| | In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 1 Nov - 4:24 | |
| Dekerguen Ezechiel......
VAMPIRE . NOUVEAU NE . TRAITRE ft. IAN SOMERHALDER |
Ô nuit, monde lointain, confusion de promesses, Je ne déplore plus tes plaintes ni tes caresses, J’ai trouvé l’infini au creux de ta pénombre…
- Citation :
WILD CHILD | Chasseur |
- 25ans | 20 d'apparence |
- Né en Irlande | Killarney |
Le 31 Décembre 1948
- Mort à Babylone
Le 07 Spetembre 1968
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Dernière édition par Ezechiel DeKerguen le Jeu 12 Nov - 19:52, édité 41 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 1 Nov - 4:25 | |
| - Où le vecteur déplacement titille l’intérêt des Parques.
1957 | Neuf ans.
- Spoiler:
Au milieu d’une étendue très boisée, à plusieurs kilomètres de la ville, se dressait une maison – ou un manoir – au patrimoine dégradé et aux diverses architectures appartenant au passé. Plusieurs de ses ailes étaient en briques modernes et s’appuyaient sur les anciennes fondations en pierre, tandis que d’autres étaient en parpaing bon marché grossièrement peints en vert et gris, comme pour camoufler leur construction mal assortie. Encastrées à leur base dans des murs en pignons escarpés, deux tours tombaient en ruine, semblables à des crocs pourris et aussi lugubres que des tours de guet, dont les contreforts affaissés, les parapets et les décorations en spirales à la peinture écaillée ne contribuaient guère à atténuer l’impression d’abandon qui s’en dégageait. Les fenêtres condamnées par des planches, comme des yeux aux paupières tombantes.
La disposition des dépendances, dont beaucoup avaient été récemment recouvertes de tuiles modernes en brique rouge, aurait pu suggérer une ferme ou une exploitation agricole, bien qu’il n’y’ait nulle part en vue des récoltes, des animaux de ferme ou des machines. Le haut mur d’enceinte qui , du fait de sa structure massive, renforcée pas des arcs - boutant et de larges murs de soutènement, était peut être une relique féodale, présentait des signes similaires de travaux de réparation récents aux endroits ou d’imposants blocs de béton avaient remplacé la pierre qui s’effritait. A l’est et à l’ouest, ou des cours d’eau murmuraient en franchissant de gros rochers noirs et s’écoulaient entre des berges escarpées qui en faisaient des douves naturelles, de vieux ponts en pierre soutenant des toits en plomb verdis par la mousse et le temps s’enfonçaient dans les murs et les traversaient, leurs orifices sombres muselés par des grilles en acier. A tout prendre, l’ensemble était lugubre et inquiétant. Les lieux semblaient abandonnés et perdu dans ses propres miasmes de désolation, tandis que le soir faisait place à la nuit et qu’une brume montait des cours d’eau et changeait le sol en lait, des lumières s’allumèrent derrière les fenêtres au rez de chaussée, masquées par des rideaux. L’endroit était donc occupé.
Dans la cours intérieure du bâtiment principal, il y’avait un camion de déménagement – ç’aurait tout aussi bien pu être un fourgon mortuaire – aux portières arrières ouvertes. De la même manière, des employés en blouse blanche, qui auraient tout aussi bien pu être boulangers, s’activaient les bras pleins, mus par on ne savait qu’elle énergie mystérieuse. Faut dire que la réputation maudite de la région devait aider. Mais que voulez vous, face à des géniteurs obnubilés par une passion commune concernant les vieilles pierres, nul contexte n’est assez décourageant. D’autant plus lorsque l’on voyage depuis l’Irlande...
- Maman, tu crois que je pourrais inviter les fantômes pour noël ? - Les fantômes ? Ezechiel de quoi tu parle ? - Elias m’a dit que les chiens sentent ce qu’on ne voit pas... Et j’entends des aboiements depuis tout à l’heure ! - Oh, et bien ce serait avec plaisir, mais essaye de savoir ce qu’ils désireront boire. En attendant, va chercher ton frère pour souhaiter la bienvenue à Mme Romanov. Elle emménage aujourd’hui dans l’une des dépendances et nous aidera à l’entretien du manoir. Je crois savoir qu’elle vit avec sa nièce...Keys
Sourire maternel. Déjà le bambin d’à peine 9ans hurle le prénom de son aîné dans les vastes pièces dépoussiérées dans les moindres jointures depuis les grandes vacances précédentes. Le duo sort en trombe. Rires insouciants, qui pour le moment encore s’avèrent être un rempart suffisant contre les affres de ce que renferme les sous bois.
- Où la lande se pave de crime, de glaise et d'humeur sombre.
1963 | Quinze ans.
- Spoiler:
La chair sanguinolente brille sous la lueur crue du lustre. Tu es là, scrutant ce qui pourrait être identifiable. Veine tentative. L’air s’engouffre d’un coup dans Tes poumons. tes yeux sont toujours à demi-fermés, la paupière collée à la joue, les cils en barreaux. Ce sont les rayons de la lune qui ricochent contre l’ombre, parallèles à l’entrebâillement de la venelle, dont les murs sont si près l’un de l’autre qu’on croirait qu’ils s’enlacent. Tu entend les sons terribles de la nuit soudainement hostile, amplifiés par la solitude. T’as perdu l’habitude d’être seul en compagnie d’une amie et de ton frère. Et voila que ton individualité insignifiante se retourne consciencieusement en ton esprit, dominant toute réaction de raison. Le communautarisme, ça doit atténuer les douleurs de tout à chacun en les rendant plus diffuse. Le rouge...T’as toujours considéré ça comme la couleur du foyer. Des couchers de soleil des coquelicots et bien sur, de la chemise de nuit de Keys. Pour toi c’est une couleur chaude. Alors pourquoi cet abyme de néant au fond de tes entrailles ? Pourquoi cette atroce ankylose comme plongé dans un torrent glacial qui gangrène le moindre de tes vaisseaux ?
Zec ! Tu viens, on va chercher des noix !
Lointaine...Il te semble que c’est une voix féminine. Tu sais plus bien...Et puis tu n’y vois aucune nécessité. Tu regarde l’embrasure de la porte ou tu te tenais quelques minutes auparavant. Désormais s’y dessine deux silhouettes que tu crois connaître. A leur tour muettes. Tu arbore un sourire. En désaccord avec ton regard terne qui semble redécouvrir son environnement, cherchant un éventuel sens à ce qui t’entoure. Tu éprouve le besoin de t’assurer que ta langue n’est pas encore un moignon inutilisable.
Tu sais où sont les serpillière ?
Tu admire cette main qui est tienne, gagnée par une dentelle hypnotiquement érubescente. Absent à l’agitation soudaine et fiévreuse qui a gagné les être que tu porte en ton cœur, t’ignore la voix étouffée de ton frère qui t’ordonne de sortir de ces lieux. Et finalement il patauge jusqu’à ton corps hagard pour t’éloigner de ce que tu ne semble point assimiler. Un abject massacre. Dans ton poing serré, la chaîne de ta génitrice s’imprime jusqu’à tes tissus les plus inaccessibles. Plus tard, recroquevillé, les mains appliquées sur le crâne, veines bombées à travers la peau dans l’effort de la crispation, et le doux balancement, régulier, ininterrompue. La lamentation.
Te voila déjà sensible aux fragrances corrosives du vice, tu assimile ces odeurs acres... Sans savoir que plus tard elles émaneront de ta propre personne.
- Où la raison se perd et naissent les esprits marécages.
1966 | Dix huit ans.
- Spoiler:
Nos matins c’était comme ces petites étoiles, qui s’accrochaient à nos sourires. Elles se pendaient aux commissures de nos lèvres comme la crème des tartelettes. Mais, nous on ne les voyaient pas. Gamin perdu dans nos livres, on écoutait le vent dans ce manoir désormais vide, investit de nos seules présences. On ne se souciait que de notre petit monde, celui qu’on imaginait. Ce monde il n’était pas bien compliqué…Une princesse, resplendissante, et à ses pieds deux fringants jeunes hommes, au même regard passionné. Pauvres hères noyés dans le présent de leur désir et un univers qui ne s’aventurait qu’en de rares occasions au delà du biotope investit ; manoir, immense terrain de jeu, aux multiples fantômes terrés au coin des murets décrépis. Zec était au balcon. Lui et Keys, s’était une question d’âme aurait avancé un quelconque sorcier. Pour tomber dans le discours banal et servit à maintes reprises, il s’agissait surtout d’une connexion subliminale qui n’avait aucunement besoin de palabres sans consistance pour assurer cette connivence. Quand à Eliaz, il était depuis quelques temps déjà, au pied du balcon, en délicat Roméo. Loin de voir ces tentatives de séduction d’un mauvais œil, le benjamin s’en réjouissait secrètement. Tout d’abord parce que cette union ne souderait que d’avantage ce parfait trio qu’il ne désirait en aucun cas voir rongé par les fonces destructeurs du temps, et deuxièmement…et bien parce que les deux tourtereaux étaient tout bonnement fait pour s’entendre. Et voir son aîné se consumer pour une tierce personne n’était pas chose commune.
"Décédée... STOP... hier... STOP... toutes nos condoléances... STOP"
C’est devant la porte trop lourde que la main hésite sur le geste. Contre l’inox froid de la poignée elle se crispe puis se relâche. Elle s’arrête puis se crispe à nouveau, en même temps que tous les cœurs qui battent encore, en alternance, contre ton dos. Ne te retourne pas ! Parce que derrière, c’est les hommes face au désastre, juste des yeux rougit pleins d’eau et de sel, posés sur des visages fragiles comme des morceaux de sucre. Ne te retourne pas… C’est la première larme qui libère toutes les autres.
Ensuite les choses se font seules. On entre, sans trop savoir comment. La pièce est neutre mais les murs sont pleins de fantômes, et des rideaux tirés nous laissent croire qu’il existe une fenêtre. Une fenêtre dans un funérarium. Comme on écrit un mensonge avec les doigts, dans du ciment frais. Bien sur on regarde partout, le coin du mur rouge, les fleurs sans couleurs, les fleurs sans odeurs, mais surtout
On regarde vers la fenêtre qui n’existe pas. Pourtant au milieu de la pièce il y a la mort, allongée et belle, apprêtée, apaisée sur un visage blanc. Il y a la mort dans un corps. Le corps de celle que l’on a aimé. Forcément trop en sourdine…Et à tes cotés, un frère, désormais sans présence. Projet de mariage avorté. "Je n'y resterait pas longtemps, juste le temps de prendre des nouvelles de ma tante." Elle est morte. Hier ou aujourd'hui. Je ne sais pas. Elle est morte et je ne sais même pas quand. Ce télégramme a le poids des mots mais ce n'est qu'une plume dans l'air du temps. Elle est morte et pourtant ça ne me fait pas d'effet. Aucune conscience de sa disparition à travers ce petit bout de papier. Des mots qui se font "stopper" comme ça, c'est abrupte, il ne s'en dégage pas tout leur sens. Dans un télégramme, les mots sont des poids lourds.
J'y suis allé en serrant les dents. J'y suis allé. Un pieds puis deux. Et sa silhouette divine sous ce drap de lin. Un fantôme délicieux. Un écho sans voix. Des murmures de muets. Elle ne bougeait pas. Inerte. J'y suis allé. Un pieds après l'autre. Et sa silhouette me rappelle ces instants de complicité. Je me suis approché. Et j'ai soulevé son drap comme à l'ancien temps. Le matin. Dans la lumière quand elle s'éveille. Les yeux ouverts. Luisants et délicats. Des yeux qui perlent encore sous le sommeil et qui s'éclipsent.
Un télégramme pour annoncer sa mort. "Toutes mes condoléances... STOP" C'est tout. Ça doit se finir là. Sous ce drap qui rappelle à quel point nous étions là. A quel point nous étions vivants. Avec toute la vie autour. Toute la vie autour. Tout autour de la vie et nous dedans. Un sac d'herbes de Provence. Et des senteurs subtiles. Elle sentait bon la vie avec elle. Elle sentait bon l'envie et le bonheur. Sous les draps de lin dans les bras de l'un. Et de l'autre. La mort a détruit l'amour délicat et vagabonde de lit en lit, en drap de lin, et s'immisce dans les bras de l'un. A quand l'autre? Dans les bras de l'un. Et de l'autre. Et moi, son autre, je m'éclipse de cette salle sans dire un mot. Après l'avoir touchée et embrassée une dernière fois. Un baiser froid. Une peau froide. Des lèvres froides sans aucun souffle pour susurrer. Je méloigne.Les yeux en sang. Sans voir.
"Je suis mort... STOP... hier... STOP... toutes vos condoléances... STOP"
- Où la haine est immondice et ouvre la porte au vice.
1968 | Jour 0.
- Spoiler:
Les murs ont l'air cannibal tant leur laideur est expressive. Au travers de l'opaque brume, je déambule. Une clope au bec. Je traverse la clarté immaculée des nuages qui nous sont tombés sur la tête. Recouvrant ainsi nos immondes traits. Ainsi que nos conneries diverses... Je me souviens de la veille. Ma peau frissone encore de cette présence fugace. S'entêter à chasser du vampire aguerri c'est s'exposer a problèmes. Cette trace perdu au milieu des bois et depuis...Depuis, des fourmillements désagréables dans la nuque. Ici tout tombe en ruine, et j'y participe de mon être, lapant le fond d'une fiole de rhum. Et puis soudain...Je glisse. Chute hermetique. Ou peut être que l'on me traine. C'est cela. Eliaz ? Une branche suspend mes interrogations, me laissant simple serpillère plongée dans les contrées salvatrice de l'esprit embrumé.
Ces canines s’enfoncent toujours plus dans mes veines bleutées, qui ressortent affreusement, comme pour aider l’ombre qui s’agite de manière fantomatique au dessus de son Oeuvre. Je sens se diffuser doucement le produit. Elle me susurre que la drogue n’endormira pas mes sens, bien au contraire, elle exacerbera chaque sensation infime. En vérité je ne sais plus si j’imagine cette voix où si elle résonne réellement à mes pensées. Lorsque ses ongles effleurent mes épaules déjà à vif, je hurle. Quant à toi mon frère, tu supportes en silence l’affreux échos de mes cris lointains, impuissant malgré ta rage face aux démons qui me rongent. Tes phalanges blanchissent dans le poing que tu serre ; et sur ton visage crispé, un pleur muet.
Dans une frénésie spectrale, les réminiscences prennent furtivement consistance. Elles me fascinent le temps de leur apparition aussi brève que douloureuse. Elles me fascinent, toute les limites me fascinent, même celles de l’abomination. Je sens la souffrance irradier de chaque parcelle de mon corps. L’ horreur de mes maux aveugle mon esprit, et la perception de mon corps se réduit à une vaste vague ténébrante qui me soulève. Dans un sursaut de vigueur, je parviens à trouver l’énergie pour émettre un nouveau cri terrifiant, qui aurait déchiré les tympans d’un sourd, mais qui ne manque pas de supplicier les tiens. Les poils sont hérissés par l’épouvante de cette nuit quand ce qui reste de peau élastique se tend. L’échos de mon hurlement se répercute encore et marque au fer rouge ta mémoire. Les larmes roulent sur ma chair brûlante. Cette fois je ne parviens qu’à gémir d’un ton vaguement plaintif, lorsque le sel de mes pleurs embrase mes nerfs. Des formes blanchâtres continuent de me tourmenter ; je demanderais à mourir si seulement elles écoutaient encore. Elles prennent tour à tour plusieurs visages, qui paraissent bien étranges, en allégorie à la torture. Et ces murmures lointains, répercussion d’un passé reculé ; ces mots qui résonnent en une litanie irrégulière mais floue, ont tous des inflexions familières. Je crois que c’est ça le plus douloureux.
Soudain l’ombre s’arrête au dessus de mes yeux vides, ou emplis d’horreur. C’est son visage que j’admire, et il serait le coup de grâce, si je pouvais mourir. Par delà les échos, j’entends un chuchotement suranné, et reconnais son timbre. Une goutte tombe sur mes lèvres rougies par le sang. J’entrouvre les lèvres, et la perle mi sang, mi pleur, roule dans ma gorge enrouée. Cette fois, ma bouche se fige en un cri qui demeure muet. Je geins dans mon délire enfiévré. Et lorsqu’elle m’effleure, ultime caresse cruelle, je crie, encore et encore, et un spasme ébranle mes membres.
Si bien que le bruit mat s’étouffe vite, quand la masse auparavant humaine tombe sur le sol dur.
Dernière édition par Ezechiel DeKerguen le Sam 14 Nov - 15:52, édité 58 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 1 Nov - 4:25 | |
| ______________________________________________OPEN YOUR MIND_____ Le soleil allait et venait. Et la lune n’avait jamais été aussi rouge. Cet environnement qui s’annonçait hostile avait quelque chose de désirable… Dénué de tout horizon, inhibant un possible avenir, aveugle à tout passé. La prise de pouvoir de certaines créatures semblait justifier l’existence de leurs semblables. L’événement gangrena l’enceinte de la demeure excentrée des DeKerguen qui semblait abandonnée depuis plusieurs années. En réalité, elle n’abritait que deux ombres latente. Au fur et à mesure, les hurlements de toutes origines s’assuraient un rôle prépondérant comme l’aurait fait le cri du coq, jour comme nuit. Bien que le chaos ambiant qui s’installait sans concession, affirmant la région comme damnée, intimida bientôt l’astre solaire lui même. Alors petit à petit, les réminiscence des esprits des deux frères gagnèrent la conscience lointaine de ce présent palpable. Ils avaient conscience des évènements, mais inutile de vous dire que la possibilité que la mort soit déjà sur leur chemin ne les effrayaient désormais nullement. En revanche ce contexte catalysa la haine destructrice qui couvait en chacun d’eux, tue par leurs corps s’activant jusqu’alors en une décrépitude volontaire. Une nouvelle motivation pour ne pas se soustraire à un sommeil éternel…Leur silhouettes n’abritaient pas une once de pitié. Aussi devinrent ils terriblement efficaces dans la tache à laquelle ils se dévouèrent désormais jusqu’à la déraison. 1973 avait fait naître un nouveau présent. La chasse. Même si le passé était plus que jamais affleurant dans les veines de l'âge, et s'ils ignoraient, destin ou non, que les prochains crépusucules s'annonçaient tout aussi porteurs de souffrances.
_________________________________________WHAT ARE YOU HIDING ?_ Âge | 18ans Célébrité | Ian Somerhalder | Alex O'Loughlin pour le frèrot qui arrive Pseudonyme | Ezechiel Fille ou Garçon | Garçon Code du Règlement | code ok. Comment avez-vous découvert le forum | Partenariat
Dernière édition par Ezechiel DeKerguen le Sam 14 Nov - 14:59, édité 58 fois |
| | | Lisbeth B. O'Connor Admin |
Nombre de messages : 2743
Age : 32 Votre Prénom/Pseudo : Margaux Nourriture : Rhésus positif. Humeur : A jouer à pile ou face. Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: 25 ans. En parait 17. ● Citation: When other little girls wanted to be ballet dancers I kind of wanted to be a vampire. ● Relations:
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 1 Nov - 17:54 | |
| Bienvenue par ici Les Wild Child n'ont en général pas beaucoup de liens entre eux, mais si tu as besoin, n'hésite pas à demander Bonne chance pour le reste de ta fiche ! | |
| | | Invité Invité
| | | | Livia S. Hagebak SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
Nombre de messages : 3641
Age : 40 Votre Prénom/Pseudo : Hélène. Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain. Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night. Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès. ● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ? ● Relations:
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Lun 2 Nov - 20:47 | |
| Bienvenue parmi nous. Bon courage pour la suite de la fiche. Par contre, le code n'est pas le bon. | |
| | | Invité Invité
| | | | Alexander P. MacDraw
Nombre de messages : 921
Age : 35 Votre Prénom/Pseudo : Chris. Nourriture : Si seulement ils étaient comestibles. Humeur : Insatiable, jamais rassasié de la peau froide de son ennemie. Date d'inscription : 06/12/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: vingt-cinq ans. ● Citation: Il y a une extase qui marque le sommet de la vie, et au-delà de laquelle la vie ne peut pas s'élever. Et le paradoxe de la vie est tel que cette extase vient lorsque l'on est le plus vivant, et elle consiste à oublier totalement que l'on est vivant. ● Relations:
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Lun 2 Nov - 22:31 | |
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Dernière édition par Ezechiel DeKerguen le Jeu 12 Nov - 20:52, édité 1 fois |
| | | Alexander P. MacDraw
Nombre de messages : 921
Age : 35 Votre Prénom/Pseudo : Chris. Nourriture : Si seulement ils étaient comestibles. Humeur : Insatiable, jamais rassasié de la peau froide de son ennemie. Date d'inscription : 06/12/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: vingt-cinq ans. ● Citation: Il y a une extase qui marque le sommet de la vie, et au-delà de laquelle la vie ne peut pas s'élever. Et le paradoxe de la vie est tel que cette extase vient lorsque l'on est le plus vivant, et elle consiste à oublier totalement que l'on est vivant. ● Relations:
| | | | Invité Invité
| | | | Livia S. Hagebak SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
Nombre de messages : 3641
Age : 40 Votre Prénom/Pseudo : Hélène. Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain. Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night. Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès. ● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ? ● Relations:
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Mar 3 Nov - 21:12 | |
| exactement, je parlais du code du règlement qui n'est pas le bon. La présentation, ça ne me gène pas, du moment qu'on retrouve les différentes parties. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Sam 14 Nov - 15:50 | |
| Terminé. Histoire décousue, tout comme l'esprit du personnage... Ecrite en plusieurs fois alors forcément les passages sont inégaux, voir baclés pour certains, mais la fièvre de l'envie de rp me ronge.... |
| | | Livia S. Hagebak SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
Nombre de messages : 3641
Age : 40 Votre Prénom/Pseudo : Hélène. Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain. Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night. Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès. ● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ? ● Relations:
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Sam 14 Nov - 16:11 | |
| Whaou !! Quelle fiche. Sincèrement, j'aime énormément ton style d'écriture. Magistral. Tu nous emportes dans la complexité et l'originalité d'un personnage comme je n'en avais jamais vu. Bon, ce n'est pas mon groupe, et tu dois attendre Lisbeth pour la validation, mais je ne pouvais pas m'empêcher de donner mon avis. | |
| | | Invité Invité
| | | | Lisbeth B. O'Connor Admin |
Nombre de messages : 2743
Age : 32 Votre Prénom/Pseudo : Margaux Nourriture : Rhésus positif. Humeur : A jouer à pile ou face. Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: 25 ans. En parait 17. ● Citation: When other little girls wanted to be ballet dancers I kind of wanted to be a vampire. ● Relations:
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 15 Nov - 20:24 | |
| Pour finir, bienvenue parmi les Wild Child. Fiche validée, et bon jeu sur Prelude | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 15 Nov - 20:27 | |
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| | | Lisbeth B. O'Connor Admin |
Nombre de messages : 2743
Age : 32 Votre Prénom/Pseudo : Margaux Nourriture : Rhésus positif. Humeur : A jouer à pile ou face. Date d'inscription : 08/10/2008
TELL ME EVERYTHING. ● Âge Du Perso: 25 ans. En parait 17. ● Citation: When other little girls wanted to be ballet dancers I kind of wanted to be a vampire. ● Relations:
| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] Dim 15 Nov - 20:46 | |
| Y a pas de quoi Amuse toi ici ! | |
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| Sujet: Re: In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] | |
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| | | | In my haunted spirit, the trap of my memory [Ezechiel DeKerguen] | |
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