| | | Eïlys Moore; People never change. |  |
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|  Sujet: Eïlys Moore; People never change. Mar 10 Fév - 20:06 | |
| MOORE; Eïlys | | | 19 ans
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| HUMAIN
|
_Vingt Quatre Décembre 1927.
Cela faisait deux ans qu'il passait le réveillon de Noël seul. Deux ans déjà. Edward McGowan avait pour habitude de venir dans ce bar pour oublier sa peine dans plusieurs verres. Il n'avait jamais compris pourquoi l'humain était si...cruel. Le monde lui semblait bien triste et dur, trop dur à combattre. Il était seul, désemparé, noyé dans sa tristesse. Ce soir-là, il avait décidé de se reprendre en main, ou de mettre fin a toute cette mascarade qu'était devenue sa triste vie. Il réfléchissait, longuement, en faisait tourner le verre plein entre ses mains. Jusqu'à son arrivée. Son apparition avait ébloui toute la pièce, elle l'avait ébloui, comme un ange tombant du ciel. Il apprit que son prénom était Laurelyn Ó Mordha. Aussi, il ne peina pas à trouvé les origines de cette beauté qui lui faisait face. Sa chevelure de feu et son regard d'émeraude, son teint blanc et ses lèvres légèrement rosée; cela ne faisait aucun doute. La belle était Irlandaise. Elle venait de ce pays qui fascinait tant Edward. C'est peut-être pour cela que la première approche fut facile. Il avait quitté sa triste table pour rejoindre le bar et s'asseoir à côté de la merveille qu'il contemplait depuis un moment maintenant. Tout se passa très vite. Edward était un bel homme, il avait pour don de plaire aux femmes; elle avait un charme mystérieux qui envoûtait grand nombre d'homme. Tous deux c'était bien trouvés... « C'est là que je fais mon entrée. Mon père m'a dit que j'avais mis du temps pour sortir du ventre de ma mère. Je ne voulais pas sortir de cet endroit chaud et confortable, bien qu'un peu étroit. Le monde extérieur ne me plaisait pas tant que ça. Mais je n'avais pas eu le choix. Mes parents m'avaient donné le prénom de Eïlys, un nom typiquement irlandais. Oui, ma mère attachait beaucoup d'importance à ses origines. Mes origines. Mes parents n'étant pas mariés, j'ai hérité du nom de ma mère, que mon père avait jadis transformé et rendu plus anglais. Je ne sais pas si c'était par fierté, parce qu'il avait du sang anglais, ou si c'était pour protéger ma mère de tout jugement concernant les Irlandais. Je l'ignorais, et je l'ignore toujours. » La jolie petite Eïlys était âgée de cinq ans. Elle était haute comme trois pommes, et légère comme une plume. Rien de formidable a cela, me direz vous. Elle avait néanmoins une particularité presque effrayante; Eïlys adorait les jeux plus ou moins violents.
« J'ai envie de jouer au jeu du papillon, qui veut jouer avec moi ? »
Le jeu du papillon. Un jeu qu'elle avait inventé avec ses amis. Un jeu qui consistait à battre un de ses camarades jusqu'à l'épuisement. Tout partait sur le principe de la courte paille; en l'occurrence, ce n'étaient pas des pailles, mais des bâtons. Le malheureux qui tombait sur le bout de bois le plus petit se voyait mettre un bandeau sur les yeux, puis devait tourner plusieurs fois sur lui-même. Les autres allaient se cacher près de lui, puis commencer à lui lancer des pierres, à lui faire des croches pattes. Une fois la victime a terre, elle se retrouvait rouer de coups, et ce jusqu'à l'épuisement total. Un jeu barbare pour des enfants âgés de cinq à neuf ans. Eïlys était sereine. Jamais elle n'avait été la victime d'un tel jeu. Pour elle, c'était un jeu comme un autre, avec l'adrénaline en plus. De plus, c'était elle, la chef de la troupe. Du haut de ses cinq ans, elle commandait les petits comme les grands. Elle se savait, et jouait de son « pouvoir » pour arriver à ses fins.
Elle aimait être spectatrice de ce jeu dont elle n'avait jamais été la victime. Elle trouvait ça drôle de voir quelqu'un gisait sur le sol, le visage en sang, la plupart du temps. Elle trouvait ça drôle, jusqu'au jour où ce fut elle qui eut la branche la plus courte. La petite rousse senti en elle un sentiment beaucoup plus différent que celui qu'elle ressentait lorsque les autres étaient désignés. Cette fois-ci, c'était son tour. Il n'y avait aucune issue possible, Eïlys le savait.
« La roue tourne... Ca faisait bien longtemps que je me demandais si tu ne trichais pas pour ne jamais avoir la branche la plus courte... »
Lui, c'était Oliver. Victime de ce jeu il y a quelques temps. Son poignet fut fracturé, des hématomes couvraient sa peau blanche. Il avait été la victime, il sera le bourreau. Levant fièrement la tête, la petite irlandaise regarda son ami.
« C'est moi qui est inventé ce jeu. Et je décide de ne pas jouer. Vous n'avez pas le droit de vous opposer à moi. »
« Nous avons inventé ce jeu, tout comme toi, Moore. Et nous avons suivi les règles. On f'ra pas d'exception ! »
Les enfants la fixèrent, avides de coups de poings, de pieds, de sang. C'était fini, elle le savait. Mais sans s'y attendre, les autres gamins se jetèrent sur elle. Pas de bandeau pour Moore. Premier réflexe : protéger son doux visages avec ses si petites mains. Bientôt, elle se retrouve a terre, sentant les coups de pieds frappaient son petit corps si fragile. La rouquine souffre, hurle, pleure. Son souffle se raccourcit, tout tourne autour d'elle; ses yeux se ferment, et elle plonge petit a petit dans l'inconscience. Une dernière pensée se profila avant que le noir ne l'envahisse; Elle est victime aujourd'hui, mais demain elle prendra sa revanche.
Dernière édition par Eïlys Moore le Jeu 12 Fév - 19:41, édité 4 fois |
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| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mar 10 Fév - 20:07 | |
| Quinze ans. L'âge critique, comme beaucoup le pense. C'est vrai, la vie est dure, a quinze ans. Notre belle irlandaise le savait, et s'en plaignait déjà. C'était une adolescente maintenant. Une jolie plante, cette Eïlys. Elle avait un franc succès auprès des hommes, mais elle s'en fichait pas mal. C'était le portrait de sa mère. Mystérieuse, charmante, une beauté étrange. Elle n'était pas très grande et pas très épaisse; un mètre soixante-trois pour une quarantaine de kilos. Pour tout vous dire, Eïlys n'a pas jamais changé. Non, elle est restée la même. Un visage fin, doux, au teint clair et presque parfait. Presque, j'ai dit. De jolis yeux, près à foudroyer quiconque la cherchera. Des yeux en amande, plus sombres que ceux de sa mère. Tantôt marrons, tantôt verts, tirant sur le jade. Eïlys a toujours aimé s'intensifier le regard avec un trait d'eye-liner liner épais, comme le faisait les pins-up. Mais elle, elle n'avait pas besoin de faux cils pour avoir des yeux de biches; les cils de la belle étaient naturellement longs et recourbés, et étonnement noirs. Oui, c'était étrange pour une jeune femme possédant une telle chevelure de feu, d'avoir des cils foncés. Ses cheveux étaient la fierté de sa mère. « Encore plus beaux que les miens », disait - elle en les coiffant. Ses cheveux étaient roux, et avaient suscités pas mal de moquerie dans sa tendre jeunesse. Mais ils étaient d'un roux particulier, tirant vers le rouge, si bien qu'on les aurait crus coloré. Ses lèvres légèrement pulpeuses et rosées étaient un atout de choc pour séduire les beaux garçons. Les beaux garçons, comme Eddie Bloom. Eddie Bloom avait été le premier grand amour de sa vie. L'irlandaise était folle amoureuse. Mais vous devez le savoir aussi bien que moi; les amourettes d'adolescents ne sont pas si roses qu'ils le croient.
Elle avait rencontré Eddie dans un bar où elle traînait souvent pour chanter, de temps à autres. Et lui, était là, à une table seul. Eddie, un garçon a la beauté frappante. Un jeune homme grand, fier et droit. Sous ses vêtements, on devinait sa musculature, et les heures de travail pour avoir un tel résultat. Il avait un regard profond, mystérieux, sombre. Ses yeux auraient pu hypnotisé et faire fondre la personne la plus dure qu'il soit. Sa peau était étrangement blanche pour un homme. On aurait presque cru qu'il se blanchissait la peau avec un quelconque fond de teint, ou autre poudre de ce genre. Il y avait pourtant beaucoup de filles dans la salle, toutes plus jolies les unes que les autres. Mais ce soir, Eïlys les avait battues; c'était elle qu'il regardait. Il la fixait même, sans gène, d'un regard profond et presque amoureux. De loin, la rouquine lui aurait donné son âge. Mais elle apprit par la suite qu'il avait dix ans de plus. Il l'avait attendu, à la sortie. Et tel un parfait embobineur, il lui avait dit des mots les plus agréables qu'ils soient, afin de la charmée. C'était gagné pour lui. La jeune femme céda rapidement à ses avances, et le suivit chez lui. Elle avait quinze ans, et ne savait pas que certains hommes étaient de véritables manipulateurs. La jolie rousse s'installa dans le canapé, suivit du beau ténébreux qui l'avait invité. Un peu plus tard, au coeur d'une conversation, Eddie rapprocha son visage de la belle, prit son menton entre deux doigts et captura ses lèvres pour l'embrasser. Eïlys fut surprise, puis fut prise d'une sensation qu'elle n'avait jamais connu auparavant. Elle avait une vague impression d'avoir des papillons dans le ventre. Après un moment, le jeune homme détacha ses lèvres de celle de sa prisonnière. Il fallait se rendre a l'évidence; Eïlys auraient donné cher pour prolonger ce moment magique et immortel. Le brun semblait amuser de la réaction de l'adolescente. Il en profita pour passer une main sur une ses cuisses, puis de l'allonger dans le canapé en capturant à nouveau le fruit de son plaisir. Le coeur de la jeune femme s'emballe, ses mains deviennent moites, et son corps tout entier se décontracte sous celui d'Eddie. A ce moment-là, Eïlys était sûre d'une chose; cette soirée là resterait a jamais gravé dans sa mémoire.
« Deux jours que je n'ai plus de nouvelles de lui. Je trouve ça...inquiétant, idiot, méchant et puéril. Il aurait quand même pu passer au bar pour qu'on se retrouve. Bah non, il me laisse, comme ça. Mais il reviendra, c'est un mec, jte dis. Non et puis, avec la soirée que j'ai passé, j'suis pas prête de l'oublier. Lui non plus, d'ailleurs. C'est sûr que c'était pas David. Non, Eddie assure, franchement. Mais bon, tu me connais, dans quatre matins, ce sera un autre mec. »
« T'es amoureuse toi... »
« Ferme-la, Cassy ! Je suis pas amoureuse, jte dis. »
« Alors, pourquoi tu essaies de le revoir ? Il me semble que quand tu sortais avec d'autres mecs, tu n'étais pas si...nerveuse. »
« T'es bête ou quoi ?! Arrête de dire des conneries, et passe moi une clope. Tu m'as foutu en rogne.»
« Si vous vous posez la question, non, je n'ai jamais revu Eddie. C'est de l'histoire ancienne, tout ça. Maintenant, l'actualité est à autre chose. Des histoires de meurtres, bien plus flippantes les unes que les autres. Certains parlent de serials killers, d'autres de vampires. Des vampires. Comme si ces bestioles existaient. Je pense tout simplement que c'est une bête affamée, voilà tout. Mais pas de psychopathe attardé ou de créatures sorties des livres et de l'imaginaire pour faire peur à des gosses. Avec toutes ses histoires idiotes, une amie a même fait une hypothèse complètement débile : Et si Eddie était un vampire ?. Non mais franchement, vous y croyez vous ?! Des vampires. Pourquoi pas des loups garous, des fées, des elfes, des trolls, pendant que vous y êtes ! Matt aurait même vu une de ses bestioles buveuses de sang dans les champs. A mon avis, il a bouffé une sacré assiette de champignons hallucinogènes ! »
C'était pourtant vrai. Matt avait vu un vampire se nourrir, les crocs plantaient dans le cou d'un jeune femme, dans les champs. Bien sûr, personne ne l'avait cru. Tout le monde l'avait traité de fou, d'inconscient, de menteur. Sa famille même ne voulait plus de lui. Quelques jours plus tard, Matt disparu du village. Des mauvaises langues disaient qu'il était parti à l'étranger, d'autre qu'il s'était suicidé. La dernière hypothèse avait sa part de vrai. Le jeune garçon aurait dû garder le secret pour lui; dès lors qu'il eut quitter le village, un vampire le prit pour proie, et lui fit amèrement regretter d'avoir été aussi bavard. Il mourut dans la souffrance et la haine envers cette espèce si barbare.
« Matt est parti. Vraiment parti. J'ai entendu ses parents dirent qu'ils l'avaient retrouvé mort près du lac. Il avait été apparemment bouffé par un truc. On dit qu'il avait le ventre ouvert, et qu'il était presque vidé de ses entrailles. Son cou était criblé de morsures et griffures, tout comme le reste de son corps. Une découverte macabre. Heureusement que ce n'est pas moi qui ait trouvé le corps. J'aurai été capable de lui gerber dessus je crois. Ce qui aurait été regrettable. De plus, on m'aurait surement accusé de l'avoir tué, sous prétexte qu'on se disputait souvent. Comme si j'étais la seule. Mais faut avouer que cette histoire de vampire, c'était carrément du délire. Je persiste a croire à mon histoire d'ours ou de loups. Enfin, des grosses bébêtes capables de tuer un humain. J'avoue avoir un peu peur en ce moment. J'aimerai pas me faire bouffer, moi aussi...» La musique était forte, cris et rires presque forcés présents, tout autant que les verres d'alcool et la fumée de cigarette. Le bar était plein, ce soir. Comme beaucoup de soir. Eïlys était derrière le piano, et s'amusait à faire courir ses longs doigts sur le clavier bicolore. Un peu de douceur qu'elle ne pouvait pratiquement pas entendre. Elle s'était habituée à ce brouhaha désagréable, et pouvait jouer en toute sérénité. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres; dans quelques heures, le bar serait à elle seule, et elle pourra ainsi laisser s'échapper sa folie sur l'ancien piano noir. D'un geste machinal, elle releva la tête et chercha un serveur des yeux. Pas n'importe quel serveur; elle cherchait Mark, son ami de toujours. Il avait toujours été là pour elle, et avait toujours été clean. Jamais lui ne lui avait fait de propositions déplacées, comme la plupart des hommes du bar. Non. Mark était différent. Aussitôt que son regard croisa le sien, il partit derrière le bar, puis, après deux ou trois minutes, se plaça à ses côtés en déposant délicatement un verre d'alcool doux sur le piano.
« Et voilà ma belle, comme d'habitude. Si ce n'était que de moi, je te ferai boir... »
« Un jus d'orange. Je sais, Mark. Mais je préfère cette boisson là. »
« Encore en train de composer ? »
« Non, je m'amuse juste avec les touches...Et puis, il est impossible de se concentrer dans un bordel pareil ! »
Mark se me rit à rire. Elle avait raison, au fond. Mais lui savait que la musique qui sortait du vieil instrument n'était pas du vent. Les notes étaient juste, et formaient une mélodie mystérieuse, triste et profonde. Cette gamine était bien étrange et mystérieuse, parfois. Après avoir ébouriffé sa chevelure de feu, le serveur repartit à sa tâche. Comme toujours, Eïlys soupira, puis passa rapidement une main dans ses cheveux. Il est vrai qu'elle n'était pas vraiment pas coiffée, mais ce n'était pas une raison pour les mettre dans un tel état.
Quelques heures plus tard, le bar était désert. Les hommes avaient retrouvé leur amante, les employés leur famille. Eïlys était enfin seule. Enfin. La belle ferma les yeux un moment, soupira, puis fit à nouveau courir ses doigts sur le clavier musical. Quelque chose de doux, lent, tel une berceuse. Puis le rythme s'accéléra, pour devenir plus sombre, plus triste. La jeune femme interrompit soudainement de jouer. Les yeux fixés sur la fenêtre, les yeux aussi ronds que des billes, la bouche légèrement entrouvertes. Non, elle devait rêver. Eïlys se leva brusquement, puis se précipita vers la fenêtre.
« Eddie ?! Eddie, c'est toi ?! »
Pas de réponse. Le coeur battant la chamade, les yeux scrutant les environs, la belle rousse continua a crié son nom.
« Eddie ! Eddie, montre-toi ! »
Une ombre se glissa derrière elle, et lui glaça le sang. La jeune femme se retourna aussitôt. Personne. Pourtant, elle sentait sa présence. Elle savait qu'il était là. Elle l'aurait reconnu entre mille. Persévérante, la rouquine avança de quelques pas. Une silhouette semblait se dessiner non loin d'elle. Pleine d'espoir, les yeux brillants de larmes, elle courut vers ce qui semblait être un homme.
« Eddie ! »
Rien. Une ombre, rien de plus. Déçue et brisée, la jeune femme fit quelques pas en arrière, avant de retourner en courant dans le bar, effondrée. Elle n'était pas folle. Elle l'avait vu, elle l'avait senti. Alors qu'elle était effondrée sur une table a pleuré toutes les larmes de son corps, une silhouette se dressa derrière la fenêtre. Un jeune homme grand, fier et droit. Sous ses vêtements, on devinait sa musculature, et les heures de travail pour avoir un tel résultat. Il avait un regard profond, mystérieux, sombre. Ses yeux auraient pu hypnotisé et faire fondre la personne la plus dure qu'il soit. Sa peau était étrangement blanche pour un homme. On aurait presque cru qu'il se blanchissait la peau avec un quelconque fond de teint, ou autre poudre de ce genre. Eddie.
« Je deviens folle. J'ai cru voir Eddie hier. Encore une fois. Ce n'est pas la première fois. Je suis sûre que c'est lui. Ce ne peut être quelqu'un autre. Mais alors pourquoi se cache t- il ? Je sais qu'il est là. Il m'observe surement. Je l'attendrais. Non, je ne l'attendrais pas. Je le chercherai. Quoi qu'il m'en coute. Je le chercherai le jour comme la nuit. Et je saurai pourquoi, cette nuit du huit septembre a été sans lendemain. Je découvrirais ton secret, Eddie. Quoi qu'il m'en coute. » 2952 mots
Dernière édition par Eïlys Moore le Ven 13 Fév - 23:38, édité 8 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mar 10 Fév - 20:07 | |
| Pseudonyme/Prénom ; P. / Haachi.
Âge ; Seize ans.
Fille ou Garçon ; Fille.
Présence sur le Forum ; Très régulière.
Code du Réglement : Code OK by Angus
Célébrité ; Hayley Williams.
Une suggestion ? ; Naan.
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Comment avez-vous découvert le forum ? ; Partenaaaaires.
Dernière édition par Eïlys Moore le Mar 10 Fév - 21:59, édité 2 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mar 10 Fév - 20:34 | |
| Bienvenue  |
| | | | Invité
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| | | | | Livia S. Hagebak
SWEET ADMIN | Take these broken wings and learn to fly.
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Votre Prénom/Pseudo : Hélène.
Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain.
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● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès.
● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mar 10 Fév - 21:06 | |
| Bienvenue !
Bon courage pour la fiche. =) | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mar 10 Fév - 21:08 | |
| |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mer 11 Fév - 17:51 | |
| Bienvenue à toi, bon courage pour la fin de ta fiche !  Le code est bon, sinon. ^^ |
| | | | Norman Fitzpatrick
Infréquentable non-négociable.
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Votre Prénom/Pseudo : Lee
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Date d'inscription : 20/10/2008
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● Âge Du Perso: 24 ans, ou 162, au choix
● Citation: On tient, on étreint la vie comme une maîtresse, on se fout de tout brûler pour une caresse...
● Relations:
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mer 11 Fév - 18:22 | |
| Bienvenue petite humaine!  | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mer 11 Fév - 23:17 | |
| |
| | | | Declan W. Bowden
Devil Admin | Not a Monster. Just a Villain.
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Votre Prénom/Pseudo : Maëva
Nourriture : Humains.
Humeur : Indescriptible
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TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 247 ans
● Citation:
● Relations:
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mer 11 Fév - 23:26 | |
| | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Mer 11 Fév - 23:27 | |
| Hannn j'ai loupé ce sujet, welcome here |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Jeu 12 Fév - 0:09 | |
| Merci beaucoup =D
Je pense avoir fini ma fiche. Dîtes moi si cela vous conviens, et si je n'ai rien oublié, sinon, je rajouterai et étofferait tout ça !
Et encore merci pour cet accueil =D |
| | | | Leandre H. Altar
Nombre de messages : 231
Age : 34
Votre Prénom/Pseudo : Lee
Multi-Comptes : Norman Fitzpatrick
Nourriture : Lapins, chevreuils, pumas à l'occasion
Humeur : Troublé, étrangement...
Date d'inscription : 28/01/2009
TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 143 ans. J'avoue, je ne les fais pas...
● Citation: Si j'avais su que j'aurais autant de peine, si j'avais su, je t'aurais aimée quand même...
● Relations:
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Jeu 12 Fév - 0:22 | |
| Ta fiche est géniallissime, je l'ai dévorée (sans jeu de mots) en un rien de temps. J'adore ton écriture, elle est fluide et inspirée. Ton personnage a l'air d'avoir un joli petit caractère. J'aurais bien envie de RP avec toi dès que tu seras validée (ce dont je ne doute pas!) Bon allez, je fais la méchante modo? Y'a quelques fautes d'inattention. Mais rien de grave, pas de soucis pour ça, tout le monde en fait   fan de ta fiche. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Jeu 12 Fév - 0:29 | |
| |
| | | | Declan W. Bowden
Devil Admin | Not a Monster. Just a Villain.
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Votre Prénom/Pseudo : Maëva
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TELL ME EVERYTHING.
● Âge Du Perso: 247 ans
● Citation:
● Relations:
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Jeu 12 Fév - 0:57 | |
| J'aime beaucoup le début... *a pas fini de lire* Cela dit pour les humains, il nous faut plusieurs avis, on voit ça et on te dit. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Jeu 12 Fév - 1:04 | |
| Pas de souci !
Merci encore~ |
| | | | Livia S. Hagebak
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Nourriture : Manger du daim, c'est manger sain.
Humeur : gotta a feeling that tonight's gonna be a good night.
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● Âge Du Perso: 79 ans. En paraît 21, l'âge de son décès.
● Citation: Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi, l’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles. Je blâme. Est-ce ma faute enfin ?
● Relations:
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Ven 13 Fév - 23:21 | |
| Bon comme Maëva semble aimer ta fiche et que je l'ai moi même adoré, je ne vais pas te faire attendre plus longtemps.
J'aime beaucoup ta façon de RP. Très fluide. Et une bien belle histoire.
Tu es donc VALIDEE.
Bon jeu. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. Ven 13 Fév - 23:22 | |
| Merci beaucoup *___*
Merci merci merci =D |
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| | Sujet: Re: Eïlys Moore; People never change. | |
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| | | | | | Eïlys Moore; People never change. | |
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