de grandes robes ou tout simplement des vêtements sombres. La blonde essaie toujours de mettre son corps en valeur ce qui lui facilite grandement tout ce qu’elle désire obtenir. De couleurs totalement criantes, elle adore qu’on la remarque et c’est pourquoi elle suit la mode à la perfection. Ayant parfaitement les moyens de se procurer ce qu’elle veut ce n’est jamais un grand problème.
Psychologie : « Tu es la légendaire Bloody Eleanor? »
Plusieurs personnes la connaissent encore sous ce nom. Elle a pourtant changé depuis plusieurs années mais il reste en elle beaucoup de trait de caractère de son passé.

Cruelle, impitoyable & franche > Si ce trait aurait dut disparaître avec son ancienne vie il fait toujours partie de son être. Comment oublier la douleur qui restait toujours ancrée au plus profond de son être? Pourtant, depuis qu’elle se nourrit d’animaux plusieurs humains ont put survivre à son passage contrairement à auparavant. Peut-être ne fait elle plus de carnage comme avant mais il reste toujours en elle cet envie d’être méchante avec tout le monde, de leur envoyer de ses phrases qui suffiraient à en faire fâcher plus d’un. Elle ne peut se retenir de lâcher tout ce qu’elle pense et certains récolte parfois les horreurs qui sortent de sa bouche. Gabrielle n’aime pas les humains, depuis trop longtemps d’ailleurs mais elle est capable d’accepter leur présence et rares sont ceux qui sortent indemne de ses relations. Elle attaque parfois jusqu’à rendre l’adversaire complètement par terre, sans l’espoir de pouvoir se relever de se gouffre sombre.

Manipulatrice & arrogante > Son physique de poupée ne peut jamais délivrée les vraies intentions de la jolie blonde. Au fond, avec trois siècles de pratique cet art de manipuler commence à être parfaitement impeccable. Elle l’utilise pratiquement sur toutes les personnes qu’elle croise, ne faisant qu’apprécier cet état de supériorité. Après s’être fait jouer de soi durant toute sa vie humaine il est normal de croire qu’elle aille désormais envie de faire le contraire! Qui plus est, lorsqu’on devient une page d’histoire nous-mêmes il est normal que notre langage aille connut assez de chemin pour pouvoir rétorquer tout ce qu’elle veut.

Souriante et dynamique > Peu de personne arrive à comprendre son état d’être en la voyant pour la première fois. Son sourire de dents infiniment blanches, cet envie de vouloir tout contrôler et de surtout s’amuser fait partie d’elle et personne ne pourra lui enlever ce dernier trait de caractère humain. Au fond, ce qui se cache derrière ce sourire n’annonce pas autant de bonne nouvelle qu’il le devrait, au contraire je dirais. À quoi bon passé tout le reste de sa vie avec un visage terne de toute façon? C’est assez de 100 ans de vie pour se replier sur soi-même de toute façon.

Patience > Après quelques centaines d’années il est évident qu’elle aille développer une patience hors du commun. Hélas, cette qualité peut-être prise sous un autre angle si l’on parle qu’elle est prête à attendre indéfiniment pour avoir ce qu’elle veut. Cependant, rien n’indique qu’elle ne s’en mêlera pas d’abord. Elle est également du genre à se rappeler beaucoup trop longtemps d’un événement. Tout lui reste ancré dans la mémoire et elle se rappelle de tout les visages qu’elle a assasiné.

Tout simplement dure à suivre > La meilleure règle à retenir est tout simplement qu’il ne faut pas se fier à son joli minois. Il faut ajouter qu’une chance pour tout le monde qu’elle aille décider de rejoindre les Ragnarök sinon elle serait encore plus impitoyable à ce jour. Ce qui est passionnant avec elle, c’est qu’elle change de caractère en l’espace d’une seconde et surtout avec qui elle est. Avec les vampires elle est totalement plus enjouée et n’essaie que rarement de les manipuler, sauf s’ils sont beaucoup plus jeunes qu’elle.

Goûts : Le sang, elle l’adore toujours autant, que ce soit celui d’humains ou celui d’animaux. Elle adore faire le shopping et tout ce qui vient avec. Sans oublier son envie de toujours s’amuser, elle recherche sans cesse quelque chose à quoi s’accrocher. Une autre chose qu’elle adore c’est l’homme, dans toute sa splendeur, et surtout dans toute sa nudité.
Manies/Phobies : Elle a peur que son père revienne du monde des morts. C’est la plus grande phobie qu’elle peut avoir. Ensuite, elle n’a aucune manie remarquable, les ayant réglées avec le temps. Elle n’est plus du genre à s’entortiller les cheveux autour de son doigt lorsqu’elle est nerveuse.
Autres : //

STORY LEFT BEHIND

Famille : Melrick Anderson McGowell: C’est l’homme qui lui a permis de vivre et c’est très relatif. Bon, il était peut-être le duc qui détenait toutes les entreprises de la ville mais ce ne faisait pas de lui un personnage ayant de l’entregent. Au contraire, il était l’homme le plus vile de tout le royaume de l’Angleterre et même Charles II, le roi n’osait s’opposer à sa façon de régner. Il n’a jamais démontré le moindre intérêt envers un de ses enfants. Il n’aimait qu’une seule personne, sa femme et toute progéniture lui rappelle sa mort. Lorsqu’ils formaient tous une famille unie, le duc n’agissait pas ainsi… Il était comme sa douce Constance, il avait un tempérament joyeux et doux… Pourtant, c’est après l’accouchement de Gabrielle qu’elle perdit la vie, d’où le fait qu’il la déteste le plus sans doute.

Johannes et James McGowell : Ces deux jumeaux 22 ans sont les plus jeunes garçons de la famille. Ils ont pu vivre assez longtemps pour voir leur mère. Ce sont comme deux siamois, le même caractère, aussi flamboyant que celui de leur mère. À en croire la famille il n’y avait que le père qui avait un mauvais caractère. Ils n’ont pas put protéger leur sœur puisqu’ils sont partit quelques semaines avant son exécution à la cour du roi.

Rosemary McGowell : C’est l’aînée de la famille, âgée de 26 ans elle a agit comme la mère de ses propres frères et sa sœur. Elle ressemblait elle aussi beaucoup trop à sa mère selon son père et une chance que c’était la préférée de Constance sinon elle aurait certainement fini comme sa sœur. Elle et Gabrielle sont très liés et elle s’est évadée du château lors du jour fatidique, sachant très bien qu’elle serait la prochaine sur la liste.

Invité

[ Vie antérieure : ]

La jeune noble, parcourrait la ville vêtue d'une grande cape noire. Elle avait assez de choses en tête pour sortir en pleine nuit affublée de ses habituelles robes roses bonbons. De cette façon personne ne pouvait la reconnaître et c'était bien tant mieux! Avouez que la vie n’était pas toujours parfaite lorsqu’on est la fille du duc de la ville, Bournemouth en l’occurrence. L’histoire qui n’appartenait qu’à elle semblait cependant dépendre de toute autre personne sauf son petit cerveau. Tout le monde pourrait appeler la suite un conte de fée, ou plutôt quelque chose de commun et à l’eau de rose, du moins, cela aurait put l’être si la fin avait été autrement. Comment savoir qu’un simple sentiment dénommé l’amour servirait à la rendre absolument dingue, mais surtout blanche comme un drap et aussi morte que jamais. Ce qui fallait comprendre c’était que dans cette bourgade assez peuplée de l’Angleterre il y avait un chef qui régnait sur les lieux, Melrick le père du pauvre chaperon noir. Ce qui est dommage avec la famille c’est qu’on ne peut en aucun cas la choisir alors que c’est tout le contraire avec toutes les autres relations. Au fond, elle croyait être en mesure de sauver de lui et de l’emprise qu’il éprouvait sur elle, cette façon dont il avait de choisir tous ses faits et gestes sans qu’elle ne puisse s’en désister. Bref, en cette nuit noire et glaciale, la fille du Tyran cherchait quelqu’un. Elle avait un rendez-vous secret, un rendez-vous qui n’importe qui la verrait lui donnerait condamnation à mort. Elle cherchait un garçon, mais pas n’importe lequel, celui qui est classé dans la série des anarchistes, ceux qui veulent délivrer le peuple de Melrick. Elle-même devenait de plus en plus ouverte aux sentiments du peuple et se sentait obligée de les aider. Facile à comprendre lorsqu’on savait que ses intérêts seraient sauvegardé avec et homme et surtout, celui pour qui elle éprouvait ce satané sentiment maudit. Ses talons, faisant pourtant plus de bruits que jamais sur cette chaussée mouillée et froide, ne se faisait remarquer par personne, bien évident, puisqu'elle faisait assez peur vêtu de telle façon. Elle ressemblait à un ange de la mort prête à quérir n’importe quelle âme perdue s’aventurant sur son chemin.

Inconnu « Gabrielle, est-ce bien vous?»

Ses mots avaient percé l'obscurité tel un couteau traversant son cœur fragile. Le chaperon noir se retourna alors vers le son de cette voix. Elle n'avait pas eu peur, elle adorait juste entendre la voix de ce Jackson, celui qui représentait plus de liberté qu’aucun homme ne pouvait lui donner... En plus d'être le "chef du peuple", il était un jeune homme d'une beauté essoufflante, et d'un caractère en or. Il avait 23 ans, et elle en avait 18. Comment expliquer l’âge du garçon et celui de son statut si ce n’était par sa façon immanquable de convaincre ses proches. Leurs rencontres devenait de plus en plus récente, et de plus en plus dangereuses sans qu’aucun des deux ne semble vouloir y mettre fin. Lui aussi semblait s'être entiché de la belle jeune femme. Gabrielle se retourna et se posta en face de son interlocuteur. Quoi de plus impressionnant d’une femme de riche pour l’anarchiste?

Gabrielle« Jackson, la discrétion et vous ça fait deux n'est-ce pas? Vous devriez faire bien plus attention à vous. Pour le peuple... Et bien sûr pour moi. Je crois toujours que vous devriez m’appeler par un autre nom. Il n’y a pas beaucoup de Gabrielle dans le coin.»

Jackson « Comment voudriez-vous que je vous nomme autrement? La question n’est pas là et vous le savez autant que moi; notre relation devient de plus en plus dangereuse.»

Gabrielle« Je ne crois que ce que je vois... Personne n’a semblé nous découvrir jusqu’à présent… Mais bon, vous savez que je ne suis pas venue ici pour ce genre de choses. Mes parents discutent de plus en plus de votre groupe, et ils parlent de faire une attaque bientôt. Je ne sais pas combien ils seront, mais à en parler, il va en avoir, assez pour tuer chacun d'entre vous...»

Jackson Vous êtes sûre de ce que vous avancez Gabrielle?»

Oui, elle en était plus que sure, et elle savait même ce qui l'attendait elle aussi. Ses parents devenaient de plus en plus distants, et remarquaient ses absences fréquentes. Mais elle ne pouvait en parler à celui qui faisait battre son cœur. Il en serait bien trop dangereux. Comment lui dire que la seule chose qu’elle voulait c’était de le voir en vie, ce qui représentait sa mort à elle. Le chaperon noir avait passé de longues nuits à aller épier la cour de son père afin d’avoir quelconque renseignements au sujet du groupe d’anarchiste. Il était pourtant normal que le duc veule empêcher les infidèles de le détrôner, mais aux yeux de Gabrielle rien ne justifiait la pendaison.

Gabrielle« Vous allez devoir partir de la ville pendant quelques temps... Ils projettent de mettre le complot à exécution après-demain.»

Jackson « Vous partez avec nous j'espère?»

Pourquoi fallait-il que ses adieux soient si cruels... Pourquoi fallait-il qu’il comprenne que lui devait partir et elle rester, dans cet enfer qui l’enverrait probablement dans les cieux? La vie faisait parfois l’immanquable objet de pleurs et de souffrances. Enfin, elle devait lui fournir n’importe quels mensonges tant qu’il lui permettait de s’évader loin d’elle.

Gabrielle« « Jackson, je ne peux pas partir avec vous. Je dois rester ici, là où est ma place. De cette façon, je pourrai vous faire part de tous les prochains évènements... Je vous donne rendez-vous demain dans le parc... Soyez-y je vous en prit...»

Jackson - J'y serai...» Souffla-t-il en déposant un chaste baiser sur les lèvres de sa douce.

Les jeunes amants se séparèrent tranquillement. Gabrielle se retourna vite dans le château familial. Cet endroit rempli d’affreux et mauvais souvenir. Elle y avait vécu 18 ans de sa vie et c’était bien trop sans qu’elle ne puisse se plaindre. Tout d’abord, il était bien trop gros pour une famille de six et plusieurs employés. Son père, comme d’habitude, devait faire dans l’excès et Gabrielle détestait s’y promener, se retrouvant plus seule que jamais. À cette heure le château était affreusement silencieux... Enfin, comme d'habitude, alors pourquoi y avait-il autant de tension dans l'air? Vous savez, ce genre de sentiment qui vous indique irrémédiablement que vous êtes observés et par une personne que vous n’appréciez pas du tout…

Melrick « Ma chère enfant, toujours en train de comploter avec ce Jackson ?»

Voilà qui n'avançait rien de bon... Prise au dépourvu la jeune femme sentit tout son sang se glacer. Elle n’aurait pas dû être découverte, du moins pas ce soir! Si son père était au courant... Ils étaient au courant, ce qui voulait dire que tout le monde savait se que faisait notre chère Gabrielle... Fallait-il être cruel pour penser à faire "celà"? J’ai bien peur que non, surtout si vous n’avez jamais éprouver aucun sentiment, ni même jamais attardez votre regard sur sa propre enfant. Son regard était clair, il l’enverrait à la pendaison, comme un chien de dernier ordre, comme une inconnue. À partir de cet instant, Gabrielle savait que s'en était fini de sa vie d'humaine elle partirait dignement, et sans dire quoique se soit à propos des plans de son amour...

Melrick « Je suppose qu’il sera inutile de converser au sujet de ce garçon et son groupe?»

Rester, silencieuse, voilà la meilleure façon de s'en tirer... Même avec une baffe sur la figure, elle se devait de se taire... Elle avait juré à son âme qu’elle ne dirait absolument rien concernant Jackson. De toute façon, elle était déjà condamnée, à quoi bon? Elle savait qu’elle n’avait rien fait de mal. Tout ce qu’elle méritait c’était de mourir d’une façon de majesté.

Melrick « Enfermez la avec les siens! Demain, du sang coulera sur la place principale!»

Voilà, les drapeaux, étaient tombés... Pourquoi fallait-il entrer dans le drame? Son père n’avait jamais rien éprouvé pour elle. Il avait toujours été se sale Tyran qui ne méritait rien de plus que sa propre mort. Avec sa mort, peut-être enfin serait-elle libre de toute justice, mais surtout, délibérait le peuple, ceux qui le méritaient le plus.

Ce fut probablement la plus longue nuit de toute l’existence de la chère petite bourgeoise. Comment pouvait-elle se résoudre à s’étendre et ainsi s’embarquer dans un sommeil lourd de cauchemar? Peut-être pouvait-elle se réconforter en pensant que ce serait la dernière fois de sa vie où elle pourrait s’évader dans le pays des rêves, l’une de ses seules façons de se libérer de ce monde cruel? Pourtant, la jeune femme c’était résolue à faire les cents pas dans sa cellule, regardant parfois la lune à travers la minuscule et haute fenêtre de l’endroit. Au moins, son père ne l’avait pas mise avec des désaxés de la société, peut-être voulait-il simplement empêcher que quelqu’un d’autre que lui ne l’assassine. L’égoïsme avait toujours été un fort dans la famille et c’était probablement le seul caractère qu’elle avait reçu de son père. Gabrielle voulait en effet libérer le peuple, mais tout ce qu’elle souhaitait avant tout n’était que sa seule libération avec celui qu’elle aimait. Cet homme, qui devait être désormais à cents lieux du royaume, ayant apprit la pendaison de sa douce, mais surtout l’état de recherche de tous les officiers de Bournemouth. Le fait était que la blonde n’avait pas fermé l’œil de la nuit et que le soleil avait désormais franchit la fenêtre, semblant vouloir brûler la rétine de la condamnée. L’heure sonnait bientôt la pendaison, du moins la sienne. Pourquoi alors y avait-il une aussi grande cohue à l’extérieur? Ne méritait-elle pas un dernier repas et surtout la venue d’un prêtre comme tous y avaient droit? Ne me dites pas qu’elle devait déjà passé sous la corde! Ses pas se rapprochèrent de la fenêtre tentant de soutirer ce que les hurlements faisaient états. Si jamais elle était prête à tout en ce dernier jour de vie, rien n’aurait put lui faire autant de mal de ce qu’elle entendit.

Foule « Jackson, Jackson!»

Non! Pourquoi la foule scandait elle le nom de son amour? Que se passait-il à la place principale qui puisse échapper tout son entendement? Comment avait-il fait pour mettre la main dessus? Un cri se mit alors à résonner dans la cellule de la bourgeoise sans qu’elle ne puisse le retenir. Cette déchirante plainte s’en suivit d’un énorme et long sanglot, comme si la vie allait se terminer ici et maintenant. Totalement effondrée par terre elle reposa son regard vers les voix, celles qui semblaient vouloir dicter la liberté de son sauveur. Usant de ses dernières forces la jeune femme se leva et sauta pour venir s’accrocher aux barreaux de la fenêtre. Elle se hissa jusqu’à apercevoir son amour sur le promontoire surplombant la place principale. Alors que le temps semblait tirer à sa fin, ses nerfs lâchèrent, ou plutôt ses muscles et son corps se fracassa sur les pierres de la cellule. Elle cria, hurla, pleura à nouveau mais aucunement parce qu’elle avait mal, non, elle attendait la sentence finale et ne pouvait espérer penser agir autrement. Tout ce qui s’en suivit se passa à une vitesse incroyable; les bruits de la foule qui cessèrent, le sont d’une manivelle, et finalement le son de la mort qui s’évade d’un corps. Rien ne parut plus irréel qu’en cet instant. Le corps de la bourgeoise était secoué d’affreux sanglots et la dernière chose qu’elle sentit avant de tomber dans pommes furent des bras la soulevant du sol…

[La morsure :]

Une odeur qu’elle ne connaissait que trop bien la réveillât de sa torpeur et ainsi, de son état de bien-être. Cette odeur qui signifie mort, mais surtout celle de fer comme le perçoit les humains. Sa tête se releva tranquillement, quittant le sol gelé de la cellule pour regarder dans le couloir du cachot. Pourquoi est-ce que l’odeur lui parvenait de cet endroit? Y avait-il eut un quelconque meurtre? Et surtout, pourquoi à l’heure qu’il était Gabrielle ne se retrouvait pas au bout d’une corde? Toujours décontenancée des événements passées elle porta une main à son front, comme si cela pouvait atténuer sa migraine. Elle avait néanmoins sentit des mains se poser sur elle avant de sombrer, alors pourquoi les grilles étaient toujours barrées? Avait-elle imaginé un quelconque événement, ou pire quelqu’un qui était venu la sauver de cet endroit? C’était peu réconfortant si l’on pensait que la vérité était qu’elle y était toujours, et donc, qu’elle avait simplement tout inventé. Elle aurait aussi aimé que ce qui venait de se passer ne fussent qu’imaginations… Hélas, elle savait que la douleur qui pesait sur sa poitrine lui signifiait que son Nathan était bel et bien mort. Alors, qu’elle semblait toujours dans un autre monde, un souffle glacial vint se percuter sur son visage, un souffle ayant une odeur beaucoup plus envoutante que celle du sang qui régnait dans le cachot.

Voix « Bonjour… »

Un frisson parcourut son être tout entier et elle se retourna des plus lentement vers la provenance de cette voix suave et pourtant si virile. Ce qu’elle vit aurait dut lui glacer le sang mais il se mit plutôt à bouillonner dans le fond de son être. Un aristocrate se tenait à ses côtés, vêtus tout de noir, jusqu’à ses cheveux qui semblaient avoir été sous-titré à un corbeau. Sa peau d’une limpide blancheur contrastait divinement bien avec ses yeux bleus azurs. Ce qui était le plus irréel avec cet homme c’était la longueur de ses canines, elles dépassaient de ses fines lèvres et semblaient indéniablement prêt à mordre quiconque s’approchant de lui. Une voix mal assurée et tremblante s’éleva alors dans la cellule :

Gabrielle «Qui êtes-vous? L’ange de la mort?»

Invité

Voix « Un ange moi? Non jamais, mais mort oui, certainement et depuis trop longtemps. Je me prénomme Nicolas et je suis venu pour vous aider.»

Gabrielle «M’aider? Comment? Vous semblez autant enfermer que moi si je ne me méprends pas.»

Nicolas «Justement ma chère vous vous méprenez. Ne pensez pas que je ne suis pas entré ici de mon propre gré. Je n’ai que refermé la porte pour ne pas qu’il vous prenne l’idée de vous enfuir.»

Gabrielle « Quoi? Vous ne venez pas pour m’aider alors? S’il vous plaît, si c’est mon père qui vous envoi finissez-en au plus vite.»

Nicolas « Je ne travaille jamais que pour moi-même. Le problème c’est que pour vous aider je dois vous faire du mal… C’est pourquoi vous devez rester ici sans bouger.»

Gabrielle « Je ne comprends pas ce que vous essayez de me dire, venez en donc au fait Sir Nicolas.»

Nicolas « Comme vous le désirez ma belle enfant.»

À nouveau le temps sembla s’accélérer d’une façon irréelle, se retrouvant dans les bras du dénommé Nicolas. Elle ne pouvait même pas espérer esquisser un geste tant l’aristocrate la tenait fort et il amena une de ses mains glaciales jusqu’à son cou, qu’il inclina légèrement. En cet instant, Gabrielle se disait qu’elle aurait largement préféré finir ses instants au bout d’une corde de savoir ce que l’homme s’apprêtait à lui faire, qui sans évidence ne lui ferait pas du bien. Son sang était glacé, son cœur percutait sa poitrine à un rythme effréné qui ne faisait que la mettre encore plus dans tous ses états. Au contraire de ce qu’il avait dit tout à l’heure, il semblait tout en cet instant d’un ange de la mort, prêt à aider la bourgeoise à se libérer de son corps, et non de l’aider à sortir d’ici. La blonde savait qu’elle ne pouvait plus rien faire à présent et ses yeux se fermèrent, comme près à cette lourde évidence d’une mort plus que proche. Comment vous expliquer ce qui vous passe par la tête lors de vos derniers instants si ce n’est qu’en le vivant vous-même, chose qu’elle ne souhaitait à personne. Le ténébreux qui la maintenant toujours contre elle continuait de laisser aller ses doigts gelés sur le coup désormais froid de sa future proie. Il n’avait néanmoins pas fini avec elle et il voulait lui expliquer ce qui arriverait… C’est ainsi qu’il démarra dans un long monologue :

Nicolas « Vous savez ce qui est le plus amusant dans tout ça? Moi-même je n’aurais jamais crut revoir votre petite tête blonde si s’en ai qu’en ce jour de fin. Je sais également que vous ne me connaissez pas, et c’est pourtant tout le contraire de moi. J’étais un grand ami de votre mère, Constance. Du moins, jusqu’à ce que Melrick arrive dans le décor. Vous savez qu’elle n’était pas supposée marier votre père? Ou enfin, elle ne le voulait pas. Nous étions plus près que vous ne pourriez jamais vous imaginez… Hélas, il m’est arrivé quelque chose de sombre et de maléfique et j’ai dut laisser votre mère dans les bras du Tyran. Vous lui ressemblez à un point que vous ne pourriez jamais imaginé Gabrielle Eleanor…»

La jeune femme sentit à nouveau le souffle de l’homme dans son coup, la réveillant de sa stupeur et lui faisant ouvrir les yeux telle une marionnette désarticulée. Jamais elle n’aurait put penser se retrouver devant cet homme un jour. Non qu’elle en aille entendu parler, mais il était son réel sauveur, celui qui la délivrerait de son statut de femme mortelle. Sans plus attendre Nicolas s’abaissa jusqu’à son cou et de ses longues canines il perça deux trous béants dans le cou blanc fragile de Gabrielle. Elle perdit lentement le contrôle de ses mouvements, s’en allant dans un long sommeil lourd.

[Après la morsure :]

Inconnue « Qui êtes-vous? Que faites-vous ici?»

Le corps largement meurtrit de l’intérieur depuis des dizaines d’années la vampire respirait lentement, essayant de faire baisser son rythme cardiaque. Ce qui l’avait amenée ici ne devait être autre que sa propre conscience d’humaine qui refaisait surface. Ses pensées étaient devenues un champ de bataille depuis le temps où Nicola l’avait transformé. Il avait essayé de la contrôler mais tout ce passa en une nuit lorsqu’elle se sauva de lui pour revenir à Bournemouth. Vous auriez dut voir le visage de son père lorsqu’elle était arrivée, elle gardait toujours ce souvenir délectable ancré dans le plus profond de son être. Elle était tellement contrariée et son envie de sang montait en flèche en son corps. L’ancienne bourgeoise s’amusa avec Melrick un long moment avant de mettre fin à son atroce souffrance. Aucune de ses supplications n’arrivaient à la faire changer d’avis, ni de comportement. Cette nuit de folie n’était que le déclanchement d’une longue ère de cruauté brute et de meurtres infâmes. Elle se sauve depuis ce même soir de son créateur, sachant très bien quel sort il pourrait lui réserver s’il arrivait à la trouver. Cent longues années à errer sur les landes de l’Angleterre, sans jamais avoir l’envie d’y sortir. Elle aurait put aussi bien continuer ce carnage jusqu’à l’infini si elle n’avait pas rencontré l’un de siens, de la même race qu’elle. Il avait été en quelque sorte son sauveur, celui qui avait sut la diriger vers cette contrée éloignée dénommé l’Islande. Il l’avait convaincu de venir découvrir ce clan, alors qu’elle avait passé le plus clair de son temps seule depuis la mort de Nathan. C’était peut-être juste le fait qu’elle commence à ce lasser de cette solitude qui la poussa à aller sur cette île.

Gabrielle « Je me nomme Gabrielle Eleanor et je suis venue au sujet des Ragnarök.»

Inconnue « Eleanor la sanglante?»

Gabrielle « Oui… Mais je suis venue ici justement car j’ai envie de changer. Je veux rejoindre votre clan, et tout ce qui en comporte.»

Ce choix, elle l’avait fait depuis belle lurettes et elle se fichait bien royalement de devoir à partir de maintenant boire du sang d’animaux. Elle avait envi de changer, elle ne voulait pas que Jackson la voit agir de cette façon tout le reste de sa vie. Elle était immortelle et Gabrielle devait apprendre à adapter sa condition. Au fond, le nombre de personnes qu’elle avait vu voir périr suffirait à répugner la plupart des vampires jusqu’à présent. Il n’y a que les fous qui ne changent pas d’idée et il était largement le temps que Bloody Eleanor arrive à ce terme. Sur cette lande, elle pourrait tranquillement se sevrer de sa drogue pour pouvoir finir par entrer dans le clan des Ragnarök. Au fond, si elle faisait ce qu’ils voulaient, et si elle était vivable avec eux elle finirait peut-être par avoir des gens en qui elle aurait confiance.

À partir de ce jour, la vampire rester fidèle à son clan mais ne peut s’empêcher de partir en solitaire lorsqu’elle en a envie. Elle n’est pas vraiment du genre à avoir de nombreux amis mais elle porte haut en estime ceux qui viennent du clan, surtout ceux en qui elle a confiance. Elle les a bien sûr suivit jusqu’à Babylon, ne voulant pour rien au monde se retrouver à nouveau seule, chose qui ne ferait sans doute que déclencher à nouveau le temps sanguinaire. L’ancienne bourgeoise a tout de même du mal à s’adapter à cet endroit, n’ayant vu dans sa vie que l’Angleterre et l’Islande.

WHAT ARE YOU HIDING ?

Prénom/Pseudo : Chikaka
Age : Majeure et vaccinée.
Sexe : F.
Présence sur le forum : Autant que je le peux, entre les études et le travail incessant.
Code du règlement : edit code bon
Nom et prénom de l'avatar : Hayden Panettière.
Comment avez vous découvert le forum ? : Par partenariat. (Appelo Mortem)
Multi-comptes : Nope.

Invité

Ouais c'est clair, moins peste, plus vampire looool

Merci pour le prénom. Je trouve que Gabrielle ça lui va super bien. Mais quand j'ai vu ton sujet je me suis dit "oh y'a quelqu'un qui a choisi le même prénom" lol

bonne continuation pour ta fiche Wink

Invité

Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche What a Face

Invité

Welcome on board et bon courage pour la suite de ta fiche !

Invité

Merci à vous deux! Et vive Chace... Smile

Edit: J'ai besoin d'une petite chose... En fait je n'y avait pas penser mais ma longueur de présentation pour l'instant est déjà rendue à 3 postes... Donc je ne sais pas si c'est possible de supprimer les bienvenue pour que tout soit à la suite... Désolée encore mais si c'est séparé ce n'est pas joli! Déjà que j'ai remplacé une de mes réponses pour une partie de mon histoire, à présent rien ne va plus XD

Lisbeth B. O'Connor a écrit:: Bienvenue parmis nous
Tu parles d'une Nemesis dans ta présentation, c'est une autre que celle du forum n'est ce pas ?

Bonne chance pour ta fiche !

Eleanor Stuart a écrit:: Bienvenue !
Hayden est carrément superbe sur ton avatar

C'est fait. ^^
Bienvenue parmi nous.
Magnifique fiche jusque là.
Bonne continuation. =)

Invité

J'ai terminé. Je sais que ma partie «après la morsure» est bâclée mais je voulais avoir la chance de me faire valider au plus vite. ~~Et y'a aussi que j'ai fichtrement hâte de jouer XD~~ Je tiens à dire que c'est ma plus longue fiche à vie. ^^ J'adore mon personnageuhhh! (Et j'vous adoreuuuhhh <3333)

Très jolie fiche.
Y a juste un moment tu te trompes de prénom. Tu appelles Nicolas Nathan il me semble (ou j'ai mal lu).
Mais sinon, elle est très bien. J'aime beaucoup son histoire et celle de sa morsure. i'm in love with you

Tu es donc validée. Je te rajoute au groupe le plus beau, le plus intelligent, le plus cultivé.
Bon jeu !
N'oublie pas de remplir ta fiche de perso et de créer ton topic de relations. Wink

Invité

Yeahh! Merci à toi chère consoeur. ^^

» Gabrielle #|| Ex Bloody Eleanor.
» Gabrielle || Ex Bloody Eleanor
» Linoa, sweet bloody doll
» » Eleanor Stuart.
» Eleanor's Relationships - « Don’t want to be alone »