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 Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.

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MessageSujet: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 14:07

PAXTON; Ginger Abigaïl
Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. Ble10
20 ans
Coincée dans la forêt.

« Il ne faut regarder ni les choses, ni les personnes. Il ne faut regarder que dans les miroirs, car les miroirs ne nous montrent que des masques. »

PARANOID RECUMBENT




I. Story left behind
      Date & Lieu de Naissance ; 31 Octobre 1954, Babylon.



    La vie était un bal. Pas n'importe lequel, le mien. Et j'en étais la Reine.
    Admirée par tous et toutes, convoitée par la gente masculine, jalousée par tant de jeune fille, méprisée par celles dont le regard de leurs tendres ne brillait d'envie qu'à ma vue, enviée pour ma beauté et ma classe, détestée pour mes sarcasmes. J'étais populaire. J'étais aimée, ou pas. Mais tant qu'on parlait de moi, en bien comme en mal, tant que j'étais l'aimant des regards, alors j'existais.

    ***


    « Ginger ? Je la déteste cette peste. »
    « Mais tu l'admires. »

    « Elle est vraiment super, et populaire ! »
    « Ginger a vraiment la classe. »

    « Alice ? »
    « Passable. »
    « Ginger ? »
    « Baisable. »

    Oui, j'étais l'objet de toute conversation, la source d'inspiration, celle dont en entendait toujours parler, le fruit des rumeurs, la célébrité des ragots. J'étais fière, le monde ne tournait qu'autour de moi, j'étais le soleil. Je rayonnais d'une popularité, je maîtrisais les situations. Et pourtant je n'étais qu'une frêle humaine.

    ***


    Il y a quelques jours seulement, mes parents étaient partis en voyage d'affaire à New-York, me laissant seule à Babylon. J'aurais aimé partir avec eux, plutôt que rester ici dans ce patelin. Malheureusement, je n'ai pas eu le choix, et je devais faire avec. Assise en tailleur sur mon lit, des habits éparpillés un peu partout – comme toute chambre d'un adolescent normalement constitué, n'allez pas croire que les jeunes filles avaient des chambres belles, propres, mais surtout rangées ; elle ne divergeait en rien de leur semblables masculins – et le regard dans le vague, perdu dans le paysage grisâtre qu'offrait ma fenêtre, je lâchai un profond soupire.

    « Allez Ginger, relativises un peu ! »

    Dépliant méticuleusement mes jambes engourdies par le fait d'être restée dans cette posture un long moment, je m'étirai tel un chat et gagna la porte d'entrée, enfilant ma veste au passage. Dehors, le temps était quelque peu doux pour cette saison, ce qui ne m'empêcha pas de frissonner. Je repérai au loin ma bande de copines qui poussaient des cris aigus, elle se moquait apparemment d'une adolescente moins âgée. Je me dirigeai en hâte dans leur direction, tout en m'allumant une cigarette. Je reconnu toute de suite celle que les filles avaient pris pour cible mais surtout, je compris pourquoi en la détaillant du regard.

    « Décidément, Cassy, tu ne sauras jamais t'habiller d'une manière potable ! À croire que tu convoitises la laideur ! » m'exclamai-je une fois au niveau de petit groupe, prenant un air faussement choqué. La prénommée Cassy me regarda avec des yeux de merlans frits, elle ne s'attendait sûrement pas à tomber sur moi. « Cette robe te boudines, donnant l'impression à ton corps d'être alourdi par de la graisse en trop. Enfin, pus que d'ordinaire, cela va de soi. »

    La jeune fille, moins âgée d'un ou deux ans mais aussi grande que moi – qui, soit disant dit au passage, aurait bien besoin de perdre quelques kilos en trop – se ratatina sur elle-même, écrasée par la juste valeur de mes mots. Ces jours se teintèrent vite de rouge, tandis qu'elle posa sur moi un regard de désarroi. Je lui lâchai un nuage de nicotine sur le visage, l'air indifférente, la laissant quelques minutes s'enfoncer dans le puit de la honte sous les rires dénudés de sens de mes amies. Je me délectai de cette situation dans laquelle j'étais encore une fois celle qui dominait. Cependant, les bégaiements de la pauvre fille, qui ne m'aspirait bien évidemment aucune pitié, m'exaspèrent vite et je dus couper court au spectacle pitoyable.

    « Ecoutes, darling, t'as la classe ou tu l'as pas. Visiblement, toi, tu ne l'as pas. »

    Je venais de l'humilier devant tout le monde et j'en prenais un malin plaisir. De toute façon, personne ne pouvait avoir la classe. Personne d'autre que moi. J'étais la grâce incarnée, le modèle de toutes les adolescentes. Une déesse désirée, mais damnée. J'étais les sept pêchés capitaux, une tentation à laquelle on ne pouvait résister. Une passion dévorante, redoutée mais admirée.

    « Dans le domaine conseil vestimentaire, tu es sans nul doute la meilleure Ginger. »

    Mon regard bleuté se tourna aussitôt vers la source de ces propos dits avec ironie, délaissant une Cassy paralysée, s'opposerait-on à moi ? L'encre saphir de mes prunelles s'accrocha au vert de Peter Goodwill, un joueur d'une équipe de football quelconque mais surtout une tête brûlée qui aimait bien me tenir tête.

    « Oh, la ferme, Goodwill ! »
    « Aurais-je donc vexée Miss Paxton ? »

    Peter se rapprocha dangereusement de moi, laissant volontairement seulement un petit centimètre de distance entre nous deux. Je sentais son souffle chaud, percevais la chaleur émanant de son corps. Je sentais les regards de braise de mes amies pesés sur mon dos. M'appeler par mon nom de famille me déroutait, même si je me plaisais à appeler de la sorte ceux qui m'ennuyait. Sauf que je ne faisais pas partie des « autres », je ne faisais pas partie de ce genre de personne. La fille d'une des famille les plus riches se situait bien au-delà. Ainsi, pour reprendre contenance, je fis un léger mouvement des hanches séduisante, alors que ma cigarette se consumait petit à petit. Autant me laisser prendre quelques instants dans son jeu afin de mieux le poignarder par derrière. Ce qui plu immédiatement à Peter qui en profita pour me gratifier d'un mauvais sourire pervers. Un sourire lourd de sens qu'il n'hésita pas à éclaircir pour quiconque n'ayant rien comprit.

    « Il paraît que tu es bonne au lit. »

    Abruti de Goodwill, il ne savait pas draguer mais en plus pensait pouvoir m'appâter comme cela. Je pris le plaisir de ne pas répondre toute de suite, préférant me plonger dans une analyse complète du sujet. Peter avait du charmes, certes, mais était aussi maigrichon qu'une planche, un sourire niai constamment sur le visage, une technique de drague inexistante, un pauvre type ne pensant qu'au sexe. Répondre à aux désirs de ce genre d'homme faisait de moi une fille facile. Or, je n'en étais pas une.

    « Rare sont ceux qui ont eu, ou qui auront, la chance de pouvoir vérifier cette hypothèse. Je peux te certifier, Goodwill, que tu n'en feras jamais parti. »

    Au rire de mes comparses se joignit celui de la bande Peter. Ce dernier ne s'attendait visiblement pas à cette réponse, aussi simple fut-elle, qui le prit légèrement au dépourvu. Il avait peut-être eu l'idée de m'inviter à une quelconque soirée, je l'avais vite dissuadé. Peut enclin à la défaite qu'était l'humiliation, il se contenta de hausser les épaules et de sourire, avant de s'éloigner, entraînant ses amis derrière lui. Je tirai une dernière bouffée de mon tube cancéreux qui s'était vite consumé puis en alluma un nouveau et le porta à mes lèvres. Je me retournai vers les filles dont les yeux étaient rivés sur moi, assoiffés par ma domination, éblouis par l'éclat de ma splendeur. Je me laissai désirée, je faisais l'objet de nombre de fantasme venant de la part de la gente masculine et je restais inatteignable. Glissant entre les doigts de ces êtres désireux, jouant avec eux. Nul ne pouvait m'atteindre, nul ne pouvait me devancer. Rien ne pouvait me faire chuter de mon piédestal. Du moins c'est ce que je pensais.
    Le vent se leva, balayant mes sombres cheveux et me faisant frissonner. Si alors j'avais su que ce vent était un signe de mauvaise augure. Je levai alors le bleu de mes yeux vers le ciel grisâtre où les nuages s'accumulaient.

    ***


    Je courais. Je me trouvai dans la forêt qui s'étend autour de Babylon. Et je courais, à en perdre haleine. Le vent soufflait fort et ne m'aidait nullement dans la traversée de cette étendue qui m'était jusqu'alors quasiment inconnue. Je ne m'étais jamais aventurée aussi loin, à vrai dire je n'avais pénétrée cette zone massive d'arbres. De toute manière, je courais sans savoir où aller, j'étais perdue et aveuglée. Aveuglée par mes larmes, aveuglée par ma peur. Les branches n'épargnaient aucune partie de mon corps tandis que je chutais, encore et encore. Et me relevais toujours, inlassablement, pour reprendre ma course folle.

    Une racine jeta son dévolu sur moi et me projeta par terre, aidée par une branche que le vent fit balancer dans ma direction. Comme si les éléments déchaînés s'étaient ligués contre moi. Mon paquet de cigarette tomba devant moi alors que je me relevai une énième, emportant avec lui un de mes bijoux. Je n'y prêtai aucune attention, déjà je m'élançai à nouveau. L'image de mes parents s'immisça dans mon esprit, ils étaient toujours à New-York. Eux, ceux qui m'avaient élevé, ceux qui m'avaient tout donné, ceux qui avaient cédé aux moindres de mes caprices, ceux qui m'avaient aimé. Savaient-ils ce qui se tramait alors à Babylon ? Se doutaient-ils que plus jamais ils n'allaient me revoir ?

    Puis, je pensai ce pour quoi j'étais entrain de fuir. À ceux que je fuyais. C'est à ce moment-là que je me sentis défaillir, mes forces me quittant ne laissant que mes peurs me dévorer à petit feu de l'intérieur. Des images sanglantes, des images morbides, des images de désespoirs m'assaillirent et mon esprit se projeta dans l'horreur que j'avais quitté. Que j'avais fuit. Des êtres macabres, tout de blanc et de froid comme la neige qui s'étaient répandus dans les rues de la ville, s'entretuant entre eux ou même se battant contre d'autres êtres sortis tout droit du surnaturel. Etais-je devenue folle ? Non, je ne pense pas. Je me souvenais parfaitement, dans les moindres détails. Je me souvenais de Cassy, que j'avais persécutée quelques jours plus tôt et qui se tenait là, blessée au bras, les yeux horrifiés sur ce qui l'entourait. Elle se trouvait au milieu de corps gisant dans des flaques de sang, et j'aurais pu l'aider. Oui, j'aurais pu l'aider, sûrement. Mais je ne l'avais pas fait, je n'avais pensé qu'à moi. Encore une fois, jusqu'au bout, je n'avais pensé qu'à moi. J'étais stupide, égoïste. Mais j'avais voulu fuir. Je n'avais pas revu mes amies, alors je m'imaginai le pire. Je m'imaginai leur visage enfuit sous une tonne de font teint figé à jamais dans des grimaces d'horreur. Dans ma fuite, j'avais croisé un ami à Peter, il me cria que ce dernier était mort avant de disparaître lui aussi hors de ma vue. Je m'étais précipitée à l'extérieur de la ville, j'avais jeté mon dévolu sur la forêt et m'y étais cachée.

    Je ne m'étais pas arrêté une seule seconde outre mes nombreuses chutes. Mes vêtements étaient déchirés, j'avais froid, le vent me fouettait le visage en plus des branches basses des arbres, je pleurais. Des larmes de chagrin, des larmes de peur. Des ronces s'opposèrent à moi sur mon trajet et mes forces me quittèrent, je ne pus éviter cette nouvelle racine. Une nouvelle chute, et ce fut la dernière. Je ne me relevai plus. J'attendais, presque paisiblement que quelque chose de commun se passe. La mort sans doute. Trop peu de fois, j'avais estimé son importance. J'imaginais toujours que ce n'était pas le moment, que j'étais encore trop jeune. Et ce fut seulement à ce moment précis que je réalisai qu'il n'y avait pas de bons moments. Elle nous emportait, sans trop réfléchir. J'étais là, tremblante de tous mes membres, face contre terre. J'étais une personne si forte habituellement. En quelques secondes, je n'étais plus qu'un être fragile et pratiquement inerte.

    « Ginger ? »

    Cette voix, je la connaissais. La Mort avait-elle décidée de se réincarner en Sidney Brancato ? Ou peut-être pas.


Dernière édition par Ginger Paxton le Sam 5 Déc - 18:10, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 14:07

II. Secret words
    ▬ La nicotine est sans nul doute devenue la meilleure amie de Ginger, il lui est impossible de s'en priver. La demoiselle a ainsi déjà touché à d'autres substances illicites et là non plus, elle n'est pas prête de s'arrêter.
    ▬ Autrefois peste populaire et superficielle, il semblerait qu'avec les événements d'avril 1973 elle se remette souvent en question. Ginger n'est plus si sûre d'elle, elle ne le montre pas et se rebelle, gardant la tête haute.
    ▬ Il lui arrive de faire souvent des cauchemars où de nombreuses images l'assaillent à nouveau. Des souvenirs qu'elle aimerait tant oublier.
    ▬ Depuis qu'elle se trouve sous la protection des végétariens et des loups, il n'est pas rare de voir de Ginger se plonger dans des heures de silence total. La jeune fille est capable de se plonger dans un mutisme pendant quelques jours.
    ▬ Ginger ne supporte pas qu'on la regarde de haut, qu'on la rabaisse ou qu'on lui donne des ordres. Mais à présent, elle n'est plus vraiment la Reine.
    ▬ Elle n'aime pas qu'on la voit dans ses moments de faiblesse, cependant une présence chaleureuse à ses côtés ne lui ferait pas de mal.
    ▬ Lui donner des ordres, des conseils, lui incite fortement à faire le contraire. Ginger ne se laisse pas faire, elle a besoin de sentir encore son emprise sur certaines situations.


III. Open your mind
    Quelle est votre vision d'avril 1973 ?
      Ginger n'oubliera jamais cette date, inscrite à jamais dans sa mémoire. Ces événements l'ont profondément choqué, elle s'est retrouvée seule et remonte difficilement la pente à présent. Elle a changé dans son comportement comme dans ses habitudes, ne serait-ce qu'au niveau de son regard bleuté où se mêle parfois une once de terreur ancienne. Elle a chuté de haut, de très haut. Cependant, Ginger reste Ginger, et il serait difficile de la faire changer totalement. Néanmoins, le regard qu'elle porte sur les autres peut se trouver être plus innocent qu'avant ... Mais on oublie pas un passé de peste comme cela.

    Quelle est votre vision de la situation actuelle ?
      Auparavant, elle était tellement sûre d'elle. À présent, elle se retrouve face à une situation qu'elle ne maîtrise pas, ce dont elle n'a pas l'habitude. Elle ne supporte pas devoir rester sous la vigilance de cette race qui a mit à sang sa ville natale, mais a-t-elle vraiment le choix ? Obéir et rester sage, ou s'enfuir et se faire tuer. Le choix est rapidement fait.


Dernière édition par Ginger Paxton le Sam 5 Déc - 18:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 14:07

IV. What are you hiding?
    Pseudonyme/Prénom ; Elodie (:
    Âge ; 16 ans. Et toutes mes dents, ça t'impressionne ? Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. 244477
    Fille ou Garçon ; Aux dernières nouvelles, je fais partie de la gente féminine.
    Célébrité ; Kaya Scodelario i'm in love with you i'm in love with you i'm in love with you
    Code du Règlement ; code ok.
    Comment avez-vous découvert le forum ? Anciennement Ellen S. Wickford, je me suis reconvertie en une petite peste de chair fraiche 8D


Dernière édition par Ginger Paxton le Sam 5 Déc - 18:14, édité 1 fois
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Livia S. Hagebak
SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
Livia S. Hagebak


Nombre de messages : 3641

Age : 40
Votre Prénom/Pseudo : Hélène.
Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain.
Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night.
Date d'inscription : 08/10/2008

TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès.
● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:

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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 14:45

Re. i'm in love with you
Bon courage pour la fiche.
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http://viva-vegas.forumsactifs.com/forum.htm
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 18:16

    Merci What a Face
    Je pense avoir fini, en espérant avoir assez cerné le perso ^^.
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Alexander P. MacDraw

Alexander P. MacDraw


Masculin Nombre de messages : 921

Age : 35
Votre Prénom/Pseudo : Chris.
Nourriture : Si seulement ils étaient comestibles.
Humeur : Insatiable, jamais rassasié de la peau froide de son ennemie.
Date d'inscription : 06/12/2008

TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: vingt-cinq ans.
● Citation: Il y a une extase qui marque le sommet de la vie, et au-delà de laquelle la vie ne peut pas s'élever. Et le paradoxe de la vie est tel que cette extase vient lorsque l'on est le plus vivant, et elle consiste à oublier totalement que l'on est vivant.
● Relations:

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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 18:39

    Rebienvenue à toi, si j'ai bien tout saisi. What a Face
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 20:37

Bienvenue ici. Je te dis pas re étant donné que je n'ai pas encore eu l'occasion de te parler.
Je t'avoue que tu m'as re-motivée en prenant Ginger, ça m'a permit de me repencher sur Sid. Wink

Je te valide. Tu écris bien et fais ressortir les sentiments et émotions, quelques fautes mais on passe outre étant donné que l'écriture découle toute seule.

Félicitations. Et j'exige un rp. Wink
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 20:44

    Merci What a Face What a Face
    Je ferais attention aux fautes, j'avoue ne pas toutes les voir même quand je me relis ^^
    Totalement d'accord pour un Rp, tout naturellement x)
    ALEX PETTYFER Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. 245118
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. EmptySam 5 Déc - 20:49

Aucun souci. Tout le monde en fait. Je suis juste chiante et j'aime les corriger. XD
On se voit ça par MP. J't'en envois un. =)
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MessageSujet: Re: Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté.   Ginger. | Et nous n'avons plus rien à risquer, à part nos vies qu'on laisse de côté. Empty

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