| | | Carolyn Élisabeth Rousseau |  |
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|  Sujet: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 20:42 | |
|  IDENTITY
Nom : Rousseau. Sa mère avait la possibilité de lui donner son propre nom, Hayford, mais elle a préféré lui laisser le nom de son père, et ce, même s’il est décédé quelques mois avant la naissance de Carolyn.
Prénom(s) : Carolyn Élizabeth. Vous devez sans doute vous demander pourquoi son prénom s’écrit sans « E. ». En fait, c’est simple. Sa mère est d’origine britannique. Or, elle a préféré angliciser le premier prénom de sa fille pour garder un peu de ses origines. Son second prénom est le prénom à deux significations. Premièrement, sa mère adore tout simplement la Reine (On parle ici de la Reine Élisabeth I, reine de 1553 à 1603 puisque la reine Elizabeth II a débuté son règne en 1953.). Deuxièmement, c’est le prénom de la grand-mère à Carolyn, la mère de son défunt père. Donc, madame Hayford lui a donné ce second prénom en mémoire de madame Élisabeth Rousseau.
Surnom : Caro, Lily, Cary...
Âge : 25 ans.
Date & Lieu de Naissance : Carolyn est née le 07 janvier 1948 à Paris, France.
SECRET WORDS
Psychologie :
Qualités
Rêveuse » Les étoiles illuminent ses yeux alors que ses doigts frôlent les clés d’un piano. Adepte depuis un très jeune âge, le piano a toujours été son refuge dans ce monde rempli de complications. On peut voir une sérénité infinie à son visage alors qu’elle joue une mélodie, et peu importe à qui cette mélodie est dédiée. Ces mêmes étoiles brillent à de milles feux également quand elle traite un patient. Infirmière depuis quelques années, prendre soin des patients c’est ce qu’elle sait faire, et elle vous dira même qu’elle est née avec ce métier dans le sang. Cette passion qui enflamme ses rêves fait d’elle ce qu’elle est. Et aussi, il y a le côté un peu cliché : les romans d’amour qui se terminent tous parfaitement bien. « Un jour, mon prince viendra… » On connaît la chanson.
Directe » L’honnêteté est, selon Carolyn, très important dans peu importe quelle relation que vous entreprenez avec un autre. L’hypocrisie ne fait pas partie de Carolyn. Elle aime mieux dire la vérité, même si elle blesse, aux autres au lieu de le cacher. De plus, elle se soucie très peu de la façon dont elle dit les choses, si elle ne parle pas aux patients. Parfois, quand elle doit dire quelque chose, la manière de le dire est très secondaire. Elle ne tourne pas mille fois autour du pot pour dire quelque chose, même si parfois elle veut vraiment… Même si elle désire dériver sur d’autres choses, tourner autour du sujet sans aboutir, elle est tout simplement incapable. Elle a des lapsus parfois, c’est tout à fait normal.
Attentionnée » Peu importe ce qu’elle fait, une attention incroyable est vouée à son métier. Quand elle prend soin d’un patient, son visage est illuminé, ses lèvres sont constamment étirées en un sourire des plus doux. Dotée d’une incroyable douceur, elle se promet de prendre soin de ces pauvres gens le plus qu’elle peut, de tout faire pour qu’ils se sentent à l’aise. Autant avec des patients qu’avec des membres de sa famille ou avec les personnes les plus proches de sa vie, Carolyn prend soin de tout le monde comme si ces gens étaient de pierres infiniment précieuses et qui peuvent tomber en miettes à n’importe quel moment. Bon, sans exagération non plus…
Patiente » Prenant tout son temps, Carolyn ne perd patience à rien. Bon, elle est humaine quand même… Il y a certaines choses qui causent une légère impatience chez la brunette. Elle n’est pas parfaite, après tout. Enfin, elle préfère prendre son temps à faire quelque chose au lieu de se grouiller, de mal le faire et en subir les conséquences. Avec son métier, la patience est une vertu. Elle ne peut être irritée avec la moindre chose, sinon elle ne survivra pas au lendemain et surement qu’elle n’aura pas choisi ce métier. De plus, elle se doit de se montrer patiente par rapport aux malheurs de ses patients, les réconforter avec ce qu’elle peut. Après tout, c’est à ça qu’elle s’est engagée afin d’obtenir son diplôme.
Sincère » La sincérité se lit dans ses yeux à première vue. Elle est tout simplement incapable de mentir. Même si elle essaie, même si elle se force afin de cacher peu importe quel secret ou pour protéger peu importe quelle personne, le mensonge ne fait pas partit d’elle. Elle a beau essayer n’importe quelle tentative, rien. Que ce soit pour ses sentiments envers quelqu’un, pour donner de l’espoir à un malade ou tout simplement pour remonter l’esprit d’une personne, on y lit une sincérité qui peut paraître étonnante pour certains, mais tout a fait normale pour Carolyn. Elle est comme elle est, en toute bonne foi. Par contre, si sa vie en dépendait, le mensonge la suivrait jusqu’à la tombe.
Défauts
Rancunière » À première vue, elle n’a tout simplement pas l’air de quelqu’un de rancunier. Mais croyez-moi, elle l’est et elle va parfois à des extrêmes. Même si elle peut être très altruiste, elle pense souvent à elle ce qui la pousse à agir sans vraiment y penser deux fois. Elle vit avec la morale : si tu me fais quelque chose qui me déplait, je te ferai quelque chose qui te déplaira. Comme on dit, « La vengeance est un plat qui se mange froid. »
Têtue » Quand elle a une opinion ou une idée en tête, on ne peut la contredire. Elle ne cessera de répéter son idée, parfois emmenant des idées secondaires et des perfections à cette idée afin de rabaisser l’idée des autres. Encore une fois, ce n’est pas quelque chose que l’on voit directement chez elle. Seulement, quand quelqu’un la contredit, c’est la guerre. Elle est complètement obstinée, ne cesse que quand elle prouve aux autres qu’elle a raison.
Maladroite » Parfois, c’est à peine si ses chutes sont causées par ses propres pieds qui trébuchent l’un par-dessus l’autre. Elle a de la misère à faire attention. Hormis le travail, faites très attention lorsque Carolyn marche sur la même rue que vous ou tout simplement si elle est à vos côtés. Elle risque de vous blesser sans même se rendre compte qu’elle a commis un tel acte. Par contre, de bon cœur, elle tente sans arrêt de faire le mieux qu’elle peut afin de réparer ses gaffes si gênantes… Même si parfois elle risque d’en causer d’autres afin de trop aider… Mais patients, ne vous en faites pas. Elle est extrêmement concentrée et fais une extrême attention lorsqu’elle prend soin de quelqu’un.
Très sensible » Il n’est pas rare de voir Carolyn verser des larmes dues à un simple : « Tu exagères » ou « Peux-tu regarder où tu marches, oui? ». Elle peut parfois être de marbre par rapport à plusieurs choses, par exemple lorsqu’elle soigne un patient. Mais en même temps qu’elle enroule ce bandage au bras de ce pauvre monsieur – ou cette pauvre madame —, un tourbillon d’émotions submergeant en elle. Même si elle refuse de se montrer faible aux yeux des autres, même si elle essaie du mieux qu’elle peut pour se montrer forte aux yeux des autres, Carolyn est tout simplement fragile, et ce, peu importe les situations. Un cœur brisé, elle l’a eu… Et des larmes, elle en a pleuré, ce n’est pas nouveau chez elle.
Possessive » Qui connaît Carolyn sait qu’elle est très possessive. Il n’y a pas un objet qu’elle prête tout simplement parce que ce son SES choses et qu’elle tient à ses choses plus que tout. Son piano?! Seule elle a le droit d’y toucher. Les autres n’oseront pas déposer un doigt sur le bois verni de son piano, qui brille à merveille. Et si quelqu’un y touche, elle devient colérique. Elle peut bien briser tout autour puisque son piano est son refuge, sa source vitale… De la même façon quand elle est en couple, seulement son petit ami ne sera pas un objet. Si elle remarque qu’une fille fait trop de l’œil à SON petit ami, la guerre a été déclenchée. Une chose à comprendre : Carolyn ne partage rien et ne voudra jamais rien partager.
Jalouse » Sa jalousie se montre que quand Carolyn est en couple avec quelqu’un, ce qui ne s’est pas produit depuis longtemps. Mais pendant cette relation, elle ne supporte absolument pas l’idée de voir son petit ami jaser avec une fille. Rapidement, elle devient paranoïaque et ce monstre vert de jalousie se manifeste, pouvant créer des dégâts beaucoup plus intenses que ce que sa maladresse peut créer. Même que parfois, elle se permet de rabaisser les filles avec lesquelles son petit ami parlait occasionnellement, refusant de dire qu’elle est jalouse. Parfois, il y a tout simplement des choses qui ne se disent pas… Vrai?
Goûts :
Le Piano » C’est son rêve caché, son pays libre. Depuis très longtemps, Carolyn avait — et a encore d’ailleurs — un seul et unique rêve avant de devenir infirmière : celui de devenir pianiste. Elle se sent envahie d’incroyables émotions lorsque ses doigts dansent sur les touches d’un piano, émettant un son plus que délicat et divin. Elle a un don, celui de jouer de la musique. Malheureusement, depuis son arrivée à Babylon, elle n’a plus accès à un piano, ce qui attriste la jeune Rousseau plus que tout. Le piano c’est son seul moyen de se détendre quand tout est tendu, son seul moyen de voir la lumière quand tout est noir et son seul espoir quand l’espoir est perdu. Malheureusement, ce rêve de devenir pianiste s’est si brusquement tassé lorsqu’elle a mis les pieds à Babylon.
Le café » On sait tous que le café est la source vitale pour plusieurs personnes. Parmi ces personnes se trouve Carolyn, l’accro aux cafés. Si vous ne la voyez pas avec un verre de café entre les mains, il y a trois possibilités : tout d'abord, elle ne l’a pas encore pris, mais ça ne risque pas de tarder. Secundo, elle l’a déjà pris, mais un deuxième va être au rendez-vous. Finalement, elle en a assez bu pour la journée. C’est vraiment comme une drogue pour elle.
La médecine » Même si sa mère voulait qu’elle approfondisse ses talents de pianiste, Carolyn avait une autre idée en tête pour son avenir : devenir médecin. Même si son rêve de devenir pianiste est très important pour elle, elle a préféré travailler dans un domaine où elle a la possibilité d’aider les gens. Sans oublier le fait qu’elle avait peur de ne pas être à la hauteur de tous les autres pianistes, et elle avait peur de se retrouver sans abri, sans nourriture, etc. Enfin. Elle a développé son amour pour la médecine à l’adolescence, mais elle n’a pas pu devenir médecin tout simplement parce que devenir infirmière lui semblait mieux. Elle ne regrette aucunement son choix.
Manies/Phobies :
Jouer avec une mèche de cheveux » Ça lui arrive quand elle est très concentrée à écouter soit un cours, soit un film. Contrairement au cliché d’enrouler une mèche de cheveux autour de son doigt et battre des cils afin de plaire à un beau garçon n’est pas dans cette manie. En fait, ça n’a rien de séducteur! C’est tout simplement une habitude qu’elle a eue lorsqu’elle est concentrée à écouter quelque chose.
Mordre sa lèvre inférieure » Il y a un moyen de savoir quand Carolyn ment. Elle se mord souvent la lèvre inférieure. En fait, c’est plus par pure nervosité que sa lèvre inférieure reste souvent prisonnière de ses dents. Par nervosité et par timidité. Carolyn est une personne qui, malgré le fait qu’elle soit très directe envers les autres, est gênée même si elle fait un effort pour ne pas l’être. Alors, imaginez l’état de sa lèvre lorsqu’elle trébuche devant un tas de monde!
Le noir » Dans le côté phobies, Carolyn a une peur incroyable du noir. Le fait de ne rien voir entraine Carolyn dans un état de panique, voire même de paranoïa. Elle s’imagine tout plein de scénarios quand elle est dans le noir. Heureusement, qu’elle a été dans le noir que quelques fois dans sa vie sinon elle ne serait pas aussi saine qu’elle l’est maintenant.
Les insectes » Qu’ils soient petits, gros, inoffensifs ou mortels, elle a une peur bleue à chaque fois qu’elle voit un insecte. Parfois, c’est drôle parce qu’elle frôle la crise cardiaque quand elle voit une mouche… Mais autrefois, c’est tout simplement un état de panique qui s’empare d’elle. Elle a tout simplement peur qu’ils se faufilent dans sa maison, dans son lit, dans ses cheveux… Même le mot « insecte » procure des frissons à Carolyn.
Autres ://
Dernière édition par Carolyn E. Rousseau le Dim 8 Fév - 19:20, édité 19 fois |
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| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 20:42 | |
| STORY LEFT BEHIND Famille
Daniel Rousseau » Son héro sans même l’avoir connu. Daniel Rousseau était issu d’une famille fortunée en France. Il avait grandi sans se soucier s’il allait manquer quelque chose puisqu’il était l’enfant gâté de la famille Rousseau. Ayant quatre frères et deux sœurs, ce n’était pas rare pour lui de sentir de la jalousie face à fratrie. Étant le dernier, il était le petit protégé de la famille, le petit homme auquel on ne devait pas faire de mal. Ironique qu’il soit devenu soldat, hein? Il n’avait que dix-huit ans quand il s’était enrôlé dans l’armée pour défendre son pays dans la Seconde Guerre mondiale. Plusieurs années passèrent et c’est à l’âge de 24 ans qu'il était revenu parmi les siens et s’était rebâti une nouvelle vie. Ayant rencontré Mary Hayford dans un café, rapidement il était tombé amoureux. Six mois plus tard, ils se sont mariés devant leurs proches. Malheureusement, trois ans après leur mariage, Daniel fut assassiné quelques mois avant la naissance de sa fille, Carolyn.
Mary Hayford » Sa mère. Comme Daniel, Mary est née d’une famille riche. Étant enfant unique, Mary a toujours été protégée par ses parents. Quand elle a rencontré Daniel, c’est comme si sa vie avait un sens alors qu’elle croyait qu’elle n’en avait pas. Elle savait qu’elle allait se marier avec lui dès leur premier regard. Étant originaire de Bretagne, Mary était en France pour un voyage dû à ses études en médecine. Elle n’avait pas prévu devenir amoureuse durant ce voyage! Six mois après sa rencontre avec Daniel, elle est devenu madame Mary Rousseau. Pourquoi ont-ils attendu trois ans avant d’avoir un enfant? En fait, ce n’était pas l’attente. C'était tout simplement, car ils avaient du mal à avoir des enfants.. Ça arrive. Après trois ans d’essai, Mary a finalement tombé enceinte. Malheureusement, son mari n’a jamais eu la chance de rencontrer sa fille, Daniel a été assassiné quelques mois avant la naissance de leur ange laissant une Mary dépressive qui, malgré les essais d’être forte, avait de la misère à prendre soin de sa fille. Alors que Carolyn était âgée de 8 mois, Mary est retourné vivre chez ses parents avec Carolyn. Là-bas, elle devient plus dépressive que ce qu’elle était en France. Ayant développé une passion pour la première reine Élisabeth, elle est complètement obsédée par elle. Ne pouvant plus élever sa fille, ce sont ses parents qui se sont chargés de cette responsabilité.
Rosalyn&Normand Hayford » Les parents de Mary. Ils ont soutenu leur fille dans tous les pires moments de sa vie. La mort de son mari, la dépression qui s’est emparée d’elle et qu’elle a maintenant. Ils sont ceux qui ont élevé Carolyn, Mary ayant pris un détour pour le pire.
Dernière édition par Carolyn E. Rousseau le Mar 12 Mai - 23:51, édité 8 fois |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 20:42 | |
| WHAT ARE YOU HIDING ?
Prénom/Pseudo : Vanosh !
Age : 19 ans =)
Sexe : F. ! ^^
Présence sur le forum : Je suis là de façon très régulière, genre 7/7 ! Par contre avec les cours, la possibilité de réponse varie. Même si je serai en ligne, ça ne voudra pas dire que je suis entrain de répondre. =(
Code du règlement : Code OK by Angus
Nom et prénom de l'avatar : Sophia Bush
Comment avez vous découvert le forum ? : Simplement par hasard sur le partenariat d'un forum !
Multi-comptes : Non!
Dernière édition par Carolyn E. Rousseau le Mar 12 Mai - 23:52, édité 2 fois |
| | | | Lisbeth B. O'Connor
Admin |
 Nombre de messages : 2743
Age : 32
Votre Prénom/Pseudo : Margaux
Nourriture : Rhésus positif.
Humeur : A jouer à pile ou face.
Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 25 ans. En parait 17.
● Citation: When other little girls wanted to be ballet dancers I kind of wanted to be a vampire.
● Relations:
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 21:49 | |
| Bienvenue parmis nous, très bon choix de vava  | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 21:50 | |
| Bienvenue  |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 21:51 | |
| Awwh! Merci! =D (Goshh! Tom Welling! *Bave*)
En fait j'hésitais entre deux mais bon, contente de voir que j'ai fait un bon choix! x)
Je tâcherai de terminer ma fiche bientôt! (:
Dernière édition par Carolyn E. Rousseau le Lun 2 Fév - 22:00, édité 1 fois |
| | | | Livia S. Hagebak
SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
Nombre de messages : 3641
Age : 40
Votre Prénom/Pseudo : Hélène.
Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain.
Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night.
Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès.
● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 21:57 | |
| Bienvenue parmi nous.
Bon courage pour la fifiche. =) | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 21:59 | |
| Ah c'est si rare des fans de Tom  |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 22:02 | |
| Merci Livia! =D
x)
Tooooom ! Gooosh ! Trop.. Trop.. Trop.. Trop beau. XD
Bon j'arrête de Flooder et je continue ma fiche ! XD |
| | | | Alexander P. MacDraw
 Nombre de messages : 921
Age : 35
Votre Prénom/Pseudo : Chris.
Nourriture : Si seulement ils étaient comestibles.
Humeur : Insatiable, jamais rassasié de la peau froide de son ennemie.
Date d'inscription : 06/12/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: vingt-cinq ans.
● Citation: Il y a une extase qui marque le sommet de la vie, et au-delà de laquelle la vie ne peut pas s'élever. Et le paradoxe de la vie est tel que cette extase vient lorsque l'on est le plus vivant, et elle consiste à oublier totalement que l'on est vivant.
● Relations:
| | | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 23:23 | |
| |
| | | | Declan W. Bowden
Devil Admin | Not a Monster. Just a Villain.
Nombre de messages : 3882
Age : 35
Votre Prénom/Pseudo : Maëva
Nourriture : Humains.
Humeur : Indescriptible
Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 247 ans
● Citation:
● Relations:
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 23:35 | |
| Bienvenue ici Vanosh. Alexis t'as été réservé. =) | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 2 Fév - 23:51 | |
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| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Dim 8 Fév - 20:36 | |
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| | | | Norman Fitzpatrick
Infréquentable non-négociable.
Nombre de messages : 611
Age : 34
Votre Prénom/Pseudo : Lee
Multi-Comptes : Léandre H. Altar
Nourriture : Toute chair tendre et odorante...
Humeur : Enragé!
Date d'inscription : 20/10/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 24 ans, ou 162, au choix
● Citation: On tient, on étreint la vie comme une maîtresse, on se fout de tout brûler pour une caresse...
● Relations:
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Mar 10 Fév - 18:00 | |
| Bienvenue ici et amuse-toi bien, frêle humaine! | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Mer 11 Fév - 2:55 | |
| Frêle? XD
Merci pour l'accueil !! =) |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Mer 11 Fév - 17:40 | |
| Très bon début de fiche.  J'ai édité le code, il était bon. Je te souhaite bon courage pour ton histoire, j'ai hâte de lire. ^^ |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Jeu 12 Fév - 0:14 | |
| Merci beaucoup!! =) Normalement, je devrais avoir terminé ma fiche ce soir! EDIT : Désolé, j'ai dû continuer sur cette page, mon histoire étant trop longue. ^^' Enfance & adolescence
PROLOGUE
Le pouce dans la bouche, le son du craquement de ses ongles se fait entendre dans la salle d’attente. Les deux jambes montent et descendent rapidement d’impatience. La sueur perle sur son front et sa deuxième main est prise dans celle de celui qu’elle aime. Cette main qu’elle serre tellement fort au point que ses jointures deviennent blanches. Le regard fixé sur la porte où il est inscrit « Dr. Murion », elle ne peut s’empêcher de pousser des soupirs d’impatience et a regardé l’heure à de multiples reprises. Elle ne comprend pas. Elle ne comprend rien…
* Pourquoi c’est long ainsi?! Que fait-il là-dedans?!! Est-ce qu’on va dire mon nom bientôt?! Va-t-elle se lever de sa chaise et..— *
INFIRMIÈRE – Pour madame Mary Rousseau?
MARY – Oui! C’est moi!
INFIRMIÈRE – Le docteur vous attend, madame.
Se mordillant la lèvre inférieure, elle se dirige vers la porte inscrite « Dr. Murion » accompagnée de son mari. Les jambes tremblent, les mains sont moites. Elle ne peut s’empêcher de déposer une main sur son cœur qui bat à une vitesse incroyable, comme s’il va sortir de sa poitrine et se mettre à sautiller sur le plancher. Elle finit par s’asseoir après avoir repris le contrôle de ses jambes qui, décidément, ne voulaient rien savoir du mot « mouvement ». Replaçant ses lunettes à ses yeux, elle regarde Daniel qui, étrangement, paraît très calme et serein par rapport à elle.
* Suis-je la seule à paniquer? *
DR. MURION – Madame Rousseau! Jamais deux sans trois, hm?
MARY – La troisième année c’est la bonne.
DR. MURION – Eh bien… Hmmm… Je ne sais pas comment vous dire ça mais…
DANIEL – C’est.. une mauvaise nouvelle?
DR. MURION – J’espère que vous avez une chambre de trop.
MARY – Pa… Pa…Pardon?
DR. MURION – Toutes mes félicitations! Vous attendez un enfant madame et monsieur Rousseau!
Sous le choc, Mary fixe le docteur jusqu’à ne plus le voir, ses larmes obstruant sa vision. Les mains encore plus tremblantes que quand elle a mis pied dans le bureau du docteur, elle les dépose devant sa bouche et tourne la tête vers Daniel qui, comme sa femme, est entièrement sous le choc. Ça n’a pris que quelques secondes avant qu’ils réalisent que ce n’est pas un rêve et une étreinte est partagée entre ces deux amoureux qui, après trois sans d’essai, ont finalement une raison de plus pour exister.
7 MOIS PLUS TARD
DANIEL – Je vais tout simplement aller acheter du lait, Mary…
MARY – À cette heure-ci? Daniel, il est près de 21h…
DANIEL – Pour…. Le café de demain! Je ne serai que quelques minutes, mon cœur.
MARY – Hmm.. Fait vite! J’ai quelque chose à te montrer par rapport au bébé!
Un sourire anime les lèvres de Daniel alors qu’il se dirige vers la porte de sortie de leur appartement. Alors qu’elle est en train de plier les nouveaux morceaux de vêtements du bébé, elle hoche négativement la tête, un sourire orné au coin de ses fines lèvres. Étirant le bras afin de prendre un nouveau morceau de vêtement, elle prend un pyjama blanc qu’elle porte doucement à son nez afin d’y respirer l’air… L’odeur des vêtements de son futur enfant. Elle voit sa vie se tracer devant elle. Cet enfant, garçon ou fille, est en train de jouer dans un espace vert tellement énorme. À ses côtés se trouve Daniel… Dans une journée d’été, une journée ensoleillée et où la chaleur est apaisante. Où le soleil couchant lui caresse la peau blanche, peinte de taches de rousseur, et ne fait que lui donner l’énorme sentiment de bien. Ce qui la sort de cette rêverie? Un coup de feu. Rapidement, ses yeux s’ouvrent et la première personne à qui elle pense est son mari. Portant ce pyjama sur le divan où elle est assise, elle se lève rapidement et descend les escaliers sans vraiment faire attention à tous ces gens qui sortent de leur appartement. Une main déposée sur son ventre, elle arrive à l’entrée principale de leur immeuble et elle sent son cœur se briser en de millions de miettes. Elle le sent comme s’il est sorti de son poitrail et qu’il est tombé sur le sol, brisant comme un morceau de cristal. La respiration accélérée, elle voit un regroupement de gens autour du corps qui gisait au sol, qui baignait dans son propre sang.
* Non… Impossible…. Non, non… Non! Seigneur, non ! *
MARY – Tassez-vous!! TASSEZ-VOUS!
La foule se tasse, laissant Mary s’avancer rapidement et se trouve face à son pire cauchemar. Son pire cauchemar devenu réalité.
2 MOIS PLUS TARD
INFIRMIÈRE – POUSSEZ! POUSSEZ!! ENCORE!...
À travers ses cris, à travers son ultime douleur, à travers ses larmes, la rougeur, la chaleur, un nouveau cri se mélange au sien. Le cri de son rayon de soleil. Le cri de la vie… Le cri de sa fille. Malgré la solitude, malgré la noirceur qui l’entoure, Mary a su prendre soin de sa fille pendant huit mois. Après huit mois, la douleur était insupportable. La solitude devenait une vertu et elle ne pouvait plus ne serais-ce que se lever afin de nourrir la petite Carolyn. Quand la noirceur devient réalité, on ne peut y échapper…
CHAPTER ONE
5 ans
Elle porte une jolie robe jaune. Les cheveux bruns sautillent à tous les mouvements qu’elle fait. Le son de son rire illumine le visage de ses grands-parents et anime leurs lèvres d’un sourire des plus doux et sincères. Du haut de ses cinq ans, elle court du plus vite que ses petites jambes peuvent l’emporter, voulant à tout prix esquiver son grand-père qui court derrière elle. C’est un jeu fréquent chez les Hayford. Ils jouent à la cachette toutes les fois que le soleil se pointe au rendez-vous. La journée est belle. Le soleil brille de tous ses rayons et réchauffe le sud de la Bretagne. La cachette… Le jeu que Carolyn aime le plus. Elle n’a pas la possibilité de jouer à ce jeu avec sa mère, celle-ci ayant un problème psychologique depuis la mort de son mari. Mais elle sait que son grand-père ne la laissera jamais tomber pour jouer à ce jeu. Riant aux éclats, elle finit par se faire attraper par l’homme qui lui reste encore beaucoup d’énergie en lui. Après s’être assis près de sa femme, il fait asseoir la petite Carolyn à ses genoux et celle-ci, curieuse comme tout, lève ses gros yeux bleus vers lui. Ces yeux qui illustrent l’énorme curiosité qu’elle tente de garder cachée. Se mordillant la lèvre inférieure, elle tourne les yeux vers la fenêtre de l’énorme maison et y voit sa mère assise devant le piano en train de jouer du « n'importe quoi ». Par la suite, elle repose son regard sur son grand-père qui regarde au loin. Pour avoir son attention, la brunette lui dépose une main sur sa joue et lui tourne la tête vers elle… Pas vraiment le meilleur moyen d’avoir son attention, mais elle l’a eue malgré tout. De sa petite voix aiguë, elle demande..
CAROLYN – Tu n’as pas terminé l’histoire…
NORMAND – Voyons voir… Où en étions-nous?
CAROLYN – Quand la princesse a été enfermée dans la chambre!
NORMAND – Ah!! Oui, oui. Alors que le prince cherchait la princesse qui possédait ce soulier en verre, la méchante belle-maman l’a enfermée dans une chambre et a caché la clé……..
Pour Carolyn, sa mère a toujours été la princesse dans les histoires de son grand-père. Elle ne sait pas pourquoi, elle ne sait même pas comment elle pourrait être une princesse… Mais en quelque sorte, sa mère est la princesse dont le prince est perdu… Éternellement perdu. Carolyn ne sait pas que papa s’est fait assassiner, elle ne sait pas que maman pleure tous les soirs, étouffant même les larmes devant elle. Tout ce qu’elle sait c’est que maman est malade. Que maman ne va pas bien… Mais maman va finir par voir le soleil un jour… Maman va finir par être heureuse…
***
CHAPTER TWO
17 ans
FILLE – Je te dis… Il est intéressé à toi! C’est certain!
CAROLYN – Mais non… Regarde-le… Il est…
* Trop beau pour être vrai… *
CAROLYN – Il n’est tout simplement pas intéressé. Point.
FILLE – Ah ouais? Alors pourquoi s'approche-t-il avec une feuille à la main?
CAROLYN – Qu..Qu.. Quoi?!!
SAMUEL – Salut.
Son cœur bat encore à sa plus grande surprise. Elle lève les yeux vers la source de cette voix et remarque le garçon le plus beau qu’elle a vue de toute sa vie. Sa beauté est incomparable. Alors que les lèvres du garçon sont entrain de bouger et que ses yeux sont fixés sur les yeux de Carolyn, tout ce qu’elle semble entendre est une voix étouffée. Une voix qui ne résonne absolument pas. Elle ne semble rien entendre sauf son cœur qui ne cesse pas de battre rapidement. Un sourire des plus nerveux se trace à ses lèvres et elle hoche positivement la tête aux paroles du garçon, aux paroles qu’elle n’entend pas. Tournant les yeux vers son amie, celle-ci encore éblouie par le garçon, Carolyn reporte son attention sur lui et écoute attentivement ses paroles. Alors qu’elle se concentre sur ses lèvres, il lui tend une feuille blanche où il y est écrit une adresse… Elle baisse les yeux sur cette feuille et relève ses yeux vers lui et peut enfin entendre ce qu’il dit, malgré le tambourinement de son cœur.
SAMUEL – Alors ça serait vraiment bien que tu puisses venir… Enfin... J’aimerais vraiment que tu puisses y être, en tout cas.
CAROLYN – Je… Eh... D’accord….
Vêtue d’une jolie robe blanche, elle entre dans cette énorme maison dont l’adresse y est toujours indiquée sur le morceau de papier qu’elle n’a pas lâché. Se mordillant la lèvre inférieure de nervosité, elle pénètre dans cet endroit où plusieurs personnes y sont… Et de nombreuses bouteilles d’alcool. Fronçant légèrement les sourcils, elle pivote sur elle-même pour mieux voir les lieux. Sinistre.. Bizarre. Haussant enfin les épaules, elle marche lentement entre les gens qui dansent, qui boivent, qui rient… Elle n’a pas particulièrement envie d’être dans cet endroit… D'autant plus que ce n’est pas elle. Elle n’est pas du genre à aller dans ce genre de fête… Mais pour plaire au plus beau garçon de l’école, elle ferait tout. Petite naïve. Il en a tiré avantage de sa naïveté. Ça s’annonçait une histoire d’amour des plus adorables, des plus clichées, mais reste que c’était SON histoire d’amour, c’était son conte de fées. Leur histoire s’est annoncée trop belle pour être vraie. Un an plus tard, alors qu’elle prend la ruelle, comme à son habitude, pour retourner chez ses grands-parents, c’est lui qu’elle voit… Accompagné d’une autre. Elle se sent alors prise d’une lourdeur sur les épaules… Comme un coup de poing sur le ventre, elle dépose sa main sur celui-ci comme si elle allait vomir. Elle n’existe pas pour lui, elle n’existait pas avant et n’existerait jamais… La main sur la joue, comme si elle vient de recevoir l’énorme gifle de sa vie, elle se tourne rapidement et se dirige vers la sortie de la ruelle, les larmes lui montant aux yeux et la rendent aveugle. Poussant ces gens qui étaient sur son chemin, elle s’est promis de rester loin de tout sentiment qui ressemblerait à quelque chose d’affectueux. Elle s’est promis de ne plus jamais aimer…
CAROLYN – Je le savais…, murmure-t-elle.
Dernière édition par Carolyn E. Rousseau le Lun 16 Fév - 18:31, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 16 Fév - 3:44 | |
| L'âge adulte
CHAPTER THREE
24 ans
CAROLYN – Aaaallez, monsieur Rhon, je vais vous aider à vous asseoir. (Le soulevant) Hep! Attention, vous pouvez endommager votre dos! (Le bras enroulé à celui du patient, elle l’assoit sur une chaise berçante.) Voiiilà! Si vous vous sentez trop fatigué, appelez-moi.
Infirmière depuis presque un an, Carolyn est passionnée de ce qu’elle fait. Elle adore prendre soin des malades, elle adore leur donner cette attention qu’ils n’ont pas… Comme sa mère. Après une longue journée de travail, Carolyn entre chez elle à une mère qui n’est pas des plus saines d’esprit. Pourtant, elle refuse de l’abandonner dans un hospice ou dans un asile… Elle préfère prendre soin d’elle, lui donner tout l’amour et l’attention qu’elle peut offrir au lieu de lui donner ce sentiment d’abandon. Ceux qui connaissent Carolyn savent très bien à quel point elle se sent peinée quand elle aborde ce sujet alors elle préfère l’éviter. Mais parfois, les choses ne vont pas comme nous les espérons… Parfois, la vie nous met face à des obstacles qui ne sont absolument pas faciles à surmonter. Parfois… Nous n’avons pas le choix, tout simplement. Pourquoi infirmière? Elle se sent tout simplement à sa place. Quand vous avez ce sentiment d’appartenance à quelque chose, ce sentiment d’être comblé… C’est ainsi que Carolyn se sent quand elle enfile cet uniforme blanc et qu’elle fait son possible pour prendre soin de ses patients. Parfois, nous avons tout simplement envie d’appartenir… Sortant de la chambre de monsieur Rhon, Carolyn se dirige rapidement vers une pièce où sont gardés la plupart des médicaments de leur département. Prenant un calmant, elle se tourne rapidement et tombe face à face avec deux infirmières. La première, celle qui l’a employée et la seconde se trouve à être une des infirmières du département. Cette dernière empoigne le calmant de la main à Carolyn alors que la première l’emmène dans son bureau. Nerveuse, elle sent ses mains devenir légèrement moites et elle commence à mordiller sa lèvre inférieure en observant chaque mouvement que son employeur fait. Par sa démarche, ça n’a pas l’air d’être la meilleure des nouvelles..
INFIRMIÈRE – J’ai entendu quelque chose dernièrement…
CAROLYN – Ah?... Comme quoi?
INFIRMIÈRE – Que tu allais nous quitter pour aller à Babylon.
CAROLYN – Ah… Ça. Et.. Qui vous l’a dit?
INFIRMIÈRE – Ce n’est pas important. L’important c’est de savoir si cela est vrai. (Un silence s’installe dans la pièce.) Alors, Carolyn?... Est-ce que c’est vrai?
CAROLYN – J’y ai pensé, oui. On… On m’a proposé quelque chose et j’y réfléchissais…
INFIRMIÈRE – Ça ne répond pas à ma question, mademoiselle Rousseau.
CAROLYN - … Oui. Je voulais vous en parler mais… Je… N’ai… Tout simplement pas eu le… Ahem… Temps.
INFIRMIÈRE – Hmm. D’accord. Et… La raison?
CAROLYN – C’est personnel, en fait.
La vraie raison?! Sa mère allait se faire transférer dans un asile. Même si Carolyn préfère prendre soin d’elle, même si elle a protesté, serrer les poings, taper des pieds comme un enfant, pleurer les larmes de son corps, il n’y avait rien qui aurait pu changer l’avis de ses grands-parents. Alors, elle voulait quitter la maison au plus vite, ne voulait plus rester près d’une famille qui faisait souffrir sa pauvre mère. Or, elle s'est fait offrir un poste dans la clinique de Babylon qui lui faisait amplement plaisir. De plus, une de ses tantes éloignées habite Babylon et elle n’est plus très jeune. Même que, elle frôle la mort. Elle quitte la famille qui l’a trahi et elle va dans une nouvelle ville où elle peut continuer à faire ce qu’elle aime faire, bien sûr elle n’est pas rémunérée, mais est-ce qu’elle y pense vraiment? Non. Tout ce à quoi Carolyn pense c’est d’aider les autres. Même si c’est de déménager dans une ville plutôt étrange.
INFIRMIÈRE – Ce fut un plaisir de travailler avec toi, Carolyn Rousseau.
CHAPTER FOUR
25 ans
CAROLYN – Aïe…
HOMME – Hop! Est-ce que ça va?
CAROLYN – (Se relevant et empoignant son parapluie qui était au sol) Je devrais survivre, merci…
HOMME – Vous êtes maladroite, dite donc!
CAROLYN – (Tapotant sa robe pour retirer le plus de saleté.) Ahm.. Euh, oui. Je m’excuse de vous avoir heurté comme ça, habituellement je regarde où je vais…
HOMME – Ne vous inquiétez pas pour moi, je vais très bien… Ehm… Vous…. Vous… Vous saignez… De.. De la main.
CAROLYN – Ah?.. (Baissant les yeux vers sa main droite) Ah… Avec un peu d’eau ça devrait guéri — (Levant les yeux vers l’homme en face d’elle, elle se fait couper par son absence soudaine.) Euhm…
Depuis, elle est secrètement à la recherche de cet homme.
Vous avez peur avec tous ces meurtres ?
Si elle a peur? Elle a peur, oui. Elle écoute les nouvelles, elle lit les journaux et elle ne peut s’empêcher de s’inquiéter pour non seulement sa vie mais la vie de sa pauvre tante. Bien qu’elle sait très bien que tante Gloria ne peut se lever de son lit, elle a tout de même peur que quelqu’un entre par la fenêtre ou entre par infraction durant sa courte absence au supermarché ou.. Peu importe, elle est inquiète. Même si sa peur ne se manifeste que quand elle entend parler de ça aux nouvelles ou bien quand elle lit ce genre d’articles, elle essaie de ne pas montrer à quel point ça lui fait peur. La plupart du temps, elle est bonne actrice. Sans oublier les affreuses rumeurs que les autres infirmières de la clinique tentent de circuler par rapport à la cause du décès de tous ces pauvres gens. Ça rend Carolyn folle d'inquiétude. Malgré tout, elle essaie de se montrer la plus neutre possible.
Voilàààà !! J'ai terminé!
Si jamais il y a quelque chose à changer, veuillez me le dire! =)
^^
EDIT : J'ai modifié la cause de son déménagement à Babylon. Je n'étais pas satisfaite de l'idée que j'avais initialement. =)
Dernière édition par Carolyn E. Rousseau le Lun 16 Fév - 22:58, édité 3 fois |
| | | | Lisbeth B. O'Connor
Admin |
Nombre de messages : 2743
Age : 32
Votre Prénom/Pseudo : Margaux
Nourriture : Rhésus positif.
Humeur : A jouer à pile ou face.
Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 25 ans. En parait 17.
● Citation: When other little girls wanted to be ballet dancers I kind of wanted to be a vampire.
● Relations:
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 16 Fév - 14:56 | |
| On va lire ça et on te tient au courant | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 16 Fév - 17:55 | |
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| | | | Livia S. Hagebak
SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
Nombre de messages : 3641
Age : 40
Votre Prénom/Pseudo : Hélène.
Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain.
Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night.
Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès.
● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 16 Fév - 23:42 | |
| Très jolie fiche.
VALIDEE.
Bon jeu. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau Lun 16 Fév - 23:45 | |
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| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: Carolyn Élisabeth Rousseau | |
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| | | | | | Carolyn Élisabeth Rousseau | |
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