Draven Van Helling

IDENTITY

Nom : Van Helling
Prénom(s) : Draven
Surnom : aucun de connu, mais il y a surement source à en trouver
Âge : 236 ans, mais en parait 24. Age auquel il est mort.
Date & Lieu de Naissance : 14 mars 1736
Date & Lieu de Décès : 06 juin 1760
Clan : Black Blood

SECRET WORDS

Draven a une carrure qui en impose, surtout du haut de son mètre quatre-vingt-dix-sept. Taillé comme une armoire normande, peu de gens restent de marbre face à un colosse de ce genre qui en plus a un charisme plutot dérangeant. Mais avec ce visage juvénile et surtout ces yeux bleus ainsi que ces cheveux noirs mi long, il en a déja amadoué plus d'un, au plus grand malheur de ces pauvres humains. Ne communiquant que très peu par les mots, un regard suffit à comprendre la plupart du temps. Draven est un grand adepte de la communiquation silencieuse, tellement de choses passent par les yeux qu'il serait idiot de ne pas s'en servir. Et avec le temps c'était presque devenu tout un art pour lui. Capable de vous séduire ou de vous pétrifier d'un seul regard, son regard vous en dira bien plus long que tous les mots du monde. Mais la plupart du temps, Draven a un regard neutre, voire plutot froid envers les humains comme les vampires. En plus de cela, il a la peau pâle et les yeux plus ou moins sombre en fonction de sa faim, comme tout vampire. Mais ses yeux restent presque tout le temps à leur couleur naturelle, la soif de viande et de sang frais de ce chasseur dans l'âme étant quasiment insatiable.



Il est loin d’être ce qu’on appelle un « fashion victim », la mode est loin d’être quelque chose qui le passionne, sa manière de s’habiller est plutôt rudimentaire, mais il a cependant une couleur dominante dans ces vêtements, le noir. C’est sa deuxième couleur préférée après la couleur du sang. Presque tous ses vêtements sont noirs, le reste est de couleur sombre, cela afin qu’il puisse traquer ses cibles, ou les surprendre en rue. Cela lui donne l’impression d’être un chasseur, et ca ne lui donne qu’encore plus de plaisir.

Et vu que cela fait mainteanant 212 ans qu’il est mort, il est bien obligé par moment de renouvelé sa garde robe pour ne pas paraître trop rétro. Et passer du temps dans les magasins est pour lui très désagréable, pas parce qu’il est un homme, non, juste parce que rester au milieu de tant de proies potentiels sans pouvoir se servir est tellement frustrant ! Surtout pour un chasseur de sang frais comme lui.



Réfléchi :

Draven est quelq’un du genre à analyser la situation avec attention, et il a un don pour observer une situation ou une personne et en déceler tout ce dont il a besoin de savoir. Il a un esprit logique et sensé. Il ne laissera que très rarement son instinct dominer ses actions, il ne le fait qu’en ayant la certitude intérieure qu’il doit le faire. Mais souvent, il agit de manière bien réfléchie, jamais sans raison !

Calme :

Souvent, ce vampire sera très calme, cela dépendra des situations, du contexte ou d’autre chose, mais naturellement, il est calme et serein. Même si cet état peut ne durer parfois que quelques instants. Cela dépend de son humeur du jour.

Froid :

Draven ne s’attache pas aux gens, en tout cas il essaie d’éviter, et de sa nature hautaine, il a une attitude froide avec les personnes qui l’entourent. Le regard dur et pas enclin à la conversation qui s’affiche sur son visage n’est pas vraiment encourageant, mais ce visage de jeune homme dans la fleur de l’âge, ce visage juvénile inspire, malgré lui, la confiance. Même son comportement est froid et distant

Imprévisible :

Il peut passer du tout au tout en un instant sans même que qui que ce soit puisse en déceler la raison, il peut passer d’un état de sérénité à un état de colère, ou de folie meurtrière en à peine en quelques secondes sans aucune raison apparentes. Très peu de gens comprennent ses motivations, ce qui le pousse à agir, seul ses proches sont capable de le comprendre.

Sadique :

Il aime la violence, le sang est sa couleur favorite, il aime faire couler le sang de ses victimes à flot en entendant leur cri de douleur, ce qu’il préfère, c’est de les voir crier et pleurer d’impuissance, cela lui donne un plaisir inimaginable. Et quand sa victime est morte, la plupart du temps, il la démembre, rendant le corps méconnaissable, car souvent, ils meurent trop vite pour lui, ils ne résistent pas assez pour qu’il s’amuse pleinement, et cela l’énerve !

Manipulateur :

C’est presque un don pour lui, et il y a pris gout surtout depuis qu’il est devenu vampire, il aime diriger son interlocuteur dans la direction qu’il désire, sentir qu’elle se laisse porter par ses mots sans se méfier le moins du monde, cela lui donne l’impression d’être face à un agneau, fragile et vulnérable. Et l’envie de le dépecer par après n’en est que plus grande, ainsi que le plaisir qu’il en éprouvera.

Hautain :

Par rapport à ses congénères, les autres vampires, et même les gens dans les lieux publics, Draven ne montre que dédain pour eux, se considérant, judicieusement, bien plus haut dans la chaine alimentaire que ce « bétail de dernière classe » comme il appelle les humains. Mais les autres vampires que ceux de son clan sont pour lui des cibles de seconde zone, excepté des rares exceptions.

Fidèle :

Il peut être le pire des monstres mais sa plus grande qualité est sa fidélité, seules quelques personnes en sont les bénéficiaires, et le vampire peut les compter sur les doigts d’une seule main : Declan W. Bowden et Linoa Drew Masen. Et il est fidèle au clan, il est prêt à tout pour le bien du clan, pour son bien il serait prêt à tuer certains de ses membres sauf les deux seuls qui comptent à ses yeux(cités juste en haut). Mais en réalité, il n’est pas réellement fidèle au clan, il est juste fidèle à son chef.

Protecteur :

En plus de sa fidélité sans failles, cet être plutôt étrange aux yeux des autres sera toujours là pour protéger ceux qui lui sont chers, et une personne en particulier, la seule personne de qui il se soit entiché malgré toutes les attentes. Linoa est le seul point faible de Draven, mais il est à la fois son point fort.

Pour elle, il déplacerait des montagnes, voire même le ciel s’il le fallait. A ses côtés, il devient aussi tendre qu’un bisounours, mais si elle est ne serait ce que menacé par quelqu’un, ne serait ce que des menaces lancées en l’air, la personne responsable sera retrouvé dans la seconde. Enfin on retrouvera un corps en centaines de morceaux impossible à identifier. Il donnerait sa vie pour cette vampire qui est la seule qui compte à ses yeux.



Les gouts de Draven sont pour la plupart artistiques, sa passion était la peinture, et ca l’est toujours, et son style plutôt…macabre ne l’est devenu qu’un peu plus après être « rené » comme il le dit en parlant de sa transformation. Il faisait des expositions.

Avant d’aller en Irlande, il avait commencé à se faire connaitre, multipliant les vernissages, les invitations à soirées entre artistes reconnus, son ascension se faisait surement, même si toutes ces soirées ne l’intéressaient pas vraiment. Ses toiles faisaient pas mal de remou dans le milieu, ses toiles reflétant son avis négatif de la vie et de la société. Il aimait trouver des manières cocasses de peindre, son imagination débordante en épatait plus d’un.

En plus de la peinture, il aimait bien lire et écouter de la musique de temps en temps, en musique il adorait et adore toujours Bach qu’il avait découvert par hasard. Et en ce qui concerne ses lectures, il adore la littérature anglaise.

Tout cela lui avait forgé un caractère et une personnalité d’artiste, c'est-à-dire un peu imprévisible et étrange pour la plupart des gens. Mais il n’en avait que faire, il s’assumait complètement, enfin presque.

Et donc, en dehors de tout cela, il avait quelques autres passe temps, comme les arts martiaux qui lui permettaient de se défouler, de rejeter toute cette haine. Même jeune, il était déjà très sportif. Le sport étant sa manière de rejeter tous ces sentiments négatifs.



Sa plus grande manie concerne ses victimes, il est incapable de s’arrêter même quand il est mort, car les humains sont si fragiles, trop pour lui en tout cas, ils ne résistent pas aussi longtemps qu’il le voudrait. Donc il a pour habitude de démembrer ses victimes, il ne s’arrête que quand il redevient enfin calme, une fois que sa soif meurtrière est abreuvée.

A part ca, une autre de ses manies est de remettre bien son costume, par exemple en tirant sur ses manches ou en remettant bien ses épaulettes en place, ou encore en passant sa main comme pour le dépoussiérer. Cela montre à quel point c’est un maniaque de son image. Sinon, il est également du genre très souvent s’humecter les lèvres. Il a une autre habitude, il tapote souvent du pied l’air de musique qu’il entendait au loin lors de sa mort.

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STORY LEFT BEHIND

Famille :

• Ryann Van Helling
• Erin Blayne /Van Helling

Meeting of two lost souls

Ce jeune homme n’a jamais eu de vie qu’on pourrait qualifier réellement « de famille ». Ses parents avaient pourtant vécu une des plus belles histoire d’amour, digne d’un conte pour enfants à succès. Son père, Ryann, avait toujours été considéré par tous ses proches et moins proches comme un peintre solitaire, bourru et renfermé sur lui-même. Mais surtout, comme quelqu’un d’un peu « différent » pour rester dans le politiquement correct. Il habitait alors à Utrecht. Mais la vie de cet homme bascula alors qu’il était âgé de 35 ans, un évènement marqua sa vie, ou plus précisément, une rencontre. Comme il le lui arrivait parfois, il avait décidé de faire un voyage, il avait décidé de partir en Irlande. Il ne se doutait pas que ce voyage serait si providentiel pour lui, quelques jours après être arrivé sur place, il fit, par pur hasard, la connaissance d’une Irlandaise, Erin Blayne. Dès les premières minutes, il se créa entre eux quelque chose d’extra ordinaire, presque de transcendental. Un monde se tissait entre ses deux êtres qui semblait en parfaite harmonie, jamais cet homme normalement bourru et froid n’avait jamais dévoilé autant de choses sur lui, jamais il n’avait été aussi agréable avec une personne. Mais surtout, il n’avait jamais ressenti ce sentiment auparavant, un sentiment bien différent de tous ceux qu’il avait déjà pu ressentir pour une femme, bien plus fort ! Mais cela était trop beau pour être vrai, car un réel problème vient à l’esprit de cet homme sous le charme de cette demoiselle, et ce problème vient justement de cette demoiselle, elle vient seulement d’atteindre l’âge de ses dix-huit ans, alors que lui en a 35, et il faut rappeler qu’on est au début du 18e siecle, et cela est très mal vu à cette époque ! Mais Ryann n’en a que faire, rien ne saurait le faire renoncer à cette femme dont il est complètement fou amoureux. Il décide d’essayer de vendre des tableaux pour pouvoir s’installer ici, avec sa bien-aimée, mais il n’a que trop peu de succès, et il se voit donc obliger de rentrer à Utrecht. Il laissera une lettre à Erin où il lui promet qu’il reviendra et que ce jour là, ils se prometteront de rester ensemble pour la vie devant Dieu.

The Deception

Il revient donc dans son plat pays, et il lui faut plusieurs années avant de pouvoir retourner chez sa dulcinée. Il lui faudra exactement trois ans, trois longues années pendant lesquelles il ne cessera de penser à elle chaque jour, chaque heure, chaque instant ! Après être arrivé en Irlande, à Dublin, il retrouve celle à qui il n’a jamais cessé de penser depuis son départ. Mais lui avait rêvé d’elle dans son beau petit monde qui était loin de la réalité brute. Car Erin en avait eu assez d’attendre, malgré les belles promesses, et s’était trouvé quelqu’un d’autre, Ryann était en une seule seconde tombé de son petit nuage en se brisant tous les os possibles, il était retombé sur Terre comme on dit, il était à nouveau dans cette réalité si noire et morrose. Il resta tout de même à Dublin, essayant de persuader Erin de se remettre avec lui, qu’il ne la laisserait plus jamais tomber, qu’il respecterait toutes ses promesses, qu’il ne pouvait vivre sans elle. Ce discours la toucha, et elle lut dans ses yeux qu’il était sincère jusqu’au plus profond de lui-même. Surtout que ce discours avait encore plus de valeur en sachant qu’auparavant cet homme était le plus solitaire et le plus froid qui puisse exister ! Ils se remirent donc ensemble et partirent ensemble pour la ville d’Utrecht où ils vécurent paisiblement…pendant un temps.

The gift from a goddess to an angel

Le 14e jour du mois de mars de l’année dix-sept cent soixante, Erin accouchait chez elle avec l’aide d’une sage femme, l’enfant naquit en criant, un cri qui pouvait paraître un cri de joie. Mais ce cri, Erin ne l’entendit pas, et elle n’entendit plus rien, elle était morte pendant l’accouchement. Elle avait donné sa vie à cet enfant en quelque sorte, mais Ryann ne voyait absolument pas ca de cette manière, il avait tant de peine qu’il devait trouver une personne sur qui la déverser, et la personne était toute trouvée. Ce serait cet enfant à cause de qui il avait perdu la seule femme qui avait rendu sa vie joyeuse et lumineuse…

Vie antérieure :

Draven n’a jamais eu de vie paisible, sa vie fut un vrai calvaire, déjà, dès sa naissance, son père avait commencé à le haïr de toutes ses forces, et jamais cette haine ne baissa, au fil des années, elle ne fit qu’amplifier, encore et encore. Et en dehors de la maison, c’était tout aussi dur à vivre, car avec sa taille anormalement grande, il était l’objet de brimades incessantes ! Sa vie était un véritable enfer, quand ce n’était pas son père qui le battait ou l’enfermait dans sa chambre en le privant de repas, c’était ses « camarades » de classe qui le traitait de monstre, d’abomination ou tellement d’autres noms qu’il a enfoui au plus profond de sa mémoire pour ne jamais s’en souvenir. Chaque jour il voulait que tout cela s’arrête, un jour il voulut mettre fin à ses jours, mais son père l’empêcha, pendant une fraction de seconde, il crut que ce fut par amour. Mais son père lui dit avec un regard noir qu’il avait encore besoin de quelqu’un sur qui déverser tout ce dégout, toute cette haine, et que le monstre qu’il était était la cible parfaite pour cela. Et alors qu’il avait 23 ans, et qu’il vivait toujours le même enfer. Jusqu’au jour où son père tomba gravement malade et s’éteignit dans une agonie de plusieurs semaines. Il décida immédiatement de réunir tout son argent pour partir le plus loin possible de cette ville, il prit le premier avion. Et il arriva à Dublin.

La morsure :

Dublin, 06 juin 1760

« Au mauvais endroit, Au mauvais moment . . . »

Cela faisait quelques jours qu’il était à Dublin, et cette haine, cette rage de la vie restait en lui comme un poison qui le contaminait petit à petit, il passait ses soirées à boire jusqu’à ce qu’il soit complètement saoul. Et ce soir n’allait pas échapper à la règle. Il se sentait tout de même un peu mieux, il n’y avait plus toutes ces personnes pour faire de sa vie un enfer, il se sentait mieux loin de cette ville qui, à ses yeux, était le berceau de toute sa souffrance. En réalité, le choix de la destination n’avait pas été faite au hasard, il s’était toujours demandé si sa mère avait été aussi parfaite qu’il en avait entendu parler, il voulait en parler avec quelqu’un qui l’aurait connu, mais comment chercher, où chercher, où commencer, il n’en avait aucune idée. Le soir, après avoir été se recueillir sur la tombe de sa mère, qui en fin de compte était la seule à qui il pouvait parler, si on peut parler ainsi. Il lui fit part de ses réflexions, de tout ce qu’il avait endurer, peu importait qu’il parlait à une tombe ! Il lui parla de toutes les maltraitances et la méchanceté dont avait fait preuve son père à son sujet. Il avait tellement besoin d’en parler, le fait d’extérioriser tout cela lui faisait un bien énorme !

Le soir, il se rendit dans un bar qu’il trouva après avoir marché une bonne heure dans les rues du centre de Dublin. Un peu après qu’il se soit installé à une table, il avait commencé à remarquer une silhouette sombre qui l’observait du fond de la salle, à cause de l’obscurité, il n’arrivait pas à discerner son visage. Et à chaque fois que Draven regardait pour tenter de voir son visage, cette personne le fixait toujours sans tourner une seule fois la tête. Il finit par s’en désintéresser, et se saoula jusqu’à avoir l’impression d’avoir plus d’alcool dans les veines que de sang. L’ambiance de ce bar était encore sympathique, pas trop bruyante, grâce au fait qu’il n’y avait pas beaucoup de clients. C’était en partie ca qui l’avait décidé à entrer. Une fois qu’il n’avait plus assez d’argent pour continuer à boire, il se décida à sortir, ce qu’il fit difficilement, l’alcool ayant embrouillé tous ses sens, et surtout la capacité de son cerveau à diriger son corps.

En sortant, il jeta un dernier regard à l’homme du fond qui le fixait encore et toujours, et une fois qu’il passa la porte, il sentit le froid lui claquer le visage en un instant. Sa vue était trouble, les sons lui parvenaient difficilement, il devait se tenir à quelque chose pour marcher, bref il était dans un bon état proche du coma éthylique. Il marcha lentement, se tenant au mur le plus proche pour avancer sans tomber. Après quelques minutes durant lesquelles il se sentait observé dans la pénombre de la nuit, il eut l’impression de sentir un coup de vent glacial un peu plus fort qui lui glaça le sang. Il ne réagi pas, plongé dans son malheur de vivre. Et puis il sentit une brise encore plus glaciale lui souffler dans le coup, et compris, après quelques secondes que c’était le souffle d’une créature, mais pas d’un être humain. L’instant d’après, l’homme, qui n’en était pas vraiment un, le plaqua contre le mur d’une force herculéenne malgré qu’il soit plus petit que Draven. Il le tenait avec la force d’un bras mécanique d’une grue ou quelque chose du genre. Draven sourit en s’exclamant.

Vas y ! La mort ne peut pas être pire que cette vie pourrie…

Il n’en avait strictement rien à faire, il aurait du être mort de peur de mourir, mais pour lui, c’était une chance de mettre enfin un terme à toutes ces souffrances, à cet enfer de vie, on ne pouvait lui donner plus beau cadeau. Et il savait bien que ce qui se tenait devant lui n’aurait aucun mal à le réduire au silence d’un seul coup, surtout lorsqu’il apercu les deux canines prédominantes de la machoire de son assaillant, il ne doutait plus un seul instant de la nature de la créature, enclin à réaliser que les vampires existaient bel et bien. Pour lui, cela ne paraissait pas plus étonnant que ca, après tout, pourquoi pas.

Tu ne crains pas la mort ?

Pas le moins du monde après cet enfer de vie…

Il sentit alors les canines du vampire se planter dans son cou, lui aspirant son sang, puis il s’écroula, à cause du manque de sang dans son organisme et du trop plein d’alcool qui le remplissait. C’était pour lui comme une délivrance, il sourit en ouvrant une dernière fois les yeux, son tueur était au dessus de lui, et commencait à s’éloigner, il dit alors qu’il sentait ses forces l’abandonner dans un souffle d’agonie.

Merci

Après la morsure :

Draven se réveilla sur un lit de fortune, c'est à dire sur des tables mises bout à bout. Il sentait des douleurs partout dans son corps, pas un centimètre ne lui faisait éprouvé une terrible douleur. Il ouvra péniblement les yeux, reconnaissant la taverne où il avait bu jusqu'à ce que son corps ne soit plus capable d'avaler une seule goutte d'alcool. Il releva péniblement la tête, était ce un mirage ou bien était il vivant? L'alcool ne s'était pas complètement dissipé, sa tête lui tournait et lui faisait encore plus atrocement mal que le reste! Il commenca à se relever et entendit la voix du tavernier lui dire avec jovialité

Eh ben, vous avez un peu abusé sur la boisson l'ami hier soir, et c'est pas peu dire! On avait bien cru que vous étiez mort!

Draven était à semi conscient, il se leva péniblement, et bailla un bon coup, en refermant a bouche, il fit face à un mirroir qui était accroché à un mur et apercu deux canines prédominantes dans sa dentition, il referma immédiatement la bouche, le tavernier ne devait surtou pas voir ca. IL n'arrivait pas à y croire, de un, il était toujours vivant, mais le plus hallucinant était cette deuxième évidence, il était devenu un vampire. En un instant tout lui revenait en mémoire, l'homme dans la pénombre du bar, et l'attaque dans la rue. En se mettant à réfléchir, il poussa une chaise sur son chemin qui lui paru peser au moins trois fois plus légère. Il s'arrêta, et commenca à comprendre que tout son corps avait été transformé. Le barman reprit alors.

En plus, une masse comme vous, pas facileà délacer mine de rien. Et recouchez vous si vous le voulez, vous avez eu un sommeil plus qu'agité, vous n'arrêtiez pas de crier sans arrêt.

Petit à petit, tout devenait clair dans son esprit, il étai devenu une créature de la nuit, et un sourire se dessina sur ses lèvres, toute cette haine qui était en lui, avec tout ce pouvoir. Il était devenu une sorte de demi dieu, ou plutot de demi démon. Si il s'en référait aux légendes sur les vampires, il regarda alors le barman en s'avancant vers lui. Un sourire sadique se dessinant sur ses lèvres, il s'arrêta devant lui, leva les yeux, le barman apercut alors ses canines proéminentes et eut juste le temps de dire.

Mais...pas possible...

Draven le saisit par le col et l'envoya valser au milieu des tables avec une facilité qui lui parut décondertante, tout ce pouvoir, il pourrait enfin rendre la vie des autres pareille à la sienne. Un véritable enfer! Il s'approcha alors du tavernier, saisit une chaise et arracha un pied de cette dernière, puis abattit l'arme improvisée sur la tête de l'homme, encore, et enconre, et encore, et encore. Lorsqu'il arrêta de crier Draven continua riant de plus en plus fort, ne s'occupant pas de savoir s'il était mort ou pas, il continua encore et encore, inlassablement. Il venait de tuer pour la première fois, et cela était si bon, tellement jouissif. Il n'aurait jamais imaginé que ca lui plairait autant! Et en tournant la tête, il apercut des rayons du soleils qui illuminaient une partie de la salle, il alla derrière le comptoir pour chercher des armes, il en prit deux ou trois, puis tira le corps de l'homme dans la cave de la taverne et se mit à nettoyer le plus vite possible. Il alla ensuite ensuite en haut, et trouva une femme et deux enfants dormant encore paisiblement, il vida la femme de son sang, puis massacra les enfants avec une joie immense! Ce gout du sang était si bon. Désormais il n'était plus la même personne, il n'était plus ce fébrile être humain accablé de maheur, mais une créature des ténèbres assoifé de sang! Une idée s'imposait alors à lui, il devait retrouver celui qui lui avait donné cette nouvelle vie afin de le remercier de lui avoir offert cette chance de prendre sa revanche sur toute l'espèce humaine!

WHAT ARE YOU HIDING ?

Prénom/Pseudo : BN, le plus terrible des biscuits en chocolat !
Age : 20 ans
Sexe : Masculin
Présence sur le forum : régulière
Code du règlement : code ok.
Nom et prénom de l'avatar : Jared Padalecki
Comment avez vous découvert le forum ? : Par le partenariat avec le forum « Night Shadows »
Multi-comptes : aucun

Je lis tout ça et je te dis.
Juste un truc pour information; Jared fait un mètre 93, et pas 82. Sinon il est plus petit que Jensen Et c'est faux. XD

• ps = Je ne savais pas que les avions existaient déjà dans au 17ème siècle. ^^'
  http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_l'aviation
  
  Je suis désolée mais je ne suis pas fan de ta fiche. ^^ Tu récites plus que tu racontes et ton écriture est butée, tes phrases sont mal tournées. Je te propose de t'appliquer plus et de bien revoir tout cela dans l'écriture. =)

oups, j'ai fait gaffe pour la plupart mais là j'y ai pas pensé pour le coup de l'avion, et je vais revoir tout cela, mais à mon avis si je dois tout revoir ce ne sera pas fini d'ici ce soir, donc je ferai au plus vite que je peux

Je te rappelle que tu as 15 jours, pas besoin d'être pressé. =)

Bienvenue parmi nous.
Bonne continuation pour la fiche.
(saleté d'assassin !! )

Moi un assassin? pas du tout, je suis un véritable enfant de coeur et exemple de gentillesse

Délai dépassé, compte supprimé.