| | | Phyllis S. Hoover || Because Days come and go |  |
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|  Sujet: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 18:07 | |
| IDENTITY Nom : HooverPrénom(s) : Phyllis SashaSurnom : certains trouvent amusant de m’appeler Phiphi. Ce n’est pas que j’accorde une quelconque importance au surnom que l’on me donne, mais disons que je n’aime pas vraiment ceux qui tournent mon prénom au ridicule. Ainsi, mon surnom le plus courant est Lili, même si j’en ai plusieurs, en fonction des gens.Âge : 26 ansDate & Lieu de Naissance : 8 Septembre 1946, Bardford, Pennsylvanie.Date & Lieu de la Première Transformation : 2 Février 1962, Bardford, Pennsylvanie.SECRET WORDS Anatomie : On ne peut pas dire que je me prenne au sérieux d’un point de vue physique, au contraire même, ce n’est pas quelque chose de bien important pour moi, même si j’avoue aimer prendre soin de moi.
Mon visage a des traits plutôt fins et délicats, ce qui me donne un très léger air enfantin, même si ceux qui me connaissent appèlent ça un air malicieux, qui serait en rapport avec mon caractère. J’ai une peau assez blanche à la base, même si je n’ai pas la couleur de cheveux assortis. Un nez fin et des lèvres pulpeuses viennent compléter le reste, mais je dois avouer que mes yeux sont sans aucun doute ce que je préfère dans mon physique. Ils sont d’un marron étonnants, si bien qu'on les croit noirs, et nombreux sont ceux qui se laissent distraire par eux… On me dit même qu’il est possible de se noyer dedans, même si je trouve cela un peu pousser, je ne peux pas m’empêcher de rougir à chaque fois devant le compliment. J’ai de longs cheveux blonds pour encadrer mon visage, dont je prends soin, et que je laisse détachés la plupart du temps, afin de me donner un air plus doux.
Côté corps, je dois avouer que je n’ai vraiment pas à me plaindre, et que j’ai plutôt été gâtée par Mère Nature. Ainsi, je n’ai pas besoin de surveiller ce que je mange pour avoir une silhouette fine et des proportions idéales. Je pratique tout de même un peu de sport, mais dans le seul but de me défouler de mes journées. Style vestimentaire :En ce qui concerne le maquillage, j’aime avant tout rester naturelle et sobre, même si je sais me maquiller pour les occasions. Mais la plupart du temps, je me contente de relever mes yeux avec un peu de brush et de mascarat, et de mettre du rouge à lèvre sur mes lèvres. Car il faut quand même préciser que les rouge à lèvre sont mon péché mignon, et que j’en ai une collection assez impressionnante. Je n’utilise que très rarement du fond de teint, uniquement pour cacher mes éventuelles cernes pour être plus précise, ce qui est sans doute l’avantage d’avoir une peau idéale.
Côté vestimentaire, je n’aime pas vraiment me compliquer la vie, mais paradoxalement, je fais tout de même attention à mon apparence. Ce qui m’amène à m’habiller généralement en fonction de mes humeurs, et je peux parfaitement changer de style d’un jour à l’autre. Je privilégie cependant les jeans, que je sais assortir pour chaque occasion, et j’ai également un petit penchant pour les jupes en jean. En général, je porte souvent un haut très simple, mais très classe, de couleur sombre, un jean, et des tiags. Le tout assortit avec un joli collier et un maquillage discret, et le tour est joué pour moi. Pour les tenues habillées, je dois avouer que j’affectionne les longues robes noires, aux formes modernes. Mais bien sûr, étant donné que ce n’est pas le genre de tenues que l’on peut porter à la moindre occasion, je me contente souvent d’une robe courte – noire évidemment -, de leggins noires, et de bottes. C’est encore une fois très simple, mais c’est sans doute ce que j’aime. Psychologie :Je dois admettre que l’on me dit souvent que je suis quelqu’un de mystérieuse avant tout, et que dès les premières minutes où l’on me rencontre, on a forcément envie d’en savoir plus sur moi. Même si je ne fais rien pour, je dispose de ce que l’on appelle d’un magnétisme, probablement grâce à ce premier point, mais également à ma façon de me montrer réservée. En effet, je ne vais que rarement vers les gens, ce sont eux qui viennent à moi, et c’est ce qui fait toute la différence. Je ne fais pas partie de ces personnes qui ont besoin de connaître tout le monde, comme dans un besoin inexplicable de se sentir exister, en fonction du nombre de relations qu’ils ont. Pour moi, j’ai déjà tout ce qu’il me faut, et je suis parfaitement heureuse, alors le reste ne me semble que superflu. C’est d’ailleurs probablement lié à mon côté simple. En effet, je déteste par dessus tout me compliquer l’existence plus qu’elle ne l’est déjà, et encore moins quand il s’agit des relations. Pour moi, c’est très clair. Soit je vous aime, soit je vous ignore. Le fameux blanc et noir, et je fais en sorte de supprimer toutes les nuances de gris, autant que possible. Fidèle en amitié comme en amour, il n’y a pas plus loyale que moi, puisque l’honnêteté et l’altruisme ont une grande importance dans ma vie. La raison est simple : je n’hésiterai pas une seule seconde à tout donner pour ceux que j’aime, y compris la vie. Très douce et tendre, j’ai la fâcheuse manie de m’attacher profondément à ceux qui m’entourent, et de me montrer extrêmement protectrice envers eux. J’ai d’ailleurs un petit côté maternelle, puisque j’aime prendre soin des autres, et je dois probablement le tenir de ma mère. Ce qui implique que j’aurai beaucoup de mal à comprendre si je ne recevais pas de quelqu’un autant que je peux donner, c’est à dire tout. Et dans ce genre de cas, la trahison est d’autant plus forte et douloureuse. Le seul problème, c’est qu’il n’y aura jamais de retour possible. En effet, lorsque je décide de tourner la page, de passer à autre chose et d’oublier, alors je ne reviendrai jamais sur mes paroles. Très têtue, je peux se montrer extrêmement sévère et dure lorsque j’ai été trahie, car pour moi, il n’y a pas de pire chose à faire à quelqu’un. En règle générale, je pense fermement que le contraire de l’amour n’est pas la haine, mais l’indifférence, et malheureusement pour les autres, je l’applique à la lettre. Si je décide de rayer quelqu’un de ma vie, alors il n’existera plus dans mes yeux, c’est aussi simple que cela. Peu de personne arrive à comprendre ce trait de caractère, et certains le confonde même avec de la rancune. Pourtant, j’en suis loin, très loin même. La rancune est un sentiment comme un autre, et si je l’éprouve, cela voudrait dire que la personne aurait une chance de se racheter, or, c’est exactement le contraire. La personne devient littéralement invisible à mes yeux, et en plus, je dois avouer que je jubile de la voir avoir une mauvaise réaction face à cela. C’est pour ça que dans la plupart du temps, je ne relève jamais un défis, ou un combat. Je déteste accorder de l’importance à ce que je trouve inutile, et que je juge comme étant une perte de temps.
Lorsqu’il s’agit de prendre des décisions, je suis très posée et réfléchie, et j’aime m’isoler pour peser le pour et le contre. J’aime également écouter les conseils, même si je ne le montre pas, mais lorsque j’aurai fait un choix, alors ce ne serra pas la peine d’essayer de me dissuader. Au contraire, cela me laissera penser que l’ont remettrait en cause mes paroles, et cela attiserait à coup sur ma colère. Il m’arrive de me montrer assez susceptible, et c’est en général très surprenant, puisque cela reste assez rare. Très ironique, j’aime beaucoup faire dans le sarcasme et l’autodérision, ce qui bien sûr, ne plait pas à tout le monde. Mais je n’ai que faire de ce genre d’individus, et d’ailleurs, cela lui m’a valu quelques ennemis. Il faut aussi avouer que dans ce genre de situation, j’aime énormément en rajouter, probablement dans un côté provocateur, et étant donné qu’on ne peut pas dire que je sois diplomate, cela a faillit tourner plus d’une fois au drame.
Je cache soigneusement une peur de souffrir, et de perdre ceux que j’aime. Je ne supporterais sans doute pas de me retrouver seule, mais pour moi, il n’est pas question de montrer mes faiblesses. Peut être est-ce par fierté, toujours est-il que je porte souvent un masque sur mon visage, refusant de laisser transparaître ce que je ressens réellement. Et pour cela, j’aurai toujours un sourire sur mon visage, et me montrerai toujours joyeuse et vive.
En amour, je cache un côté doux et tendre, que je ne réserve qu’à mon partenaire. En effet, je suis très pudique sur les sentiments et sur ce que je ressens, ce qui fait que je ne montrerai mon amour qu’en privé, détestant les démonstrations exagérées qui ne servent qu’à se faire remarquer. Capable de faire des concessions, je crois en un équilibre du couple, mais paradoxalement, je suis persuadée que les disputent permettent à un couple de tenir, et de respirer. Goûts : Sur ce point là, on peut dire que je ne suis pas compliquée. J’aime les choses naturelles et simples, qui ne nécessite aucune prise de tête, et de ce fait, je me contente de peu. Mais je dois avouer que j’ai quand même deux grandes passions : la musique, et l’écriture. On ne peut pas dire qu’elle régit ma vie, ce serait un peu pousser tout de même, mais ce ne serait pas si exagérer. C’est mon grand père qui m’a transmis sa culture musical, et j’écoute ainsi des styles plus que variés, changeant en fonction de mon humeur. J’ai d’ailleurs une collection assez impressionnante. Je joue également plusieurs instruments : le piano et la basse notament, mais j’ai quelques notions de guitarre et de batterie. Pour moi, je n’ai aucun mérite à en jouer autant, je pense que lorsqu’on en joue un, on est capable d’en jouer une multitude. Après, tout est une question de passion.
J’ai également une passion pour l’écriture, et ce depuis toute petite. En fait, je crois que ça a commencé alors que je lisais énormément, et que ces livres n’ont plus suffit pour me satisfaire. Mais c’était également un moyen de fuir ma vie, de me plonger dans un autre monde, inventé de toute pièce, et où il était plus facile d’être.
Ce n’est que plus tard que j’ai combiné les deux, composant mes propres morceaux, que ce soit pour la musique ou les paroles. Mais étrangement, je garde tout cela pour moi, et rares sont les personnes qui ont déjà entendu une de mes compositions, pour ne pas dire inexistantes. Cela peut paraître étrange, mais je suis très perfectionniste, et je suis rarement satisfaite de ce que je fais. Faut dire aussi que j’ai toujours peur de m’imposer auprès des autres, et que ce sentiment soit ridicule ou pas, cela ne change rien. Peu de personnes connaissent cette facette de ma personnalité. Manies/Phobies : Question phobie, je dois avouer que je ne suis pas loin de l’hystérie quand un insecte s’approche de moi, et plus particulièrement les araignées. Je suis parfaitement consciente que ce n’est pas la petite bête qui va manger la grosse – et cette expression est à prendre au sens littérale dans mon cas – mais je n’y peux rien, ces bestioles me répugnent. Et j’ai un peu honte de dire qu’il est courant que je réveille quelqu’un de mon entourage pour qu’il vienne en tuer une, qui aurait évidement décidé d’élire domicile dans ma chambre. Heureusement, il parait que le ridicule ne tue pas.
Je ne pense pas être quelqu’un qui a une tonne de manies, au contraire même. Je ne suis pas sûre de pouvoir en citer une seule. Peut être ma façon de toujours mordiller mes lèvres, lorsque je réfléchis ou que je suis embarrassée, ou encore ma mauvaise habitude de rougir pour un rien. Mais ormis cela, il n’y a rien d’autre de récurent. Autres : //
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 18:08 | |
| STORY LEFT BEHIND Famille :| William Edmon Hoover | Vous l’aurez compris, il s’agit de mon père. C’est un homme très fort, courageux, et qui avait cette sorte d’autorité paternelle naturelle. Quand il entrait dans la pièce, son charisme imposait aussitôt le respect, et j’ai très vite compris que c’était quelque chose qu’il tenait de mon grand père. Je n’étais pas vraiment proche de lui pendant mon enfance, et pourtant, il a fini par gagné mon respect avec le temps… peut être que ma perception des choses avaient alors changé, ou peut être était-ce sa façon de me considérer qui avait évoluée. Toujours est-il que j’ai enfin réussi à gagner son respect, après toutes ces années.
| Rose Anna Dickens | Ma défunte mère, qui nous a été arraché de manière aussi inattendue que brutale. Sa mort remonte à plusieurs années maintenant, mais je me souviens encore d’elle parfaitement, les moindres détails de son visage si doux, son odeur, et même ses manies. Régulièrement, je ferme les yeux, et l’imagine parmi nous, essayant de savoir comment elle aurait réagit de la situation actuelle, ce qu’elle aurait fait, ce qu’elle aurait dit… C’est un exercice aussi pénible que rassurant pour moi, et heureusement, personne n’est au courant, sinon je suppose qu’on m’aurait fait enfermée. Mais est-ce si mal de chercher du réconfort, avec tout ce qu’il se passe en ces temps incertains ?
| Gabriel William Hoover | C’est ma mère qui a choisit son prénom, par rapport à l’ange Gabriel, évidement. Quelle ironie, quand on connaît le personnage. Il est l’aîné de la famille, celui qui doit suivre les traces de notre père pour protéger notre famille, celui qui doit montrer l’exemple… Je ne serais pas honnête si je disais qu’il est incapable d’assumer ses responsabilités, il le fait admirablement bien. Mais la mort de notre mère en a fait quelqu’un de sombre et plein de vengeance, si bien qu’il se montre intraitable dans tout ce qu’il fait, une rage sourde le consumant petit à petit.
| Tarlach Hoover | Tarlach est né un an après Gabriel, et malgré ce petit écart, on ne peut pas vraiment dire qu’il a été proche de son aîné. En réalité, je pense que Tarlach est un grand solitaire dans l’âme. Il nous aime, c’est évident dans chacun de ses gestes et chacune de ses paroles, mais il aime être seul. Le fait qu’il soit le seul à rester humain a énormément accentué ce trait de caractère.
| Dimitri Hoover | Le plus jeune de mes frères, même s’il reste de deux ans mon aîné. Je n’ai jamais vraiment eu d’atome crochu avec lui, ayant des caractères bien trop opposés. Mais c’est grâce à lui si je suis encore en vie aujourd’hui, puisqu’il m’a sauvé d’une attaque de vampire, et c’est également lui qui m’a plongé dans ce monde si irréel par la même occasion. Vie antérieure :Je suis née par une chaude journée d’automne, un 8 septembre, dans une petite ville de Pennsylvanie. Ma mère a eu beaucoup de mal à me mettre au monde, et a bien failli mourir après plusieurs heures de travail. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle n’a plus voulu avoir d’enfant après moi, et mon père n’a pas insisté, ayant déjà eu le garçon tant attendu dans toutes les familles, et même plus, étant donné que j’étais la plus jeune. J’étais de deux ans plus jeune que mon premier frère, Dimitri, mais malgré ce petit écart, on n’a jamais été proches, au grand damne de ma mère, qui faisait tout pour nous faire jouer ensemble et partager des moments de complicité. Cela n’est jamais arrivé, et on peut dire que j’ai grandi en fille unique, si on part du principe que ce concept existait à mon époque, malgré le fait que je sois la petite dernière de quatre enfants. Contrairement à mon père, ma mère n’a jamais regretté ma venue au monde, et m’a aimé de cet amour inconditionnel, dont seules les mères sont capables de donner, selon moi. Quand j’ai été assez grande pour le comprendre, j’ai aussitôt remarqué que ce n’était pas le cas de mon père, pas qu’il me détestait, mais j’étais tout simplement insignifiante à ses yeux. Pas assez forte, pas assez solide, trop émotive… en bref, j’étais une fille, et seul les hommes avaient leur place dans son monde. Mais je n’y ai jamais vraiment attaché de l’importance, et pour reprendre une expression courante, on peut dire que cela me passait largement au dessus de la tête. A dix ans, j’étais une petite fille plutôt joyeuse, qui passait beaucoup de temps avec son grand père, vivant ainsi sa passion naissante pour la musique. Je lisais également énormément, pour une enfant de mon âge, et heureusement pour moi, la bibliothèque familiale était des plus impressionnantes. Ma grand-mère passait d’ailleurs beaucoup de temps avec moi, pour me raconter des histoires plus extraordinaires les unes que les autres, sur des créatures mythiques qui dépassaient mon entendement. A cette époque, je n’y avais pas prêté attention, me contentant de boire ses paroles, absolument fascinée par tout ça. Maintenant, avec le recul que j’ai, je comprends à présent que tout était planifié.
Malheureusement, tout conte de fée à une fin, et celui des Hoover arriva l’année de mes 12 ans. Je fréquentais alors une école très réputée, car toute jeune femme de mon âge, et de ma classe sociale se devait de recevoir le meilleur enseignement qui soit, même si j’étais parfaitement consciente que mon père m’y avait envoyé uniquement par obligation. Si cela n’avait tenu qu’à lui, je serais probablement restée à la maison avec ma mère, car les femmes n’avaient pas besoin d’un enseignement. Malheureusement pour lui, les mœurs étaient en train de changer, et jamais mes grands parents n’auraient accepté un tel comportement de sa part. C’était un soir de juillet lorsque ma mère fut tuée. Elle avait pour habitude de faire de longues promenades en soirée, aimant marcher dans la nature. Mais ce jour là, elle n’en revint jamais. Ce n’est que lorsque la nuit fut tombée que mon père donna l’alerte, et le shérif trouva son corps ensanglanté sous un amas de feuilles mortes. L’enquête conclut à une attaque d’un animal sauvage, et ce n’est que bien plus tard que j’ai appris la vérité. Il faut bien comprendre que j’avais grandi dans un environnement protégé, dans une grande famille unie. Pour moi, les seuls méchants qui pouvaient exister étaient ceux des histoires qui m’étaient racontées le soir. J’étais si naïve, et pourtant, si proche de la vérité.
Malgré mon jeune âge, je ne pus m’empêcher de noter que cette perte nous avait amenés à un tournant crucial de notre vie, et même si on me tenait à l’écart, pour me protéger, m’avait-on dit, je n'étais pas si ignorante qu’on le prétendait. Et j’avait la chance d’être surtout observatrice, et c’était avec une attention toute particulière que j’avais vu ma famille s’agiter, organiser des réunions avec le reste du village, et curieusement, devenir plus forte et plus proche que jamais. Naïvement, j’avais d’abord cru qu’ils avaient l’intention d’abattre les animaux qui avaient tués ma mère, et les autres victimes. Mais c’était lorsque mes frères avaient quittés l’école que j’avais alors compris que quelque chose de bien plus grand se préparait, de bien plus important, et qui dépassait mon entendement. C’est probablement à cette époque que j’ai commencé à me servir de mes nerfs d’aciers, les mettant à l’épreuve pour me montre calme et posée, attendant patiemment le jour où je serais suffisamment mure pour connaître ce que tout le monde s’acharnait à me cacher.
Je continuai cependant à faire mon chemin, grandissant en étant principalement élevée par ma grand mère, qui tentait de combler l’absence de ma mère. Vers l’âge de quatorze ans, je me découvris un net penchant pour les défenseurs de l’humanité, au grand désespoir de ma famille. Mais je ne fis guère attention à leur objection, car après tout, chaque adolescent doit bien traverser sa propre période difficile. Sauf que la mienne n’était pas si difficile que cela, étant donné que je passais plus de temps à m’amuser qu’autre chose. J’aimais ce que je faisais, ou tout au moins, le peu que mon jeune âge me permettait de faire, et je me complaisais dans l’idée que mes actions contribueraient à changer le monde un jour. Quelque part, je trouvais étrange de voir la vie suivre son court, et il m’arrivait d’être envahie d’un sentiment de culpabilité indescriptible. Ma mère avait été privée de sa vie, celle de mes frères avait radicalement changée, bien que je ne sache pas pourquoi, et moi, j’avais eu le droit de continuer comme si de rien n’était. Mais c’était probablement ce même sentiment de culpabilité qui me guida dans mes choix, et qui me convaincu de poursuivre dans mes luttes pour défendre la cause des humains.
Dernière édition par Phyllis S. Hoover le Sam 3 Jan - 21:43, édité 12 fois |
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 18:08 | |
| La transformation :Tant d’années avaient passées depuis la mort de ma mère, et pourtant, le souvenir était encore bien ancré, et je doutai qu’il puisse disparaître un jour. Bien des choses avaient changé également. Agée de maintenant 16 ans, ma vie avait pris un nouveau tournant, si bien qu’il était difficile de faire le rapprochement entre celle que je suis, et celle que j’étais. Cependant, j’étais loin de m’en plaindre, et je ne regrettais pas le temps où tout le monde cherchait à me protéger, en me tenant à l’écart. Pourtant, c’était loin d’être simple, et parfois, il m’arrivait de croire que tout ceci n’était qu’un cauchemar, et que j’allais finir par me réveiller en hurlant.
J’avais appris l’existence des vampires de la manière la plus choquante qui soit : je m’étais faite attaquée par l’un d’eux, alors que je n’avais que 14 ans. Je n’ai que des souvenirs très flous de cette soirée, J’étais bien sûre complètement ignorante de ce qu’il pouvait bien se passer, ou même de ce que cette créature était, mais je me souviens très nettement de ce sentiment d’impuissance, quand j’avais compris que j’allais mourir. C’est alors qu’un loup était apparu, sorti de nulle part, et s’était interposé. Le combat avait été majestueux, même pour mes pauvres yeux d’humaine effrayée, j’avais eu du mal à me détacher de ce que ma nature me permettait de voir, en raison de leur vitesse stupéfiante. Ce n’est que plus tard dans la soirée, lorsque j’étais enfin en sécurité auprès de ma famille, que j’avais appris que ce loup n’était autre que mon frère aîné, Dimitri.
J’avais alors vu les légendes qui avaient bercé mon enfance prendre vie, ce monde surnaturel que je croyais inexistant était ainsi devenu mien. Deux de mes frères étaient des loups garous, reprenant ainsi le flambeau de nos ancêtres, afin de protéger les humains des créatures qui ne voulaient que leur perte. Regardant mes mains tremblantes, je songeai à l’ironie du sort. Les années s’étaient enchaînées depuis ma première immersion dans ce monde fait de mythes et de légendes, et j’avais suivi l’évolution de Gabriel et de Dimitri en tant que Loup Garou. Etrangement, Tarlach n’avait pas hérité du gène lupin, et cela le rendait des plus solitaires, puisqu’il n’arrivait pas à trouver sa place dans notre famille. Etant une femme, j’étais également épargnée par cette transformation, ou tout au moins, c’est ce que je croyais, jusqu’à il y a 48h. Lorsque ma température corporelle avait commencé à grimper, je n’y avais pas spécialement prêté attention, car après tout, je n’étais pas à l’abris d’une grippe, ou autre maladie de ce genre. Puis la douleur avait commencé à apparaître, d’abord faiblement, me laissant penser à des courbatures, mais lorsque bouger me donnait envie d’hurler, je commençai alors à envisager les choses autrement. Dimitri m’avait déjà raconté sa propre transformation, et rien que pour la douleur, je me souvenais m’être montrée soulagée de pouvoir l’éviter.
L’espace d’un instant, je m’arrêtai de marcher, pour regarder par la fenêtre. Au dehors, le jour commençait tout juste à se lever, et le crépuscule offrait de magnifiques couleurs dans le ciel. J’aurais du apprécier la beauté du spectacle, mais l’agitation qui régnait en moi ne me permettait pas de rester concentrer plus d’une minute sur la même chose. Ainsi, je me remis à tourner en rond entre les quatre murs de ma chambre, parfaitement consciente du fait que derrière ma porte, c’était ma famille entière qui attendait que je les autorise à entrer. Je savais qu’ils étaient soucieux, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me sentir exaspérée par leur comportement. Je ne comprenais pas plus qu’eux pourquoi cela m’arrivait, et le fait de ne pas saisir quelque chose me rendait irritable. Ce qui était une erreur en soi, car comme ces pensées m’atteignirent, je sentis mes tremblements redoubler. M’obligeant à inspirer et expirer calmement, je m’exhortai ainsi au calme, me concentrant sur ma respiration.
La douleur fut aussi soudaine que foudroyante, et la seconde d’après, j’étais dans un coin de la pièce, assise à même le sol, et me tenant la tête entre la tête, dans une tentative futile d’arrêter mes souffrances. A peine consciente de l’accélération de mon rythme cardiaque, je ne pus retenir un léger gémissement, comme je priai pour que cela s’arrête. C’est alors que mon monde entier éclata, littéralement parlant, devenant à la fois aussi brillant que ténébreux. Cela ne prit que quelques secondes, et pourtant, j’eus l’impression que cela dura des heures, comme j’avais le sentiment que mon corps se brisait entièrement. Dans un hurlement sauvage, qui venait du plus profond de ma poitrine, je devins alors celle que j’avais toujours été, sans même le savoir. Dans un éclat de vêtement, un loup géant prit forme, avec de long poils couleur chocolat. Je fus aussitôt accueillie par les voix de mes frères, aussi rassurantes que perturbantes, et cela me suffit pour me calmer instantanément. Je savais parfaitement ce qu’il me restait à faire, je savais ce qu’on attendait de moi, le reste n’avait que peu d’importance. Je n’avais jamais été du genre à croire en une destinée, et pourtant la mienne venait de me rattraper, m’emmenant vers un nouveau tournant.
Dernière édition par Phyllis S. Hoover le Sam 3 Jan - 21:43, édité 3 fois |
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 18:09 | |
| Depuis la transformation :Je n’avais pas pour habitude de penser à la façon dont j’allais mourir. Le danger et la mort était devenu chose courante dans ma vie, et j’avais endossé ce rôle de protecteur sans hésiter une seule seconde. Cette famille était devenue mienne, et j’étais capable de tout pour la défendre. La preuve en était encore cette nuit, alors qu’un des plus jeune de la meute s’était fait attaquer par surprise par un vampire. Sévèrement blessé, il avait eu de la chance que ma forme loup me donnait la faculté courir vite, afin d’arriver à temps pour m’interposer. A bien y réfléchir, lui ordonner de fuir n’avait pas été la meilleure idée que j’avais eu, maintenant que deux vampires se dressaient devant moi, et que je sentais le sang s’écouler de ma patte blessée. Si cela m’handicapait cependant, je n’en montrai rien, et je me tenais dressée sur mes pattes arrière, réfléchissant rapidement à mes solutions. Les créatures en face de moi étaient des nouveaux nés, je pouvais encore sentir le venin couler dans leur veine, et leur odeur me dégoûtait encore plus que celle de leurs congénères, si c’était possible.
La voix d’Alexander éclata soudainement dans ma tête, signe qu’il venait de se transformer, et malgré moi, je laissai échapper un léger soupir de soulagement. Ainsi, le jeune loup était parti chercher de l’aide, ce dont je lui étais reconnaissante. Une danse funeste commença alors avec mes adversaires, et, tirant avantage de ma carrure fine et agile de louve, je me mis à me mouvoir de manière rapide et habile. Ainsi, je ne laissai aucun des vampires m’approcher suffisamment près pour avoir le loisir de me mordre, et je parvins tout de même à leur infliger quelques blessures. Mon but premier était de gagner du temps pour attendre le renfort d’Alex, qui je savais n’était plus très loin. Tandis que mon esprit lui transmettait ce que je voyais, grâce à la télépathie dont disposaient ceux de notre espèce, je l’entendais grogner de fureur, et je ne pus m’empêcher de lever les yeux au ciel. Il n’hésitait jamais avant de se jeter la tête la première dans un combat, et c’était quelque chose qui avait le don de me rendre folle d’inquiétude.
J’avais déjà vu la mort de près, avec tous les combats que nous menions pour défendre les humains, il n’était pas rare de tomber dans des embuscades, ou de perdre l’avantage lors d’un duel. C’était toujours si vite arrivé, qu’il était terrifiant de voir à quel point tout pouvait s’arrêter, en une fraction de seconde. Un geste mal fait, un instant d’inattention, et la vie n’avait alors plus aucune signification. Il est d’usage de dire les dernières secondes avant la mort, toute notre vie passée défile devant nos yeux. Personnellement, ce n’est pas du tout le cas. L’adrénaline permet au cerveau d’enregistrer plus rapidement ce qu’il se passe, ou plutôt, ce qu’il va se passer, sans pour autant que l’on puisse sortir de cette spirale. Cela donne l’effet d’être coincé dans un mauvais rêve, et que le moment où l’on se réveille s’échappe au fur et à mesure que l’on tente de l’attendre. Aujourd’hui n’avait pas fait exception, et c’est dans une sorte d’état second que j’avais senti le vampire me projeter violement contre un arbre, et que j’avais vu le second se jeter sur moi. J’étais incapable de m’en sortir, incapable de faire le mouvement qui pourrait me sauver la vie. J’entendais la voix de mon ami hurler de colère dans ma tête, m’ordonnant de me lever et me battre, et déjà je m’excusais de ma faiblesse.
Je n’avais jamais regretté mon état de loup garou, le prenant plutôt comme une seconde chance, qu’une malédiction. Bien sûr, cela n’avait pas été facile de me réconcilier avec ma nature d’humaine, mais à raison de travail et de soutient, j’y étais parvenu. Je m’étais entrainée, j’avais travaillé jusqu’à tomber d’épuisement, pour devenir la meilleure, et gagner le respect de ceux de mon espèce. Etre une femme n’était déjà pas facile, alors être une louve l’était encore moins. Pourtant, j’avais prouvé à mon entourage ce dont j’étais capable, et quand on m’avait assignée à Babylon, je n’avais pas hésité une seule seconde. J’étais parfaitement conscience que je risquais de ne jamais en revenir, mais je ne pouvais pas regretter ce choix, tant il avait apporté de choses dans ma vie, bonnes ou mauvaises. Et j’étais maintenant heureuse avec la vie que nous menions, étant en accord avec moi-même, et ayant réellement l’impression que mon existence avait un but. C’est pourquoi mourir ce soir là ne me semblait pas si insurmontable que cela, et je pouvais seulement espérer que ma meute finirait pas entrevoir les choses à ma façon. Dès la seconde où ces pensées me traversèrent l’esprit, je reçus un chapelet d’insanités en réponse, ce qui eut le don de m’attendrir. Alexander était mon ami le plus proche, et j’étais sûre qu’il pourrait même devenir beaucoup plus que cela, si je le permettais. Il était impressionnant de voir au nombre de choses auxquelles le statut de loup garous nous permettait de penser en même temps, et si rapidement. Car au dehors, comme à l’intérieur, la bataille faisait rage, et touchait à sa fin.
Dans un dernier effort, et poussée par une volonté qui n’était pas mienne, je parvins à m’écarter de la trajectoire du vampire, mais pas suffisamment pour ne pas être touchée. Quelques unes de mes côtes se brisèrent dans un bruit sinistre, comme un hurlement s’échappait de ma gueule de louve. Dans un état second, j’aperçus la silhouette massive et imposante d’Alexis s’imposer entre moi et mes adversaires, comme il se jetait corps et âme sans hésitation dans le combat. L’instinct de préservation est quelque chose d’incroyable, et combiné à la loyauté, il peut accomplir pratiquement tout. Enfin, c’est tout au moins ma théorie. Dans un ultime effort, je me redressai, et profitant de l’effet de surprise, j’abattis le second vampire, mes crocs acérés séparant la tête de son corps en moins d’une seconde, avant de me laisser tomber définitivement sur le sol, épuisée. J’allais me rétablir, je le savais, la douleur avait changé, me signalant ainsi que mes blessures guérissaient à une vitesse tout sauf humaine.
« Petite inconsciente, veux-tu me faire mourir d’inquiétude ? » me lança Alexander, comme sa tête humaine apparaissait dans mon champ de vision.
J’en déduis par la même occasion que j’avais du perdre la notion du temps avec la douleur, pour qu’il est eu le temps de se transformer à nouveau sans que je le remarque. Levant les yeux au ciel, je ne répondis cependant pas. L’espace d’une seconde, je me demandai combien de fois j’arriverais à jouer ainsi avec mon destin, le provoquer, sans pour autant en payer les conséquences. Mais je supposais que seul le temps m’apporterait une réponse.
WHAT ARE YOU HIDING ? Prénom/Pseudo : LilyAge : 24 ansSexe : fémininPrésence sur le forum : très régulièreCode du règlement : edit code bonNom et prénom de l'avatar : Anna PaquinComment avez vous découvert le forum ? : oula! Je m'y étais inscrite lors de son ouverture, mais je n'avais pas eu le rôle. Alors le temps d'oublier le perso que je m'étais mis en tête, me revoilà. ^^Multi-comptes : jamais, je suis incappable d’assumer deux rôles sur un même forum.
Dernière édition par Phyllis S. Hoover le Sam 3 Jan - 21:42, édité 1 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 18:12 | |
| Bienvenue !  |
| | | | Livia S. Hagebak
SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
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● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès.
● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 22:51 | |
| Bienvenue parmi nous. Pour le vava, il faut qu'elle ait l'air plus agé que Rpattz, Thomas et Ashley. Si tu as des préférences envers telle ou telle actrice, n'hésite pas à en faire part pour qu'on te donne notre avis.  Bon courage. | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 27 Déc - 23:08 | |
| |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 0:52 | |
| Merci pour l'accueil! ^^
Alors pour le moment, ce ne sont pas les idées qui se bousculent niveau avatar. Mais j'ai vite fait pensé à Camilla Belle, Anna Paquin ou Charlize Theron. |
| | | | Livia S. Hagebak
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● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 1:06 | |
| Pas Camilla !! (je la supporte pas  ). Charlize fait un peu vieille mais why not. Je préfère largement Anna.  | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 2:50 | |
| Comme avatar, j'avoue que je n'aime pas trop non plus Camilla Belle. J'ai pensé à quelques actrices. Emilie De Ravin, Rachel Bilson, Bille Piper, Eliza Dushku, Zooey Deschanel ou encore Scarlett Johansson.
Enfin, ce sont juste des idées comme ça. ^^' |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 12:11 | |
| C'est vrai que Anna Paquin est superbe! Ah ouii j'avais oublié Scarlett Johansson aussi.  |
| | | | Livia S. Hagebak
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● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 15:56 | |
| Nan pas Scarlett. Je l'imagine très mal dans ce rôle. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 17:23 | |
| lol!
Bon je crois que je vais arrêter de changer d'avis toutes les secondes, et me décider pour Anna Paquin... vu qu'elle fait l'unanimité! xD |
| | | | Livia S. Hagebak
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● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 17:28 | |
| Très bon choix.  | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Dim 28 Déc - 18:04 | |
| Je me doutais qu'il te plairait! xD |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Sam 3 Jan - 21:45 | |
| Désolée du double post, c'est juste pour signaler que j'ai terminé. ^^ J'espère que tout est bon, car je suis un peu partie en live à certains moments, et j'ai peur d'être tombée dans le mélodramatique. |
| | | | Declan W. Bowden
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Mar 6 Jan - 16:08 | |
| Bon, vu que l'autre Phyllis n'a toujours pas commencé sa présentation. On va voir ça. | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Mar 6 Jan - 17:16 | |
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| | | | Declan W. Bowden
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Mar 6 Jan - 22:03 | |
| Bon, sache qu'il n'y a pas de leggins dans les 70's. =)
Sinon tu as bien compris le perso, tu es validée. =) | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Mar 6 Jan - 22:09 | |
| - Declan W. Bowden a écrit:
- Bon, sache qu'il n'y a pas de leggins dans les 70's. =)
Sinon tu as bien compris le perso, tu es validée. =) J'ai longtemps hésité sur les leggins! xD Merci beaucoup! |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go Mer 7 Jan - 0:39 | |
| Mdr les leggins ont révolutionnés la vie de bien des demoiselles c'est pour ca xD
Bienvenue parmis nous avec un petit train de retard, désolé j'étais a l'exil lol^^ |
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| | Sujet: Re: Phyllis S. Hoover || Because Days come and go | |
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| | | | | | Phyllis S. Hoover || Because Days come and go | |
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