Linoa D. MASEN • Over&Over

Invité

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IDENTITY

Nom : Masen, un nom typiquement allemand qui provient du nord du pays.
Prénom(s) : Linoa Drew. Bien que son premier prénom puisse paraître original, il n’en est rien si on jette un coup d’œil à l’arbre généalogique de la vampire ; en effet, ce prénom est aussi celui de sa grand-mère paternelle, qui elle-même le tenait de sa propre mère. Le prénom a ainsi été attribué aux filles de la famille pendant 4 générations.
Surnom : La longueur limitée de son prénom et sa prononciation agréable ont toujours restreint le nombre de surnoms qu’on attribuait à Linoa. Lin’ est sans doute le plus populaire et certains s’amusent parfois à s’adresser à elle en employant des diminutifs tels Lily, Lino ou Noa sans qu’elle n’y voie aucun inconvénient. Par contre, elle supporte nettement moins bien les appellations comme « Petite » et « Hey toi ! ». Quel manque flagrant de savoir-vivre.
Âge : Linoa a officiellement arrêtée de vieillir quelques temps après ses vingt-et-un ans. Cent soixante-dix-neuf années se sont écoulées depuis, faisant de la demoiselle une vampire qui a récemment fêté ses deux cents ans d’existence.
Date & Lieu de Naissance : Le 4 avril 1772 à Hambourg, en Allemagne.
Date & Lieu de Décès : Elle s’est éteinte dans la nuit du 6 au 7 octobre 1793, en Irlande.
Clan : Linoa est membre du clan Black Blood. Le plus parfait inconnu s’interrogerait sans doute sur ce choix, qui peut paraître bien sanglant pour la poupée de porcelaine que semble être Linoa. Il ne faut toutefois pas se fier aux apparences. Non seulement les Black Blood correspondent-ils parfaitement à son mode de vie (renier sa véritable nature est, selon elle, d’un profond ridicule), mais c’est également en leur sein qu’elle a vu le jour pour la deuxième fois, cent soixante-dix-neuf ans auparavant. En effet, c’est un membre du clan qui a fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui et la vampire qu’elle était devenue à l’époque ne voyait d’autre solution que de suivre son créateur. Ajoutons à ces explications un troisième raison, celle qui possède le poids le plus important dans la balance : Draven fait partie de ce clan. Et où Draven est, Linoa sera toujours.

SECRET WORDS

Anatomie :

Tout, chez Linoa, rappelle ces adorable poupées de porcelaine que les fillettes collectionnent. Sa taille, ses mimiques, sa façon de se mouvoir et de s’exprimer lui confère cet air incroyablement mignon et par conséquent un pouvoir énorme sur les gens. Son maigre mètre soixante-deux n’est certes pas impressionnant quand elle est dans les bras de Draven –qui la surpasse de plus de trente centimètres- mais il semble parfaitement proportionné à sa silhouette élancée et est parfaitement mis en valeur par la grâce avec laquelle Linoa se déplace. On sait les vampires particulièrement agiles et gracieux, c’est un fait connu ; chez Linoa, par contre, cette qualité physique semble être à son paroxysme. Chacun de ses mouvements semble parfaitement calculé, maîtrisé avec la précision d’une ballerine. Pourtant, aucune trace de concentration dans son visage. Ce dernier est perpétuellement détendu et serein, comme si rien au monde ne pouvait la faire ciller. On sait tous que ce n’est pas le cas, et les quelques colères de Linoa sont magistrales –et bien souvent affreusement violente. Ceci dit, rien dans ses grands yeux en amande couleur bronze ne le laisserait présager. Comme rien dans la manière dont son nez se retrousse adorablement lorsqu’elle est en pleine réflexion et la façon dont ses lèvres se relèvent en le plus mutin des sourires ne laisserait deviner que lorsque la faim la tenaille trop fort, la poupée de porcelaine se transforme en dangereux félin. Même en connaissant ce côté moins attachant de sa personne, il est difficile de résister devant les vagues parfaites de ses cheveux foncés, la profondeur de son regard dans le vôtre et les mimiques toutes plus amusantes les unes que les autres qui prennent place à tour de rôle sur son visage. On s’y laisserait mordre avec plaisir.

Style vestimentaire :

Contrairement à Draven qu’il faut traîner dans les magasins, Linoa est une mordue de mode. N’allez pas croire qu’elle n’est qu’une écervelée dotée d’une carte de crédit ; elle voue simplement un grand intérêt au monde du vêtement et prend plaisir à s’habiller. Sa garde-robe reflète parfaitement sa personnalité. Peu de noir et une collection de couleurs et de motifs vivifiants. Son style, quoique récolté à coup de ravage dans les boutiques, est unique. Et principalement basé sur le port de la robe. En effet, Linoa possède un très, très fort penchant pour les robes courtes (courtes ne signifiant pas, dans le cas présent, vulgaires) aux allures rétro. Elle aime les motifs floraux originaux –et par conséquent, pas hippie-, les picots, les robes ceinturés et les talons classiques. Elle agence sa tenue d’accessoires discrets mais charmants, comme la chaîne d’argent qui ne quitte jamais son poignet et l’éventail de boucles d’oreilles devant lequel elle hésite à chaque fois qu’elle enfile un ensemble. Les mots d'ordre : simplicité et élégance. En toute circonstance.

Psychologie :

Rayonnante •

Personne ne pourrait réfuter cette affirmation, pour la simple et bonne raison qu’elle est à la base même de la personnalité de Linoa. La vampire semble effectivement être née avec le gène de la bonne humeur ; il est très rare que l’éclatant sourire qui couvre habituellement ses lèvres s’absente et se fâcher en sa compagnie relève de l’exploit. Parce qu’elle est incroyablement apaisante, tant par sa volonté de garder l’ambiance légère qu’importe la situation que par les simples regards qu’elle envoie autour d’elle lorsque les esprits commencent à s’échauffer. Ce n’est pas une pacifique née dépourvue de tout sens du combat, ô non ; elle considère simplement que si la violence a sa part de nécessité dans toute vie bien vécue, la haine devrait éviter de s’immiscer au sein des familles. Et son moyen de remédier aux inévitables tensions se révèle être, jusqu’à maintenant, très efficace : elle accompagne chacun de ses gestes et paroles de toute la bonne humeur du monde.

Possessive •

Tant elle sait être généreuse par moment, tant Linoa peut parfois se montrer excessivement possessive à certaines occasions. S’approcher de près ou de loin de son futur repas n’est certainement pas une bonne idée ; dès le moment où Linoa décide qu’il s’agira de sa prochaine victime, elle la protège plus que le ferait une mère, empêchant quiconque de s’en approcher et grognant dès qu’on l’observe pendant ce qu’elle considère être comme un trop long moment. Elle devient son jouet, son unique propriété. Jusqu’à la prochaine.
Un autre exemple incroyablement frappant de ce trait de caractère qui est le sien serait son attitude face à certaines jeunes femmes parfois trop enthousiastes devant l’esthétique très plaisante de son fiancé. Quiconque –humaine ou vampire- qui jetterai un regard trop insistant à l’égard de Draven serait automatiquement sujette à une réaction pour le moins désagréable de Linoa. Cette dernière échange alors le sa personnalité rayonnante pour enfiler le masque de peste qu’elle devient parfois et enchaîne avec une méchanceté incroyablement sincère grognements menaçants et répliques assassines. Son excuse ? « On se doit de faire ce qu’il faut pour garder son homme. »

Impulsive •

Qu’elle ait une tendance prononcée pour la bonne humeur et le rire n’empêche pas Linoa de parfois se montrer d’une regrettable impulsivité. Il lui arrive de soudainement couper court à une traque des plus intéressantes parce que la proie l’irrite soudainement ; dans de tels cas, elle arrête brutalement le petit jeu dans lequel elle a entraîné sa victime, rejoint cette dernière en quelques pas et la tue tout bonnement, lassée de ses tentatives de corruptions ou de ses ridicules cours de morale. Son impulsivité passagère se présente parfois également sous la forme de paroles qu’elle aurait du retenir. En effet, il arrive parfois à Linoa de s’emporter en envoyant une réplique cinglante à quelqu’un ou, pire, en menaçant quelqu’un qu’elle n’aurait aucun plaisir à manger. Ces occasions lui sont excessivement désagréables, parce qu’en femme digne de ce nom qu’elle est, elle se considère obligée de respecter les promesses et menaces qu’elle offre. Il lui arrive donc parfois de tuer des gens qui lui étaient autrefois bien indifférents, et ce dans le seul but de préserver son intégrité. Que deviendrait-elle si elle commençait à distribuer allégrement des promesses et des menaces à tout hasard ?

Calme •

L’impulsivité et le calme peuvent très bien aller de pair, comme le démontre superbement Linoa. Cette dernière conserve –presque- toujours un calme apaisant, ne cédant jamais à la panique et très rarement à la colère. En effet, même ses très, très mauvaises passes se font dans le plus grand calme : elle est capable de devenir la pire des pestes, la plus incroyable prédatrice et l’adversaire la plus désagréable sans que le ton de sa voix n’augmente d’un grain. Tant cette aptitude en calme plus d’un et accentue cette impression d’apaisement qui lui colle à la peau, tant elle se révèle aussi être un puissant instrument d’intimidation. Parce que n’importe qui, humain, vampire ou loup-garou, sera plus méfiant à l’égard d’une jolie brune trop calme. Et parce que l’entendre menacer tout calmement sous un clair de lune, les bras mains croisées derrière elle et la silhouette immobile, ça la rend tellement plus terrorisante.

Irrésistible •

À quoi sert de nier quelque chose d’évident ? Linoa a toujours su jouer de son physique avantageux et de sa personnalité adorable ; sa transformation n’a qu’accentué l’une et l’autre de ses qualités, améliorant ainsi sa prédisposition à obtenir ce qu’elle désire. Mais le terme « irrésistible » ne s’emploie pas uniquement dans sa manière de s’approprier ce qu’elle convoite : Linoa Masen est tout simplement irrésistible dans tous les aspects de sa personne, point. La manière dont le coin de ses lèvres se soulèvent quand elle sourit, le son cristallin de son rire, la profondeur de ses yeux noisettes… il y a quelque dans son physique qui attire, une certaine fragilité qui donne envie de la protéger et une force certaine qui surprend. Sans compter l’éclat de sa personnalité. On lui donnerait le Bon Dieu sans confession pour qu’elle s’en délecte, on arracherait la lune du ciel pour la voir briller dans ses grands yeux mutins. C’est là un pouvoir qu’on ne possède pas tous.

Perfectionniste •

Linoa a un sens aigu du détail. L’important, le superficiel, tout revient au même pour la vampire qui déteste que tout ne soit pas parfait. Ainsi, elle adore planifier une traque d’avance, suivant sa victime à quelques occasions pour en arriver à prévoir avec exactitude quelles seront ses réactions et tentatives au moment de sa mort. Elle aime laisser les corps dans une position artistiquement intéressante ; ne supporte pas une mèche radicalement de travers au sommet de la tête ou un coin de chemise froissée et pourrait passer dix minutes à l’installation d’un tableau pour s’assurer que ce dernier soit parfaitement droit. Elle ne se plait pas à recommencer mille fois le même processus ou à repasser derrière le travail bâclé des autres, certes, mais ne peut néanmoins s’en empêcher, par soucis du travail bien fait. Où irait le monde sans un soupçon d’ordre et de perfection ?

Dangereuse •

La première fois que notre regard s’accroche au maigre mètre soixante et à la silhouette fine de Linoa, le terme « dangereux » n’est certainement pas le premier qui nous vient en tête. Et pourtant. Habituée de jouer sur l’apparente fragilité de son physique et sur son éclatant sourire, la demoiselle a développé d’horribles et étonnement violentes techniques de chasse. Elle aime traquer, elle ne s’en cache pas. Elle ne voit aucun problème au fait de se nourrir d’humain et d’utiliser la violence pour y parvenir, au contraire : elle considère qu’il s’agit là de sa nature profonde, de la manière dont sa race se doit de vivre. Et elle y fait honneur, c’est bien évident. Une fois passé le cap de ses beaux grands yeux et de la manière dont son nez se retrousse légèrement lorsqu’elle sourit, on découvre en Linoa Masen une redoutable prédatrice, dénuée de compassion et de quelconque regret. Mais ses chasses ne sont pas les seules choses à craindre chez elle ; ses colères, quoique rares, sont dévastatrices. Et imprévisibles. Parce qu’on sent bien qu’elle met tous ses efforts à garder son calme, comme elle le fait toujours quand quelque chose ne fait visiblement pas son bonheur. La différence est que parfois, l’irritation est plus forte que sa propre volonté. Et on finit invariablement par le savoir au moment où on objet considérablement précieux et fragile finit par s’écraser contre le mur opposé.

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Goûts :

Outre Draven et le sang humain, la première passion de Linoa est –et sera toujours- la peinture. Véritable artiste dans l’âme, elle possède une impressionnante collection d’œuvre, autant signées de sa propre main que volées dans des demeures de familles malheureusement décédées. Son style personnel a évolué au cours des cent quatre-vingt dernières années, influencé par les nombreux courants artistiques, mais privilégie toujours un réalisme saisissant et un vivifiant sens de la couleur et du contraste. Continuellement inspirée par mille et un modèles, elle peut passer des heures à laisser filer le pinceau, simplement éclairée par le clair de lune alors que sa mémoire redessine avec une incroyable précision les contours du visage de Draven ou la manière dont un arbre flanche sous un vent trop puissant.
Ce ne sont pas là les seules choses que Linoa apprécie. De part son caractère, il est de toute manière bien prévisible de la voir porter une attention particulière à certaines choses pour le moins inusitées. Ainsi, elle adore l’odeur du lilas, les manoirs ancestraux et tout ce qui se rattache à son pays d’origine, l’Allemagne. La musique tient également une part importante dans la vie de Linoa, qui est incapable de ne pas laisser libre cour à ses années de pratique lorsque ses doigts viennent à effleurer les touches bicolores d’un piano.

N’allez toutefois pas croire qu’il n’y a rien qui l’insupporte, ce serait trop mal la connaître. Outre l’odeur absolument infeste des loups-garous, son propre visage en photographie et l’accent purement américain, Linoa ne tolère pas le manque de savoir-vivre. C’est sans doute la chose qui, au sein des mille et unes injustices terriennes, provoque chez elle la plus forte réaction. Élevée dans un milieu particulièrement conservateur au sein d’une Allemagne fière et digne, Linoa n’est pas moins qu’habituée aux marques de politesse et à la galanterie à laquelle elle a toujours eu droit. Accusez-la d’être horriblement vieux-jeu si cela peut illuminer votre journée, elle l’assumera avec le plus grand plaisir. Cela dit, elle aime qu’on ouvre la porte devant elle, qu’on tende le parapluie au-dessus d’elle lorsqu’il commence à pleuvoir et considère que l’emploi du prénom complet et bien articulé si l’on est pas dans l’entourage proche de quelqu’un relève de la plus basique des règles.

Manies/Phobies :

Manies •

Les quelques tics qui ponctuent l’attitude de Linoa sont très vite devenus déchiffrables aux yeux de son entourage puisqu’ils sont un lien direct vers les émotions et les pensées qui la tenaillent. On devine donc aisément qu’elle est plongée en pleine réflexion lorsqu’elle se met à mordiller sa lèvre inférieure, tout comme on sait pertinemment que le bruit régulier de ses ongles contre une surface dure indique qu’elle passe lentement de l’attente à l’impatience. Le papillonnement accéléré de ses paupières signifie qu’elle s’apprête très certainement à demander quelque chose à Draven et l’entendre chantonner est généralement signe qu’elle a obtenu ce qu’elle désirait. Mais le pire de ces manies, c’est la manière dont elle a d’afficher une moue boudeuse et de froncer les sourcils ; on devine soit qu’elle évalue le goût qu’aura son futur repas, soit que l’une de ses mémorables mais si rares colères approche.

Phobie •

Par fierté, Linoa prétend à qui veut l’entendre que son statut de vampire la prive de toute peur possible. La jeune fille qu’elle était, cent soixante-dix-neuf ans auparavant, et qui craignait la moindre araignée a disparu au moment de sa transformation, laissant place à une immortelle dorénavant confiante et intrépide. Il serait toutefois de l’ordre du mensonge de prétendre que rien ne la fait ciller, que rien ne lui arracha ces frissons d’effroi autrefois choses commune. Le feu, entre autre. Pleinement consciente qu’il s’agit du seul élément capable d’officiellement l’éliminer, elle a développée un crainte certaine à son égard, grimaçant à la moindre flamme léchant l’atmosphère à moins de 10 mètres d’elle. Elle cache généralement cet inconfort, bien connu par Draven à qui elle livre en détail chacun des multiples défauts de cette horreur brûlante, mais un bon observateur –comme il pollue dans le clan des Black Blood- ne saurait être aveugle à son malaise. C’est une chance pour elle que les humains ne soient pas aussi attentifs. Oh - est-il vraiment nécessaire de préciser que la simple idée de perdre Draven hérisse chaque pellicule de peau de son corps ?

Autres :

•

Même si les années lui ont fait perdre l’accent allemand qui teintait autrefois ses paroles, il lui arrive encore, à quelques rares occasions, de glisser un mot de sa langue maternelle au milieu d’une de ses phrases.
• Elle ne se sépare jamais d’anneau de diamants qui scintille à son majeur gauche. Il s’agit de la bague de mariage de ses parents, qu’elle a récupéré au moment de leur funérailles en s’introduisant en douce dans la morgue pour la retirer de l’annulaire de sa mère.
• La cicatrice de sa morsure, située sur son poignet droit, n’a jamais daigné disparaître.

WHAT ARE YOU HIDING ?

Prénom/Pseudo : Lois
Age : 18 ans
Sexe : Demoiselle
Présence sur le forum : Tous les jours, sauf problèmes exceptionnels.
Code du règlement : code ok.
Nom et prénom de l'avatar : Leighton Meester <3
Comment avez vous découvert le forum ? : Par la demande de partenariat sur Midnight Sun
Multi-comptes : Commençons par un

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STORY LEFT BEHIND

Famille :

Rupert Franz Masen •

Père. Héritier de la fortune de sa famille, un des pionner aristocratique de la future unification allemande.

Johanna Elke Masen, anciennement Von Breed •

Mère. Femme au foyer, elle-même héritière des Von Breed au moment de leur décès.

Liona Drew Masen •

Enfant unique.

L’histoire de la famille Masen est certes politiquement et économiquement intéressante… mais pas le moins du monde romantique. Johanna et Rupert étaient deux adolescents d’une Allemagne morcelée, deux héritiers en devenir qui allaient être les récipiendaires de deux énormes fortunes. Il semblait donc on ne peut plus naturel à leurs parents respectifs de lier le destin de ces deux familles et d’unir ces deux héritages pour n’en faire qu’un. Ainsi, l’enfant –mâle, de préférence- qui résulterait de l’union d’un Masen et d’une Von Breed représenterait, tant par sa fortune que son statut aristocratique, l’élite de la future Allemagne. Le projet était non seulement ambitieux, mais aisément réalisable. Pourquoi se priver, alors ?

Le mariage fut donc célébré alors que les futurs époux étaient respectivement âgés de 19 et 21 ans. Une cérémonie mémorable et grandiose, à l’image du couple qu’ils allaient personnifier ; superficiellement parfait. Malheureusement, une fois officiellement installés dans le manoir qui leur avait été donné en guise de cadeau de mariage, l’ambiance se refroidit instantanément. Parce que ces deux jeunes gens n’étaient pas faits pour être ensemble ; parce que Rupert avait un besoin criant d’indépendance et Johanna, un désir brûlant de romantisme. Ils se plièrent néanmoins à leur devoir conjugaux et 2 mois après leur union, Johanna apprenait aux deux familles réunies qu’elle était enceinte. La nouvelle donna lieu à une fête sans précédent à Hambourg et les femmes de la haute bourgeoisie faisaient la file devant le manoir Masen afin de venir en aide à la future mère. Il était impossible à Johanna de faire le moindre effort physique ou de prendre la moindre décision, sous peine de se faire reprocher de ne pas veiller suffisamment à la santé du futur poupon.

La venue au monde du dit nouveau-né n’eu pas toutes les conséquences positives espérées, toutefois. Premièrement parce qu’il s’agissait d’une petite fille, deuxièmement parce que ce fut le premier, seul et unique enfant du couple. Mais outre ces mauvaises nouvelles… comment résister à la plus mignonne –et riche- fillette d’Allemagne ?

Vie antérieure :

« Je ne veux pas l’épouser. »

« Vous n’allez quand même pas m’y forcer. »

« Mère, je ne peux pas… »

Johanna Masen tourna les talons et quitta la chambre de sa fille, immobile devant l’énorme miroir devant elle. Linoa dévisagea son reflet un court instant, jeta un regard hargneux vers la porte que sa mère venait de passer et posa finalement ses yeux clairs sur la robe qui était étendue sur son lit. Elle avait refusé l’aide d’une nounou. Accepter les années de tutorat, les cours de danse et de piano. Elle savait cuisiner, monter à cheval et coudre ; elle comprenait le complexe système de la politique, s’intéressait à l’histoire internationale et était plus débrouillarde que la très grande majorité des jeunes filles de vingt ans. Elle avait cru échapper à ces mariages arrangés et à ces traditions ancestrales. Elle avait espéré bâtir une ligne entre les générations précédentes et la sienne et pouvoir ainsi bénéficier de l’indépendance qu’elle convoitait. Magistrale erreur de sa part ; non seulement n’échappait-elle à rien du tout, mais sa certitude de réussite lui avait fermer les yeux sur ce qui se passait réellement. Au final, elle avait eu encore moins de choix.

Son enfance avait été bercée par le futur qui l’attendait. Elle avait été élevée en tant que digne fille de Rupert Masen, éduquée à représenter dignement la famille… au bras d’un mari qui disposerait de sa fortune, l’utilisant sciemment ou non afin de se bâtir un nom de taille. Quelle horrible perte de temps. Elle avait gaspillé vingt ans à apprendre à servir un homme qu’elle n’aimerait jamais, elle le savait. Parce que les nobles –qu’importe leur nationalité- ne lui procuraient aucun sentiment d’excitation, aucun frisson de plaisir. Certes, elle appréciait les cérémonies, dansait toujours avec allégresse au milieu des autres invités. Mais refusait toutes avances indécentes, se défilait même devant la plus élégante des offres de dîner. Elle évitait soigneusement toute célébration familiale où elle risquait de tomber sur un quelconque noble qui promettrait à sa mère de donner à Linoa bonheur et sécurité. Et avait eu la naïveté de croire que cela suffirait. Il n’en était évidemment rien : son père avait été chercher son prétendant sur le hautes terres d’Irlande. Aucune chance de lui échapper.

Liona termina de lacer le devant de sa robe, les yeux perdus dans ceux de son propre reflet. Prise d’un soudain courage et d’une toute nouvelle témérité, la jeune femme inspira profondément, s’envoya un regard de défi par miroir interrompu et lui tourna le dos, quittant sa chambre d’une démarche digne des Masen.
Il y a fort à parier la réaction de Tomàs O’Neil au moment où un bruit de flottement attira son attention vers l’escalier principal de la demeure Masen fut celle d’un homme particulièrement enthousiaste. Soudainement coupé de la conversation que lui faisaient les parents de Linoa, il laissa son regard se promener sur la silhouette fine de la jeune héritière, son port altier et la certaine fragilité qui émanait d’elle malgré la lueur de défi qui dansait derrière ses yeux noisette. Elle avait descendu les escaliers sans accorder un seul regard à ses spectateurs, frôlant la rampe du bout des doigts alors que des mèches de sa crinière qu’elle n’avait pas daigné repeigné correctement auréolait son visage pâle et ses pommettes rosées. Mariage arrangé ou pas, bien des hommes l’auraient faite sienne à cette simple vision.

La rencontre avait été particulièrement pénible à Linoa. Tomàs et ses parents avaient parlé de leur futur commun, évoquant le bien-être dans lequel elle évoluerait dans sa demeure d’Irlande. Son fiancé lui avait envoyé bon nombre de regards insistants, mais jamais on ne l’avait invité à se joindre à la conversation. Ce qui ne l’avait pas empêchée de glisser quelques commentaires acides, recevant chaque fois un regard lourd de signification de la part de son géniteur. De toute façon, répliques cinglantes ou pas, il était trop tard. Tomàs et elle avaient été déclarés fiancés avant même que Linoa ne descende de sa chambre. Le partage de la fortune avait déjà été négocié, la date du mariage était choisie et la couturière était déjà avisée que certaines retouches allaient être à faire sur l’ancienne robe de mariage de Johanna. En fait, il n’avait manqué jusque là que le visage de Linoa pour officiellement convaincre Tomàs que leur union ne serait pas désagréable. Et bien malgré elle, elle avait fait de lui un prêcheur convaincu.

______

Une semaine plus tard, Linoa était envoyée tel un vulgaire paquet dans les terres inconnues de l’Irlande. Le mariage devait avoir lieu dans quatre jours, mais Tomàs avait insisté pour obtenir la garde de sa fiancée, et ainsi avoir le temps de la présenter à son énorme famille. Quelle horreur. Accueillie comme la future Mme O’Neil, Linoa avait été confrontée à autant de gentillesse que de cruauté, attaquée de toute part par des gens qu’elle ne connaissaient pas mais qui agissait comme si sa venue pavait le retour du Messie. Et la date du mariage approchait. Officielle, définitive. La cérémonie se profilait à elle, longue et lourde, la nuit de noces qui apparaissait plus clairement chaque fois que Tomàs réitérait son excitation face à l’évènement. La situation lui était hors de contrôle, faisait d’elle une jeune femme perdue et nauséeuse. Mais elle garda espoir jusqu’à la dernière minute. Jusqu’à ce que l’orchestre entame la marche nuptiale irlandaise et que les lourdes portes de l’église s’ouvrent devant elle. Là, seulement, elle perdit tout espoir de fuite.

Le 6 mai de l’an de grâce 1792, Tomàs O’Neil avait fait glisser l’anneau familial au doigt de la nouvelle châtelaine des terres des O’Neil. Et à ce moment très exactement, Linoa n’aurait vu aucune objection à être tuée de la manière la plus rapide possible.

La morsure :

L’ambiance était légère et festive, à l’image de la musique de l’orchestre. Les trop nombreux invités mouvaient l’intérieur de l’impressionnante demeure des O’Neil, enivrés par le luxe de la soirée et persuadé d’y être en sécurité ; du moins, plus que dans le reste de l’Irlande où les meurtres et disparitions se succédaient à un rythme inquiétant. La lumière inondait l’intérieur et l’extérieur du manoir, déchirant cette atmosphère de fête de l’obscurité qui l’entourait. À bien des égards, cette soirée était parfaite. La meilleure en Irlande depuis très longtemps ! s’exclamait-on en empoignant une énième coupe de champagne.
Quel dommage que la châtelaine des terres en fête n’y ai pas trouvé, elle aussi, le bonheur ou l’ivresse. Etouffé par ces masses d’étrangers qui l’assaillaient de mille et uns commentaires et d’autant de questions, elle avait trouvé refuge sur la terrasse arrière, détonnant par sa beauté dans la nature sèche d’automne. Emmitouflée dans un châle que lui avait autrefois donné sa mère, Linoa s’était assise sur une pierre de la terrasse, les yeux plongés dans le vide devant elle et les cheveux balayés par le vent. C’est dans cette position –qui accentuait la douceur de ses traits et la fragilité de sa silhouette- que lui apparut l’Inconnu.

Elle ne l’avait pas entendu arrivé et le son de sa voix la sortit si brusquement de ses pensées qu’elle fut incapable de retenir un sursaut de surprise. Il était à sa gauche, à quelques mètres peine d’elle, et faisait dos au jardin - comme s’il ne sortait pas de la résidence. Elle ne se rappelait pas avoir vu son visage parmi les invités mais ne s’en formalisa pas ; il y avait tant de gens qu’elle n’avait mémorisé tout au plus qu’uns ou deux visages. Les plus désagréables, de surcroît. Hors cet homme était…beau. Excessivement beau, d’une manière presque dérangeante à son œil. Et différent. Comme si la nature entière se fondait derrière lui pour clairement signaler qu’il n’était pas d’elle.

« Elle semble avoir un franc succès. », s’entendit-elle répondre d’une voix absente sans détacher ses yeux de sa silhouette, éclairée par les larges fenêtres illuminées. Étrangement, il la mettait mal à l’aise. Et les quelques pas qu’il fit en sa direction n’améliorèrent pas la situation. Confuse, elle fit un mouvement pour se lever, et l’avorta par elle-même. Elle dévisagea l’Inconnu alors qu’il s’approchait d’elle, levant graduellement le visage à mesure qu’il lui semblait plus près, plus haut, plus imposant. Plus terrifiant. Elle n’aurait pu dire pourquoi, mais à cet instant précis sa beauté et son incroyable charisme lui étaient insupportables. Elle aurait tout donné pour retourner à l’intérieur de a demeure, auprès de son mari. Elle se serait efforcé de faire les plus magnifiques et convaincants des sourires si cela lui avait assuré de se retrouver loin de lui. Parce que son regard dans le sien avait mit chacun des centimètres carrés de peau qui lui appartenait en alerte.

L’Inconnu se pencha vers elle et son corps à proximité du visage de Linoa lui donna le tournis. Dans un mouvement plus décidé, elle se releva prestement et tenta de glisser vers sa droite pour échapper à l’homme qui avait envahi son espace personnel. Cette seconde fuite fut également avortée, cette fois-ci par la main glaciale et puissante de l’Inconnu qui s’empara de son poignet.

Linoa déglutit difficilement et se fit violence pour replonger son regard dans le sien. Elle aurait du crier. Hurler à s’en brûler les poumons, se débattre comme seule Linoa Drew Masen savait le faire. Utiliser le chantage, s’il le fallait. Personne ne résistait à l’argent, et elle avait l’argent. Elle avait conscience des nombreuses possibilités qui s’offraient à elle… mais n’en tenta aucune. Parce qu’elle avait l’ultime conviction que rien de tout cela ne pourrait fonctionner.
La prise sur son poignet se détendit légèrement sans qu’elle n’amorce aucun mouvement de fuite. Elle était trop loin des portes. Plongée dans l’obscurité. Muette sous l’effervescence de la musique et des rires. La situation était, en fin de compte, hautement ironique : elle s’était volontairement isolée pour reconstruire son masque et retrouver son calme. Et on allait la retrouver morte, probablement violée et battue. Ou vidée de son sang, comme la rumeur décrivait les plus récents meurtres.

Au moment où elle sentit le souffle de l’Inconnu sur sa peau à vif, la peur avait disparue. Remplacée par une sorte de fatalité. Le drapeau blanc avait été dressé. Cela pouvait-il vraiment être pire que sa situation actuelle ?
Si elle avait su, elle aurait probablement demandé au dit Inconnu d’accélérer les choses.

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Après la morsure :

Les débuts avaient été difficiles. Plus qu’elle ne s’y aurait attendu si seulement elle avait daigné croire les histoires de vampires du temps de son vivant. Certains semblaient le vivre mieux qu’elle, accentuant l’insécurité qui l’oppressait. Parce qu’elle avait eu mal, tellement mal, puis soif, d’un besoin de boire incontrôlable qui avait prit le dessus sur elle sans le moindre effort. Elle avait eu le sentiment de se perdre à l’intérieur de cette créature qu’elle était devenue et ses repères avaient progressivement disparus alors qu’elle suivait aveuglément son créateur. Où aurait-elle pu aller ? L’idée de retourner chez elle était inconcevable depuis son mariage. Et elle avait la conviction que retourner chez les O’Neil n’était pas une bonne idée. Elle le savait, le pressentait de manière si fortement qu’elle mit cet instinct sur le dos de la « chose » en elle. Elle en fit de même pour ses nouvelles aptitudes, horrifiée à l’idée d’entendre le moindre soupir, de voir distinctement chaque veinure des feuilles qu’ils piétinaient. Ce n’était pas humain. Elle n’était plus humaine. Morte mais vivante. Un véritable zombie.

Elle ne savait pas combien de jours avaient duré son supplice. La douleur, a faim, la marche. Elle avait toutefois pleinement conscience que son point d’arriver n’avait certainement pas la stabilité désirée. La violence continuait, le clan se déchirait pour se reconstruire, la plongeant toujours un peu plus dans un trouble qu’elle ne parvenait pas à gérer. La situation lui avait échappée. Complètement.
Elle fut considérée comme une de ces nouveaux-nés au passage difficile, avec raison. Les premiers temps lui furent insupportables, et ce malgré la nouvelle stabilité du clan et la présence d’une partenaire aux cheveux blonds et à la personnalité surprenante. Ses chasses s’améliorèrent à une lenteur que les autres vampires n’approuvaient pas tous, certains lui jetant littéralement le regard de la condescendance. Il fallu néanmoins lui accorder qu’à coups d’efforts inhumains et d’heures tourmentées et solitaires, elle devint en voie de devenir une dangereuse prédatrice. Et une membre à part entière du clan. Les choses s’amélioraient, sensiblement mais sûrement.

« Pardonnez-moi, Monsieur. »

Elle apparu sous la lumière d’un lampadaire, sublime dans l’obscurité saisissante et atrocement dangereuse dans la confiance qu’elle présentait. Une toute nouvelle confiance qui lui donnait un extraordinaire sentiment de liberté. Parce qu’elle se sentait devenir plus forte et qu’elle se découvrait des armes qu’elle n’aurait jusque là jamais soupçonnées. Elle n’était certes pas encore parfaitement à l’aise avec ce statut qui était le sien, mais les progrès se faisaient sentir. Il n’en fallait pas plus pour apaiser un peu son âme tourmentée.
Possédait-elle encore une âme ?

L’homme –élégant, la quarantaine, marié mais certainement pas fidèle- posa sur elle un regard qui lui rappela celui qu’elle-même avait posé sur son créateur. Un regard où se mêlait l’inquiétude et la fascination et qui laissait transparaître que la victime hésitait entre séduire ou fuir. Voir sa propre réaction collée au visage de quelqu’un d’autre était rassurante ; ainsi, elle n’était pas la seule à avoir fatalement hésité sur la réaction à adopter.
Linoa fit quelques pas dans sa direction sans que la future victime n’amorce le moindre geste. La peur se faisait tranquillement une place dans son esprit embrouillé, si lentement que e véritable danger ne lui apparaîtrait qu’au moment où elle planterait ses crocs dans la chaire tendre de son cou.

« J’ai faim. », conclut-elle en guise de justification en attrapant le bras de l’homme avec une force qu’on ne lui aurait pas deviné et en l’attirant vers lui. Ses dents percèrent avec délice sa peau tendre de bureaucrate aisé et elle savoura chaque goutte de son délectable repas.
Quelques part derrière elle, dans l’ombre d’un édifices, une jeune vampire blonde émit un grognement appréciateur à l’endroit de Linoa et se replongea avec enthousiasme dans son propre dîner.

Puis il y eu lui. Et ce fut comme si ce qu’elle avait traversé perdait toute son importance. Comme si le simple fait d’être une morte devenait le dernier des détails ; elle aurait pu jurer sentir son cœur s’affoler dans sa cage thoracique. Il lui donnait l’envie de s’esclaffer sans même ouvrir la bouche, d’aimer comme il n’était pas possible de le faire, d’arrêter un temps qui, de toute façon, n’avançait plus depuis un moment. À peine avait-il touché sa peau pour la première fois qu’elle ne s’imaginait plus vivre sans lui. Elle en aurait été incapable.
Le temps s’écoulant avait fait d’eux deux êtres parfaitement fusionnels ; il la déchiffrait d’un simple regard, elle l’apaisait par sa simple présence. Pour une raison qui échappait à toutes les règles de la raison, la poupée de porcelaine douce et rayonnante qu’elle était et le vampire autoritaire et sanglant qu’il avait toujours été en étaient venus à ne former qu’un, s’aimant de leur manière distincte plus que l’amour n’avait jamais aimé.

Elle trouva en cette relation l’ivresse qu’elle avait attendue, jeune fille, en regardant les inconnus défiler dans la rue. La raison pour laquelle elle vivrait éternellement et ce qu’elle bénirait secrètement à chaque nouveau lever de soleil. Après tout, à quoi servait de vivre éternellement si on ne vivait pour rien ? Elle avait trouvé la réponse à ces années de questionnement sur l’amour, sur ce qu’on serait prêt à faire pour l’autre et ce qu’on ne ferait jamais, pour lui.
Au final, elle avait eu –et gardait- l’intime, forte et brûlante conviction qu’elle serait éternellement là où serait Draven Van Helling.

Bienvenue. Smile

Derien. Appelles moi Maëva. Wink

J'aime pas trop qu'on m'appelle par mon prénom de perso. Et puis je suis loin des un mètre 83 et du bidule entre les jambes. Laughing

Invité

Bienvenue ^^'
Bonne continuation pour ta fiche, comme tu le sais, la compétition est à ajouter à tes motivations pour ce personnage Laughing

.

1m83... *ricanne*

tongue

T'as un problème Monsieur l'Asperge ?
*sifflote*

Et puis, y a que 10 centimètres entre les deux, c'est pas beaucoup. Linoa D. MASEN • Over&Over 91530

Invité

Va pour Maëva <3 Généralement, j'aime pas non plus appeller les gens par le prénom de leur personnage (surtout ceux qui personnifient des chieurs, en fait ^^) alors ça m'arrange autant que toi

Bonne chance à toi aussi Smile

Que la meilleure Linoa gagne x)

Invité

Ça sonne un peu comme une introduction de concours de mangeurs de hot-dog
Merci beaucoup <3

Invité

Qui sait?
Peut-être que Li' excèle en dégustation de Hot-Dogs, on sait pas tout! Laughing

Adjugé Vendu Lois. Wink

Bon début de fiche. <3

Invité

Citation :: Et où Draven est, Linoa sera toujours.

Vous avez bien compris vous autre? Linoa D. MASEN • Over&Over 91530

Ne froissons pas Monsieur le Sadique. Il fera joujou avec vos os sinon après vous avoir tuer. Razz

Moi je dis : BECCA ! Linoa D. MASEN • Over&Over 245118

Invité

...ou même avant, histoire de vous entendre agoniser sur le fémur que je tiens dans ma main.

Laughing

Invité

Draven Van Helling a écrit:: ...ou même avant, histoire de vous entendre agoniser sur le fémur que je tiens dans ma main.

Mon homme, c'est vraiment le plus romantique

...
* méchante admin on*
STOP LE FLOOD MESSIEURS !

- la demoiselle sait se faire respecter Smile

-

Bienvenue parmi nous et que la meilleure gagne !
Bonne continuation de fiche.

Invité

Merci beaucoup <3

Invité

Pardon, pardon, pardon du double-post

Pour ma part, j'ai terminé ma fiche Il est très probable qu'elle soit imparfaite et bourrée de choses à améliorer, sur lesquels vous pouvez me conseiller ou ne rien dire jusqu'à ce que l'autre Linoa ait terminé sa propre fiche. C'est à votre discrétion, chers admins
Néanmoins, j'espère qu'elle plaira, particulièrement à Draven <3 Ce n'est pas du grand art, mais j'ai fait de mon mieux le plus rapidement possible

P.S : Puisque 3 messages n'étaient pas suffisant, j'ai édité le 5e message du sujet, soit ma réponse à Maëva, pour faire tenir toute ma fiche dans la même page

Et ben, sacré fiche. lol.

Je lis tout ça, on attend la deuxième Linoa et on en parle avec Crys. <3

Invité

C'est encore moi
Je voulais juste savoir -c'est tout con, je suis désolée- si, sachant que j'aurai (ou pas) le rôle samedi, je pouvais commencer à demander ici et là pour des liens ou si vous préfèreriez que j'attende jusqu'à l'officielle date limite.
C'est tout

Tu peux demander des liens sans être validé afin de te préparer, oui. Et samedi on sera fixé. Je suis désolée que tu doives attendres comme ça. =)

Invité

Parfait J'hésitais à en demander comme il était incertain que j'ai le rôle, mais je suis bien contente de pouvoir le faire <3
Aucun problème, samedi n'est pas si loin

Félicitations. =) Tu es validée. Encore désolée pour l'attente. =)
Pour nous, Crystell y compris, tu as parfaitement cerné Linoa. La jeune femme étant comme la perfection incarnée. Wink

Bon jeu Lois. =)
N'oublis pas les formalités.

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» — Linoa Drew Masen ; FINIT